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ÉCRIVAINS FRAN Ç AIS. La littérature française comprend l'ensemble des œuvres écrites par des auteurs de nationalité française ou de langue française. Son histoire commence en ancien français au Moyen Âge et se perpétue aujourd'hui.
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ÉCRIVAINS FRANÇAIS La littérature française comprend l'ensemble des œuvres écrites par des auteurs de nationalité française ou de langue française. Son histoire commence en ancien français au Moyen Âge et se perpétue aujourd'hui. La littérature françaiseestprofondément marquée par les crises historiques, politiques, morales et artistiques. Le courant littéraire qui a caractérisé ce siècle est le surréalisme, qui est surtout un renouveau de la poésie (André Breton, Robert Desnos...), mais aussi l'existentialisme (Albert Camus, Jean-Paul Sartre), qui représente également une nouvelle philosophie La source première chez les artistes de ce siècle est en rapport avec les conflits politiques de l'époque. La guerre est ainsi présente aussi bien dans la poésie que dans les romans.
LA LITTÉRATURE FRANÇAISE • En France, le Nouveau Roman, théorisé par Alain Robbe-Grillet dans Le Nouveau Roman, ne concerne initialement que peu d'écrivains mais a inspiré ensuite toute une génération d'écrivains regroupés aujourd'hui autour des Éditions de Minuit, dont Jean Echenoz, Jean-Philippe Toussaint, Tanguy Viel, Christian Oster, Laurent Mauvignier ou Christian Gailly. Après cela, plus aucun mouvement au sens strict ne réussit à émerger. L'Oulipo, Ouvroir de littérature potentielle, auquel ont appartenu Queneau ou ne se conçoit en effet pas comme un mouvement, mais comme un groupe de travail. Il en va de même pour la Nouvelle Fiction regroupant des romanciers tels que Hubert Haddad, Frédérick Tristan ou Georges-Olivier.
HONORÉ DE BALZAC Honoré Balssa, dit Honoré de Balzac, né à Tours le 20 mai 1799 (1er prairial an VII) et mort à Paris le 18 août 1850, est un romancier, critique littéraire, essayiste, journaliste et écrivain français. Il est considéré comme l’un des plus grands écrivains français dans le domaine du roman réaliste, du roman philosophique et du roman fantastique par Gérard Gengembre1, Gilles Vannier, le philosophe Alain, et Albert Béguin. Charles Baudelaire voyait en lui un visionnaire. Balzac en 1842 sur undaguerréotypede Louis-Auguste Bisson
Balzac est cependant difficile à classer dans l’une ou l’autre catégorie, son œuvre couvrant un champ si vaste que les critiques, tant de son siècle que du siècle suivant, passeront beaucoup de temps à lui chercher une étiquette appropriée sans y parvenir. • Travailleur forcené, capable de passer des nuits entières à écrire, grand buveur de café, gros mangeur, fragilisant ainsi sa santé déjà précaire, il a produit une œuvre titanesque la Comédie humaine, cycle cohérent de plusieurs dizaines de romans, nouvelles, contes philosophiques dont l’ambition est de décrire de façon quasi-exhaustive la société française de son temps ou, selon sa formule célèbre, de faire « concurrence à l’état-civil ». • De ses nombreuses liaisons féminines, Balzac a tiré une compréhension intuitive de la nature des femmes, très rare chez un écrivain masculin. On a pu dire qu’« il avait inventé le bovarisme.
ALBERT CAMUS Albert Camus, né le 7 novembre 1913 à Mondovi en Algérie et mort le 4 janvier 1960 à Villeblevin dans l'Yonne, est un écrivain, dramaturge et philosophe français. Il a développé dans son œuvre très diverse un humanisme fondé sur la prise de conscience de l'absurdité de la condition humaine. Il a reçu le prix Nobel de littérature en 1957.
Bien que Camus réfute les religions parce que « on n’y trouve aucune problématique réelle, toutes les réponses étant données en une fois », et qu'il n’accorde aucune importance au futur : « il n’y a pas de lendemain », sa révolte n’en est pas pour autant amorale. « La solidarité des hommes se fonde sur le mouvement de révolte et celui-ci, à son tour, ne trouve de justification que dans cette complicité ». Tout n’est pas permis dans la révolte, la pensée de Camus est humaniste, les hommes se révoltent contre la mort, contre l’injustice et tentent de « se retrouver dans la seule valeur qui puisse les sauver du nihilisme, la longue complicité des hommes aux prises avec leur destin ». En effet, Camus pose à la révolte de l’homme une condition : sa propre limite.
