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Le référentiel eSCM

Le référentiel eSCM. Alain MOSCOWITZ, directeur IT Gouvernance. S ’inscrire dans une dynamique ITIL, ISO 20000, COBIT, CMMI, …. Problématique du Sourcing. Un référentiel en cours de développement par Carnegie Mellon

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Presentation Transcript


  1. Le référentiel eSCM Alain MOSCOWITZ, directeur IT Gouvernance

  2. S ’inscrire dans une dynamique ITIL, ISO 20000, COBIT, CMMI, … Problématique du Sourcing • Un référentiel en cours de développement par Carnegie Mellon • eSCM : eSourcing Capability Model définit l’axe client fournisseur dans le cadre d’un contrat d’infogérance, • Il est composé de deux modules : • Fournisseur  eSCM-SP (SP pour Service Provider) • Client  eSCM-CL (CL pour Client) • Ce référentiel définit de façon symétrique le service rendu côté fournisseur et le besoin exprimé côté client

  3. 6 types de relation client / fournisseur • La relation traditionnelle ; un fournisseur livre un client, • La relation "Co-Sourcing" : 2 fournisseurs s’associent pour répondre à une demande client, • La relation "Multi Sourcing" identique à la précédente mais avec plusieurs fournisseurs, • L’alliance où plusieurs fournisseurs collaborent pour répondre à une demande d’un ou plusieurs clients, • La Joint Venture, • La relation "In Sourcing" où le fournisseur est intégré dans l’organisation du client. • Le choix de l’un de ces types de relations dépendra essentiellement de la stratégie adoptée par le client en terme de sourcing

  4. 3 dimensions • eSCM est un référentiel organisé selon 3 dimensions : • Le cycle de vie du service à rendre, • Les domaines d’aptitude regroupant des pratiques sur lesquelles repose le service, • Le niveau d’aptitude associé à chaque pratique.

  5. 4 phases • Le cycle de vie couvre 4 phases : • Initialisation, • Livraison, • Clôture, • Vie courante

  6. Le domaine d’aptitude • Un domaine d’aptitude est un groupement logique de pratiques qui s’appuient sur une typologie de documents. On distingue : • Les pratiques de type procédure, • Les pratiques de type règle, • Les pratiques de type plan. • Les concepteurs ont ainsi élaboré 84 pratiques réparties sur 10 domaines d’aptitude.Les pratiques répondant spécifiquement aux exigences d’une des 3 premières phases du cycle de vie sont traitées dans les domaines suivants : • La gestion du contrat, • La conception et déploiement du service, • La livraison du service, • Le transfert de service. • Les pratiques en continu sont réparties dans les 6 autres domaines : • La gestion des connaissances (8 pratiques), • La gestion des ressources humaines ( 11 pratiques), • La gestion de la performance ( 8 pratiques), • La gestion des relations et parties prenantes (client, partenaires, fournisseurs) ( 8 pratiques), • La gestion des technologies (7 pratiques), • La gestion des risques (8 pratiques).

  7. eSCM-SP : un référentiel de management pour les prestataires en infogérance

  8. Les 5 niveaux d’aptitude • eSCM-SP a établi 5 niveaux d’aptitude : • Niveau 1 : Fournir les services - Gestion des services • Niveau 2 : Répondre systématiquement aux besoins – Gestion des engagements • Niveau 3 : Traiter la performance organisationnelle – Gestion des performances • Niveau 4 : Améliorer pro-activement la valeur – Gestion de l’innovation • Niveau 5 : Maintenir l’excellence – Développement de l’excellence • Comme pour CMMI, ces 5 niveaux matérialisent une trajectoire d’amélioration de service. Cela va de la fourniture du service sans pratiques particulières (niveau 1), au maintien de l’excellence pour laquelle une mise en œuvre de toutes les pratiques est requise et reconnue suite à deux évaluations consécutives (niveau 5). • Chaque pratique est associée à un et un seul niveau. Par conséquent, seuls les niveaux 2, 3 et 4 contiennent des pratiques, le niveau 5 n’étant qu’une résultante qualité de toutes les activités issues des niveaux inférieurs.

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