Cas incidents de violences sexuelles enregistres EN 2009

1. Cas incidents de violences sexuelles enregistres EN 2009 UNFPA, Avril 2010 27/04/2010

2. Sommaire • 1. Contexte • 2.Méthodologie • 3. Statistiques • 4. Contraintes • 5. Conclusion • 6. Recommandations

3. 1. Contexte • Les violences sexuelles demeurent une problématique à l’échelle nationale • Les violences seraient aussi liées aux opérations militaires menées à l’Est (Kimia1). • Présence des milices et des bandes armées (LRA,…) • Exactions et viols commis à l’endroit des refoulés de part et d’autre de la frontière (BC, K Occ, K Or). • Conflits interethniques (Equateur) • Impunité

4. 2. Méthodologie Source et circuit des données Définitions • Nombre de cas incidents de violence sexuelles: nombre d’actes de violence subis par des victimes au cours d’une période de temps donnée • Violence sexuelle considérée: viol • Période: • 1er Jan 2009 – 31 déc 2009 • * Système parallèle au SK • (Compilation Avril 2010) Structures du médicale Niveau communautaire Réseaux communautaires Structures du psychosociale Synergies territoriales provinciales Agences SNU Judiciaire Antenne provinciale UNFPA Support de collecte: Fiche des cas incidents (information synthétique) Bureau central UNFPA

5. Estimation de la couverture des données enregistrées

6. 3.Statistiques

7. Evolution du nombre d’incidents de violences sexuelles reportés de 2007 à 2009 Source: Statistiques des cas incidents de violences sexuelles en RDC. Synergies/UNFPA

8. Distribution du nombre de cas incidents reportés par province de janvier à decembre2009 Moyenne nationale de 1595 cas par mois 1468 (3103) 695 4091 881 5010 831 947 1131 592 1028 833

9. Comparaison cas incidents par province en 2008 et 2009

10. Profil des victimes

11. Profil des présumés auteurs

12. Pourcentage des victimes prises en charge par volet

13. Comparaison des prises en charge entre 2008 et 2009

14. Evolution du profil des auteurs depuis 2006

15. Prises en charge par volet

16. 4. contraintes • Difficulté d’un cadre commun de partage des données par tous les intervenants • Nombre de cas reportés reste inférieur à la réalité • Immensité du pays – couverture partielle • Insécurité et inaccessibilité de certaines zones • Contraintes logistiques au niveau de la collecte et du délai de la remontée de l’information

17. 5. Conclusion • L’ampleur des violences sexuelles reste élevée: une moyenne de1595 cas par mois • Les provinces de l’Est maintiennent le nombre le plus élevé de cas incidents de VS (NK, PO et SK). • 6 victimes sur 10 sont des mineurs et 70% sont des adolescents et jeunes • 65% des auteurs sont des civils (il peut aussi bien s’agir des démobilisés) contre 35% des personnes en uniforme

18. 6. Recommandations • Implication plus grande des acteurs pour le partage régulier des données autour d’un cadre de coordination, concertation et opérations agrées • Une meilleure conjugaison et complémentarité des efforts pour apporter une réponse holistique de qualité, améliorer l’accès des victimes aux services et renforcer les mécanismes de prévention

19. MERCI