LOUIS-FERDINAND CÉLINE Louis Ferdinand Auguste Destouches, plus connu sous son nom de plume Louis-Ferdinand Céline (prénom de sa grand-mère et l'un des prénoms de sa mère), généralement abrégé en Céline (1894 – 1961), est un médecin et écrivain français, le plus traduit et diffusé dans le monde parmi ceux du XXe siècle après Marcel Proust. Sa pensée nihiliste est teintée d'accents héroïcomiques et épiques.
Controversé en raison de ses pamphlets antisémites, il n'en demeure pas moins un des plus grands écrivains de la littérature française du XXe siècle. Il est le créateur d'un style qui traduit toute la difficulté d'une époque à être et à se dire et qui exprime sa haine du monde moderne. Il est aujourd'hui considéré comme l'un des plus grands prosateurs de son temps, aux côtés d'autres connaisseurs de l'absurdité humaine comme Sartre, Albert Camus et Beckett. • Céline est né le 27 mai 1894 à Courbevoie, département de la Seine, au 11, rampe du Pont-de-Neuilly, ainsi qu'il le répète avec insistance dans D'un château l'autre. Sa famille déménage dans le quartier de l'Opéra et s'installe passage Choiseul où Céline passe toute son enfance dans ce qu'il appelle sa « cloche à gaz » en référence à l'éclairage de la galerie par la multitude de becs à gaz au début du XXe siècle.
FRANÇOIS-RENÉ DE CHATEAUBRIAND François-René, vicomte de Chateaubriand, né à Saint-Malo le 4 septembre 1768 et mort à Paris le 4 juillet 1848, est un écrivain romantique et homme politique français. Il est considéré comme l'une des figures centrales du romantisme français. Le vicomte François-René de Chateaubriand est issu d'une très vieille famille aristocratique ruinée de Saint-Malo, qui a retrouvé sa dignité d'antan grâce à la réussite commerciale du père de Chateaubriand, le comte René-Auguste
Cette réussite commerciale est fondée sur le commerce avec les colonies1. Le jeune François-René doit d'abord vivre éloigné de ses parents, à Plancoët, chez son oncle et sa grand-mère. Il a trois ans quand la réussite de son père permet à ce dernier de racheter en 1771 le château de Combourg en Bretagne, dans lequel Chateaubriand s'installe en 1777 et passe une enfance souvent morose. • Il fait successivement ses études aux collèges de Dol (de 1777 à 1781), Rennes (1782) et Dinan (1783), obtient un brevet de sous-lieutenant au régiment de Navarre à 17 ans, sous les ordres de son frère Jean-Baptiste (lequel le présentera à la Cour), puis est fait capitaine à 19 ans. Il vient à Paris en 1788, où il se lie avec Jean-François de La Harpe, Marie-Joseph Chénier, Jean-Pierre Louis de Fontanes et autres écrivains de l'époque, et fait ses débuts littéraires en écrivant des vers pour l'Almanach des Muses. Il est alors nourri de Corneille et marqué par Rousseau.
GUSTAVE FLAUBERT Gustave Flaubert, né à Rouen le 12 décembre 18211 et mort à Canteleu, au hameau de Croisset, le 8 mai 1880, est un écrivain français. Prosateur de premier plan de la deuxième moitié du XIXe siècle, Gustave Flaubert a marqué la littérature française par la profondeur de ses analyses psychologiques, son souci de réalisme, son regard lucide sur les comportements des individus et de la société, et par la force de son style à travers de grands romans comme Madame Bovary (1857), l'Éducation sentimentale (1869), Salammbô (1862), ou le recueil de nouvelles Trois contes (1878).
