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Ministère de l’ E ducation Nationale, UNICEF BURKINA de l’Alphabétisation et de la Promotion
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Ministère de l’Education Nationale, UNICEF BURKINAde l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues Nationales ****** secrétariat général ******Direction Générale de l’Encadrement Pédagogique et de la Formation Initiale et Continue ATELIER D’INFORMATION DES FORMATEURS DE LA CONFERENCE ANNUELLE DES ENCADREURS PEDAGOGIQUES (CAEP) 2019 SUR L’APPROCHE SAFE SCHOOL ET LES ACTIVITES DE PRISE EN CHARGE PSYCHOSOCIALE (PSS) Juillet 2019
Plan de communication : • INTRODUCTION • Pré- test • UNITE I : L’approche safeschool • Section I: Philosophie de l’approche Safeschool • 1. Définition de l’approche • 2. Fondements • 3. Vision • 4. Objectifs • 5. Principes • 6. Stratégies
Section II : Cartographie des forces et vulnérabilités et élaboration des plans de préparation/réponses 1. Les étapes de la cartographie • 1.1. Définition de la cartographie des forces, des vulnérabilités et élaboration des plans de préparation/réponses • 1.2. Les étapes de la cartographie des forces et des vulnérabilités • 2. L’élaboration des plans de préparation/ réponses • 2.1. Les domainesde l’élaboration des plans de préparation/ réponses
2.2. Processus d’élaboration du plan de préparation / réponses • 2.2.1 Pourquoi est- il important d’écrire mapeur? • 2.3. Canevas d’un plan de préparation/ réponses
INTRODUCTION: • L’éducation est un droit fondamental reconnu par la constitution du Burkina Faso. Mais les efforts déployés pour le réaliser se trouvent contrariés par la crise sécuritaire que connait, depuis quelques années, la région ouest africaine et la survenue de catastrophes de tout genre qui impactent négativement les services administratifs, sociaux et éducatifs des zones affectées. Or, ‘’les Résolutions 1998 (2011) et 2143 (2014) du Conseil de Sécurité des Nations unies demandent instamment à toutes les parties à des conflits armés de s’abstenir de toute action qui entraverait l’accès des enfants à l’éducation et encouragent les Etats membres à envisager de prendre des mesures concrètes pour dissuader les forces armées et les groupes armés non étatiques d’utiliser les écoles en violation du droit international’’ (Déclaration sur la sécurité dans les écoles)…
En adossant la déclaration sur la sécurité dans les écoles en 2017, le Burkina Faso a permis l’introduction de l’approche safeschool dans son système éducatif. La vision de cette approche novatrice est de créer, dans les écoles du Burkina Faso, un environnement protecteur, inclusif, convivial pour un enseignement/ apprentissage de qualité. Elle permet de développer des comportements résilients chez les acteurs éducatifs et communautaires que sont les enseignants, les agents sociaux, les élèves, les parents d’élèves et la communauté entière. • Cette communication vise à doter les participants de connaissances et compétences susceptibles de leur permettre d’appliquer l’approche tout en l’adaptant aux besoins et réalités spécifiques de leur milieu scolaire. Il s’articule autour deux thématiques essentielles qui sont : • pédagogique.
l’approche safeschool : i) aspects théoriques que sont les fondements, les principes directeurs et la participation des élèves et des acteurs communautaires ; ii) aspects pratiques à travers l’élaboration des plans de préparation/réponses. • Les activités de prise en charge psychosociale dans une perspective d’exploitation
UNITE 1: L’approche Safeschool • Objectif général : • Connaitre l’approche Safeschool • Objectifs spécifiques : • Définir l’approche Safeschool ; • Présenter la cartographie des forces et des vulnérabilités • Présenter un plan de préparation/réponse ;
Pré-test Que signifie Safeschool ? • citez les différentes étapes de la cartographie des forces et des vulnérabilités ? • Citez les différents domaines de l’élaboration d’un plan de préparation/réponse ?
Section 1 : Philosophie de l’approche Safeschool 1. Définition • Safeschoolest une expression anglaise qui signifie ‘’école sûre’’ ou environnement d’apprentissage protecteur. Elle est une approche utilisée pour créer un environnement protecteur et assurer la prise en charge psychosociale des personnes affectées. • L’initiative Safeschool selon l’acception actuelle de l’UNICEF Burkina Faso s’entend par la mise en place d’un paquet de services comprenant la préparation des écoles ou des établissements post-primaires et secondaires à travers des plans pour faire face à diverses crises y compris les attaques de groupes armés non étatiques, la prise en charge psychosociale apportée par les enseignants à travers les activités pédagogiques ludiques, l’assistance psychosociale collective ou individuelle apportée par des psychologues professionnels et/ou l’appui de relais communautaires et d’agents de santé, le programme d’éducation par la radio.
