1 / 17

L’histoire de “la Cumparsita ”

L’histoire de “la Cumparsita ”. Cliquer. “  La cumparsita  ” fut composée en 1915 ou 1916 par le pianiste Gerardo Matos Rodriguez , né à Montevideo en Uruguay (1897-1948). Etudiant en architecture à l’université, il composa en l’honneur de son groupe de camarades

ismaela
Download Presentation

L’histoire de “la Cumparsita ”

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. L’histoire de “la Cumparsita” Cliquer

  2. “ La cumparsita ” fut composée en 1915 ou 1916 par le pianiste Gerardo Matos Rodriguez, né à Montevideo en Uruguay (1897-1948).

  3. Etudiant en architecture à l’université, il composa en l’honneur de son groupe de camarades appelé “ la comparsa ” (troupe de musiciens) une marche de Carnaval qu’il intitula “ La Cumparsita ”.

  4. Gerardo Matos Rodriguez présenta sa partition au maestro Roberto Firpo en tournée à Montevideo qui accepta de l’interpréter et par la suite révisa puis compléta la musique en transformant cette marche en tango. Firpo regretta toute sa vie de n’avoir pas déposé son arrangement à la société des auteurs, ce qui le priva de revenus considérables. Par ailleurs, Matos Rodriguez vendit ses droits à un éditeur pour une bouchée de pain. Il lui fallut un interminable procès pour qu’il récupère, à la fin de sa vie, une partie des gains énormes produits par ce tango.

  5. La partition de piano et violon dédiée à ses amis étudiants

  6. Le morceau resta inconnu durant plusieurs années, jusqu’au jour où Carlos Gardel l’enregistra en 1927. Il connut alors un succès fulgurant.

  7. Cette œuvre est très populaire en Argentine et en Uruguay, au point que les deux pays s’en disputent parfois la propriété. Ainsi, à l’exposition universelle de Séville en 1992, la délégation argentine protesta contre l’insistance mise par l’Uruguay sur l’origine montévidéenne de la pièce.

  8. En 2000, le choix de “ La cumparsita ” pour l’entrée des athlètes argentins au défilé inaugural des Jeux Olympiques de Sydney fut l’objet de protestations du gouvernement uruguayen.

  9. On appelle souvent “ Lacumparsita ”, de façon plus consensuelle, “ l’hymne du Rio de la Plata ”, du nom de l’estuaire séparant l’Uruguay de l’Argentine. Par décret présidentiel du 2 février 1998, c’est l’hymne populaire et culturel d’Uruguay.

  10. En 1930, Jean Wiener et Clément Doucet qui formaient le duo classique et jazz Wiener et Doucet, enregistrèrent à deux pianos “ La cumparsita ”. Jean Wiener

  11. “ La cumparsita ” a aussi été enregistrée par Luis Mariano et par Franck Pourcel. En outre, plusieurs fanfares étudiantes françaises l'ont ajoutée à leur répertoire, parmi lesquelles Globe Note (Lille) et La Vashfol (Rouen).

  12. “ La Cumparsita ” est devenue le tango le plus célèbre au monde. Cette composition sans prétention possède une incroyable capacité de s’adapter à des variations et arrangements de toute beauté.

  13. Lorsqu’un couple danse le tango, l’élégance de ses déplacements fait l’admiration de ceux qui le regardent évoluer.

  14. Paroles de Gerardo Matos Rodriguez (1916) La Cumparsade miserias sin fin desfila,en torno de aquel ser enfermo,que pronto ha de morir de pena.Por eso es que en su lechosolloza acongojado,recordando el pasadoque lo hace padecer/estremecer. Le cortège de misères défile sans fin,autour de cet être malade,qui bientôt va mourir de peine.C'est pour cela que dans son litil sanglote tristement,se rappelant le passéqui le fait souffrir.

  15. Paroles de Enrique Maroni et Pascual Contursi (1924) Si supieras...que aún dentro de mi almaconservo aquél cariñoque tuve para ti.Quién sabe, si supieras...que nunca te he olvidado,volviendo a tu pasadote acordarás de mi.Los amigos ya no vienen,ni siquiera a visitarme,nadie quiere consolarmeen mi aflicción.Desde el día que te fuistesiento angustias en mi pecho,decí, percanta, ¿ Qué has hechode mi pobre corazón ? Si tu savais...que dans mon âmeje conserve toujours cette tendresse que j'ai eue pour toi. Qui sait, si tu savais...que jamais je ne t'ai oubliée,revenant à ton passétu te souviendras de moi.Les amis ne viennent plus,pas même une visite, personne ne veut me consolerdans mon désespoir.Depuis le jour où tu es partie je sens l'angoisse dans ma poitrine,dis-moi, petite, qu'as-tu faitde mon pauvre cœur ?

  16. Documentation : Internet andre.hernandez@sfr.fr

More Related