Gustave Flaubert est le deuxième enfant d’Achilla Cléophas Flaubert (1784-1846), chirurgien-chef très occupé par l'Hôtel Dieu (hôpital) de Rouen, et de sa femme Anne Justine, née Fleuriot (1793-1872). Il naît le 12 décembre 1821. • Gustave Flaubert est le deuxième enfant d’Achilla Cléophas Flaubert (1784-1846), chirurgien-chef très occupé par l'Hôtel Dieu (hôpital) de Rouen, et de sa femme Anne Justine, née Fleuriot (1793-1872). Il naît le 12 décembre 1821. Enfant survivant après une sœur et deux frères morts en très bas âge, délaissé par rapport à son frère aîné brillant élève admiré par la famille qui succèdera d'ailleurs à son père comme chirurgien chef de l'Hôtel-Dieu de Rouen.
VICTOR-MARIE HUGO Victor-Marie Hugo, né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris, est un écrivain, dramaturge, poète, homme politique, académicien et intellectuel engagé français considéré comme le plus important des écrivains romantiques de langue française et un des plus importants écrivains de la littérature française. Son œuvre est très diverse : romans, poésie lyrique, drames en vers et en prose, discours politiques à la Chambre des Pairs, correspondance abondante.
Il a contribué, tout comme Baudelaire, au renouvellement de la poésie et de la littérature. • L'ensemble de ce qui a survécu des écrits de Victor Hugo (plusieurs lettres personnelles ont été volontairement détruites par ses exécuteurs testamentaires Paul Meurice et Auguste Vacquerie) a été publié chez Jean-Jacques Pauvert et représente presque quarante millions de caractères. • Victor Hugo est né le 26 février 1802 à Besançon dans le Doubs, en Franche-Comté, où son père est en garnison, puis passe son enfance à Paris. Victor est le fils du général d'Empire Joseph Léopold Sigisbert Hugo (1773–1828) - créé comte, selon la tradition familiale, par Joseph Bonaparte, roi d'Espagne - et de Sophie Trébuchet (1772–1821) et le dernier de trois enfants après Abel Joseph Hugo (1798–1855) et Eugène Hugo (1800–1837).
JEAN DE LA BRUYÈRE Jean de La Bruyère, né à Paris le 16 août 1645 et mort à Versailles le 10 mai 1696, est un moraliste français. La Bruyère est célèbre pour une œuvre unique, Les Caractères ou Les mœurs de ce siècle (1688). Cet ouvrage, constitué d’un ensemble de brèves pièces littéraires, compose une chronique essentielle de l’esprit du XVIIe siècle. La Bruyère fut l’un des premiers écrivains à mettre en avant le « style » littéraire, en développant un phrasé rythmé dans lequel les effets de rupture sont prépondérants.
Ce style incite à la lecture à haute voix, donnant ainsi à cette activité le statut de jugement moral de par l’effet rhétorique obtenu par la lecture orale sur les auditeurs - La Bruyère consacre au demeurant toute une section des Caractères aux effets pervers de l’éloquence. Nombre d’écrivains ont suivi le chemin stylistique tracé par La Bruyère : depuis Marivaux jusqu'à Balzac et Proust, en passant par André Gide.
LOUIS CHARLES ALFRED DE MUSSET-PATHAY Louis Charles Alfred de Musset-Pathay dit Alfred de Musset né le 11 décembre 1810 à Paris et mort le 2 mai 1857 également à Paris, est un poète, auteur dramatique et romancier français. Alfred de Musset appartient à une famille aisée, affectueuse et cultivée, où l'on a le goût des lettres et des arts. Son père, Victor-Donatien de Musset-Pathay, est un haut fonctionnaire et un homme de lettres né le 5 juin 1768 près de Vendôme1,2.
Il a épousé en 2 juillet 1801 Edmée-Claudette-Christine Guyot des Herbiers3, née le 14 avril 17804. Le couple a eu trois enfants : Paul, Alfred et Charlotte-Amélie-Hermine, née le 1er novembre 1819. • Son grand-père était poète, et son père était un spécialiste de Rousseau, dont il édita les œuvres. La figure de Rousseau joua en l'occurrence un rôle essentiel dans l'œuvre du poète. Il lui rendit hommage à plusieurs reprises, attaquant au contraire violemment Voltaire, l'adversaire de Rousseau. Son parrain, chez qui il passait des vacances dans la Sarthe, était l'écrivain Musset de Cogners.
