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LE RENFORCEMENT DES SYSTEMES DE PROTECTION DE L’ENFANCE EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE : UN APPEL A L’ACTION. SYSTEMES DE PROTECTION DE L’ENFANT en AFRIQUE. POURQUOI LA PROTECTION DE L’ENFANT ?. APPRCOCHE SYSTEMES. OÙ NOUS VENONS…. OÙ NOUS NOUS DIRIGEONS …. DES EVENEMENTS CLÉS ET DOCUMENTS.
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LE RENFORCEMENT DES SYSTEMES DE PROTECTION DE L’ENFANCE EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE : UN APPEL A L’ACTION
APPRCOCHE SYSTEMES OÙ NOUS VENONS… OÙ NOUS NOUS DIRIGEONS…
POURQUOI UNE DECLARATION COMMUNE INTERAGENCE? • de présenter notre vision commune des systèmes de protection de l’enfance en Afrique subsaharienne et d’expliquer pourquoi ils sont importants et méritent des investissements, • lancer un appel à l’action auprès des gouvernements, à l’Union africaine, aux communautés économiques régionales, aux institutions multilatérales, aux bailleurs de fonds, au secteur privé, aux institutions académiques, aux organisations de la société civile, aux communautés et aux groupes d’enfants et de jeunes organisés.
LESACTEURES des SYSTEMES de PROTECTION Gouvernement SociétéCivile et organisations privées Communautés Enfants Familles
ELEMENTS POUR SYSTEMES DE PROTECTION EFFICACES • des politiques, législations et règlements appropries , • des structures et fonctions bien définies ainsi que des capacités adéquates, • des normes sociales favorables, • des actions de promotion, de prévention et de réponses efficaces, • des données et des informations de haute qualité disponibles pour prendre des décisions et • une gestion fiscale efficace ainsi qu’une allocation suffisante de ressources. Lorsque ces éléments et ces acteurs sont réunis, le système est capable de mieux protéger tous les enfants.
ÉTUDE DE CAS • Le père de Fatou la quittée quand elle avait 6 ans. Sa mère ne pouvait plus s’occuper d’elle alors elle a été envoyée pour vivre avec son oncle à la cité • L’ami de son oncle vient souvent à la maison pour lui rendre visite. Il a commencé à acheter des cadeaux pour Fatou et a commencé à abuser d’elle de façon répétée. • Elle est restée silencieuse comme elle ne savait pas à qui en parler. • Plusieurs mois plus tard, sa tante a découvert ce qui s’est passé et elle a conduit Fatou à l’hôpital • Elle a reçu un traitement pour les blessures, mais sa tante lui a dit de ne rien dire en vue d’éviter la honte à la famille • Quand bien même l’ami de son oncle ne vient plus à la maison, Fatou ne pouvait plus se concentrer à l’école.
Mais, si les services sociaux avaientété informésque la mère de Fatou avait des difficultés financières, ils auraient pu contribuer au renforcement de ses capacités économiques pour appuyer la famille et prévenir la séparation. • Si les professeurs à l’école de Fatou avaientété formés sur la protection des enfants, ils auront pu constaterle changement dans son comportement enclasse et assurer son référencement à l’équipe de protection au niveau locale. • Si la tante de Fatou avait écouté à la radio une émission qui explique où aller en cas d’abus, elle aurait peut-être appelé une ligne verte. • Et si l’agent de Santé qui a traité Fatou faisait partie d’une équipe de services intégré dans son quartier, il aurait pu rapporter le cas à la police et assurer que le violeur a été puni.
A chaque étape du processus, un système fort de protection de l’enfant peut faire la différence dans la communauté y compris à l’école
ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE NOUS LANÇONS UN APPEL POUR
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