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Fin de vie: faut-il légiférer?. F Lemaire (Hop henri Mondor) Pt IMR. Fin de vie: l’évolution de la situation en France. 2000-02: B.Kouchner, Secrétariat d’état à la santé; avis 63 CCNE; recommandations SRLF. Fin de vie: l’évolution de la situation en France.
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Fin de vie: faut-il légiférer? F Lemaire (Hop henri Mondor) Pt IMR
Fin de vie: l’évolution de la situation en France • 2000-02: B.Kouchner, Secrétariat d’état à la santé; avis 63 CCNE; recommandations SRLF
Fin de vie: l’évolution de la situation en France • 2000-02: B.Kouchner, Secrétariat d’état à la santé; avis 63 CCNE; recommandations SRLF • 2003-04: JF PMattei, Min santé affaire Humbert/ Chaussoy; Besançon - rapport Marie de Hennezel - prise position SRLF - conférences de consensus ESICM, ANAES - avis Académie de médecine - mission parlementaire J Leonetti - déclaration D.Perben, garde des sceaux - CNOM: réécriture article 37 code déontologie
Fin de vie: faut-il légiférer? Définitions • Euthanasie • Suicide assisté, médicalement assisté • Abstention volontaire de boisson et de nutrition • Arrêt/ limitation des soins actifs en réanimation • Accompagnement fin de vie: morphine
Euthanasie: définition (loi Belge du 28 mai 2002) “Un acte, pratiqué par un tiers, qui met intentionellement fin à la vie d’une personne, à la demande de celle-ci”
Euthanasia: incidenceAgnes van der Heide, Jp van der Maas, the Lancet; 2003,
SÉNAT: SESSION ORDINAIRE DE 2003-2004 (11 mai 2004)PROPOSITION DE LOIrelative à l'autonomie de la personne, au testament de vie, à l'assistancemédicalisée au suicide et à l'euthanasievolontaire,PRÉSENTÉE Par MM. François AUTAIN et alEXPOSÉ DES MOTIFS « Dans les services de réanimation, un patient sur deux meurt après décision de limitation ou d'arrêt de soins actifs et 20% de ces décisions médicales sont des injections avec intentionnalité de décès. Quand on sait par ailleurs que le tiers des décès, dans notre pays, soit environ 180.000 sur les 520.000/540.000 constatés par an, survient dans les services de réanimation, on mesure la place qu'a prise l'euthanasie dans notre société. Il faut ajouter que le patient n'est pratiquement jamais informé ou en mesure de donner un quelconque consentement parce que, le plus souvent, hors d'état d'exprimer sa volonté. Les proches non plus ne semblent pas avoir part à la décision. »
Questionnaires adressés aux médecins de l’Oregon en 1999: 2649/4053 réponses ( 65%) • 144 demandes SMA, 165 patients • Âge: 68; cancer: 67%; survie <6 mois: 76% • Depression: 20% refus de prescription • Prescription: 29 (18%) • 94% des décès “assistés” au domicile • Produit léthal: barbituriques: 98% NEJM 2000; 342: 557
Intervention palliative (n=68) chgt décision: 46%, mais 15% si pas intervention • 45% des demandeurs recevaient des soins palliatifs NEJM 2000; 342: 557
Deaths among Patients in Hospice Programs and Total Deaths in Oregon, 1990 to 2000 Steinbrook, R. N Engl J Med 2002;346:460-464
Morphine Consumption in Oregon and the United States, 1997 to 2000 Steinbrook, R. N Engl J Med 2002;346:460-464
Reasons for Requesting Prescriptions for Lethal Medications Ganzini et al. 342 (8): 557, 2000 Ganzini, L. et al. N Engl J Med 2000;342:557-563
Euthanasie : incidence aux Pays-BasB.D.Onwuteaka-Philipsen, Jp van der Maas, the Lancet; 2003,
L Dellens et al. End of life decisions in Flanders Lancet, 2000; 356: 1806 Observed deaths= 1925/56354 (1998)
Fin de vie: faut-il légiférer? D’autres domaines d’intérêt que l’euthanasie; l’« approche palliative » dans: • La réanimation • L’hospitalisation courante, le long séjour, la cancérologie • La gériatrie • La médecine de ville • La médecine d’urgence hosp; (SAU) • Le pré-hospitalier (SAMU/SMUR)