CHARLES DE SECONDAT-MONTESQUIEU Ecrivain et philosophe français. Charles de Secondat, baron de la Brède et de Montesquieu est né en 1689 d'une famille de magistrats de bonne noblesse au château de la Brède près de Bordeaux, dont il porte d'abord le nom et auquel il sera toujours très attaché. Ses parents ont choisi un mendiant pour être son parrain pour que toute sa vie il se souvienne que les pauvres sont ses frères. Après ses études de droit, il devient conseiller auprès du parlement de Bordeaux en 1714.
En 1716, il hérite de la fortune de son oncle, de la charge du président à mortier (bonnet de velours) du parlement et du nom de Montesquieu. • Délaissant sa charge dès qu'il le peut, Montesquieu s'intéresse au monde et aux plaisirs. Il se passionne pour les sciences et mène des expériences (anatomie, botanique, physique...) puis oriente sa curiosité vers les hommes et l'humanité à travers la littérature et la philosophie. Dans les "Lettres persanes", qu'il publie anonymement en 1721 en Hollande, il dépeint admirablement, sur un ton humoristique et satirique, la société française à travers le regard de visiteurs perses.
ANDRÉ MALRAUX André Malraux, né à Paris 18e, rue Damrémont le 3 novembre 1901 et mort à Créteil (Val-de-Marne) le 23 novembre 1976, de son vrai nom Georges André Malraux, fut un écrivain, un aventurier et un homme politique français. En 1930, il publie La Voie royale, un roman d’aventures largement inspiré par ces événements. Il demeure à cette époque au 44 rue du Bac dans le 7e arrondissement ou il écrivit : "La Condition humaine" Dès 1933, il milite contre le fascisme et le nazisme, puis rejoint les républicains espagnols à partir de 1936. Il monte de toutes pièces l'escadrille España avec une vingtaine de Potez et en prend le commandement comme coronel (colonel), jusqu'en 1937.
Le 23 décembre 1923, Malraux est arrêté à Phnom Penh ainsi que son ami Louis Chevasson. De mauvais placements boursiers ont dilapidé la fortune de son épouse Clara et André a pris la décision de découper un bas-relief du temple de Banteay Srei à Angkor pour le vendre à un collectionneur. Il est condamné, en juillet 1924, à trois ans de prison ferme et son ami Louis à un an et demi. Clara est acquittée. Elle repart pour Paris et mobilise en faveur de son mari les intellectuels de l'époque comme Marcel Arland, Louis Aragon, André Breton, François Mauriac, André Gide et Max Jacob. En appel, la peine de Malraux est réduite à un an avec sursis et il rentre en France en novembre 1924. Dans ses romans-documentaires, l'écrivain Roger Peyrefitte le désignera régulièrement sous le nom de "voleur de Banteay Srei".
GÉRARD DE NERVAL Gérard de Nerval, de son vrai nom Gérard Labrunie, né à Paris le 22 mai 1808 et mort à Paris le 26 janvier 1855, était un poète français. L’insistance de Nerval sur la signification des rêves eut une influence sur le mouvement surréaliste qui fut soulignée par André Breton. Dans sa dédicace à Alexandre Dumas pour les filles du feu, Nerval évoque « l’état de rêverie super-naturaliste » qui fut le sien lorsqu’il écrivit les sonnets des Chimères.
Gérard de Nerval est né à Paris, au 168 rue Saint-Martin. Deux ans plus tard, sa mère meurt en Silésie alors qu’elle accompagnait son mari, médecin-adjoint militaire de la Grande Armée napoléonienne. Il est élevé par son grand-oncle maternel, Antoine Boucher, dans la campagne du Valois à Mortefontaine. Installé à Paris en 1814, lors du retour de son père, il reviendra régulièrement dans ces lieux évoqués dans nombre de ses nouvelles. • Antonin Artaud vit en Nerval un suicidé de la société, laquelle fut selon lui « occultement liguée contre sa conscience.Nerval se lie d’amitié avec Théophile Gautier, Victor Hugo et Alexandre Dumas. Avec Petrus Borel, il devient l'un des premiers membres des « Jeunes-France ». Il soutient activement Hugo lors de la bataille d’Hernani déclenchée le 25 février 1830 au cours de sa première représentation. En 1835, il s’installe rue du Doyenné chez Camille Rougier où tout un groupe de romantiques se retrouve. En 1846, il s’installe au « Château des brouillards » de Montmartre. Il décrira cette époque dans un ouvrage sur le théâtre contemporain qui paraîtra en 1852.
VALENTIN LOUIS GEORGES EUGÈNE MARCEL PROUST Valentin Louis Georges Eugène Marcel Proust, né le 10 juillet 1871 à Auteuil et mort le 18 novembre 1922 à Paris, était un écrivain français dont l'œuvre principale s'intitule À la recherche du temps perdu. Après la mort de ses parents, sa santé déjà fragile se détériore davantage en raison de son asthme. Il vit en reclus et s’épuise au travail. Son œuvre principale, À la recherche du temps perdu, sera publiée entre 1913 et 1927, c'est-à-dire en partie à titre posthume. Le premier tome, Du côté de chez Swann (1913), est refusé chez Gallimard sur les conseils d'André Gide, qui exprimera ses regrets par la suite.
Marcel Proust et René Daumal furent aussi grandement influencés par cette œuvre majeure. • La leçon qu’avait donnée Proust, qui prétendait être, lui aussi, cet « artiste original » qui fait apparaître un monde nouveau, « différent de l’ancien, mais parfaitement clair » dont il question dans ‘’À la recherche du temps perdu’’ (II, page 327), ne fut entendue vraiment que dans les années cinquante, par les écrivains du Nouveau Roman comme par les critiques, cet intérêt et cette estime pour son œuvre faisant d’elle désormais l’une des plus commentées et des plus étudiées, dans le monde entier, un véritable mur de gloses s’étant alors élevé, les rhéteurs comptant les métaphores ou expliquant les phrases par l’asthme.
JEAN-JACQUES ROUSSEAU Jean-Jacques Rousseau, né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 à Ermenonville, est un écrivain, philosophe et musicien genevois de langue française. Il est l'un des plus illustres philosophes du siècle des Lumières, bien que son œuvre philosophique et son tempérament l'aient souvent opposé au rationalisme des Lumières ainsi qu'à quelques-uns de ses éminents représentants. Ses travaux ont influencé grandement l'esprit révolutionnaire français. Il est particulièrement célèbre pour ses travaux sur l'homme, la société ainsi que sur l'éducation.
La philosophie politique de Rousseau se situe dans la perspective dite contractualiste des philosophes britanniques des XVIIe et XVIIIe siècles, et son fameux Discours sur l'inégalité se conçoit aisément comme un dialogue avec l'œuvre de Thomas Hobbes. • Rousseau s'inscrit contre la filiation nobiliaire et réveille cette inconnue de la « vieille » littérature : la sensibilité, une sensibilité fondatrice de droits et de devoirs.
FRANÇOIS MARIE AROUET VOLTAIRE François Marie Arouet, dit Voltaire, né le 21 novembre 16941 à Paris où il meurt le 30 mai 1778, est un écrivain et philosophe qui a marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective des Français. « On n’emprisonne pas Voltaire » dira de Gaulle en 1960 à ceux qui réclament l’inculpation de Sartre dans l’affaire du Manifeste des 121. Symbole des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre « l’infâme » (il invente en 1759 le slogan « écrasons l’infâme » par lequel il termine ses lettres à ses intimes), nom qu’il donne au fanatisme religieux.
Il n’en finit pas de dresser la liste des malheurs et des crimes qu’il engendre, et, pour lui, il ne peut y avoir de progrès de l’humanité et de la civilisation sans tolérance. Dans ce contexte, son grand ennemi est la religion chrétienne et l’Église catholique de son temps. Ses adversaires l’accuseront de saper les bases de la religion et par là même de la monarchie et de favoriser la dépravation des mœurs.
PROJET RÉALISÉ PAR LES ÉLÈVESDE LA XI-e G 2009 : • Apintilesei Daniela • Murariu Carmen • Dupu Andrei • Adãscãliţei Lucian PROFESSEUR COORDONNATEUR : IULIA-MARIA STOICA LycéeNational”Grigore Ghica” Dorohoi