2. Fondements • L’approche Safeschool repose sur des instruments internationaux et nationaux. • Les instruments internationaux: • La Déclaration universelle des Droits de l’Homme (Art.1) ; • Les Objectifs de Développements durables (ODD) : selon l’ODD 4 les États-parties doivent ‘’assurer à tous une éducation équitable, inclusive et de qualité et des possibilités d’apprentissage tout au long de la vie.’’ • La Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) ; • Les Résolutions 1998 (2011) et 2143 (2014) du Conseil de Sécurité des Nations unies ; • La Déclaration sur la sécurité dans les écoles, endossée en 2017 par le Burkina Faso.
Les textes nationaux: • La Constitution (Art.18) ; • La Loi N°013/AN du 30 juillet 2007 portant Loi d’orientation de l’éducation (art. 3 et 4) ; • Le Décret N°2016-926/PRES/PM/MATDSI/MJDHPC/MINEFID/MENA portant protection du domaine scolaire (Art. 3 ; 4 ;5)
3. Vision • L’approche safeschool a pour vision de préparer les enseignants qui travaillent dans un contexte d’insécurité à engager leurs élèves d’une part, à la cartographie de la vulnérabilité de leur propre école, et d’autre part à élaborer des plans de préparation/réponse. • Il s’agit également d’une opportunité pour eux d’impliquer la communauté sur les questions de sécurité scolaire en utilisant leurs propres ressources et capacités pour renforcer la résilience des écoles et des personnes qui les fréquentent, contre d’éventuels dangers. • L’approche safeschool a surtout pour vision la guérison des élèves et enseignants à travers les activités de prise en charge psychosociale (PSS).
4. Les objectifs de l’approche safeschool 4.1 Objectif général de l’approche • L’OG de cette approche est de renforcer les capacités des acteurs de l’éducation nationale sur la résilience face aux attaques terroristes et autres catastrophes pour un environnement d’apprentissage sécurisé, afin de dispenser un enseignement de qualité.
4.2 Les Objectifs Spécifiques : - Renforcer les capacités des acteurs de l’éducation à la résilience face aux attaques de groupes armés extrémistes ou non étatiques et autres catastrophes ; - identifier les risques encourus ; - élaborer des plans de préparation/réponse ; - renforcer les liens entre école et communauté ; - mettre en œuvre des plans de préparation /réponses ; - créer un environnement d’apprentissage protecteur ; - créer un cadre convivial et agréable propice aux apprentissages ; - promouvoir le droit à l’éducation des enfants ; - amener les communautés à participer à l’évaluation des risques et des vulnérabilités de l’école ou de l’établissement ; - renforcer la résilience de l’établissement.
5- Principes • Des principes de base doivent être respectés pour une mise en œuvre efficace de l’approche safeSchool. Ce sont : • - l’inclusion ; • - la participation communautaire ; • - la bonne gouvernance scolaire ; • - la promotion et la protection des droits de l’enfant ; • - l’enfant-centrisme.
6- Stratégies • La stratégie de la mise en œuvre de l’approche Safeschool est axée sur : • L’identification de la zone d’intervention ; • L’identification des acteurs impliqués ; • La mobilisation sociale ; • L’identification des enseignants et élèves directement affectés par les attaques de groupes armés extrémistes ou non étatiques et autres catastrophes ;
Stratégies (suite) • La prise en charge psychosociale des enseignants et des élèves directement affectés ; • L’élaboration de module et guide ; • La formation des formateurs sur la résilience face aux attaques de groupes armés extrémistes ou non étatiques et autres catastrophes ; • Le renforcement des capacités des enseignants et des membres de comité des parents d’élèves, agents de santé/sociaux de la zone d’intervention à la résilience face aux attaques de groupes armés extrémistes ou non étatiques et autres catastrophes ; • L’intégration du module et guide dans les ENEP et EPFEP ; • La participation des communautés à l’évaluation des risques et des vulnérabilités ; • La mise en œuvre de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) • Le programme d’éducation par la radio (PER).
Section 2 : Cartographie des forces, des vulnérabilités et élaboration des plans de préparation/réponses Les étapes de la cartographie: 1. Définition de la cartographie des forces et des vulnérabilités • La cartographie des forces et des vulnérabilités est une analyse interactive des forces et des vulnérabilités en lien avec la communauté, les infrastructures scolaires, les connaissances collectives sur les questions de sécurité et de communication et le statut psychosocial de la communauté éducative.
En milieu scolaire, elle s’entend comme étant une technique utilisée pour outiller la communauté éducative (élèves, enseignants, personnel d’appui de l’établissement, agents de santé/sociaux, parents…) de rudiments capables de lui permettre de déceler, d’identifier ses forces et ses faiblesses en contexte d’insécurité. • 2- Les étapes de la cartographie des forces et des vulnérabilités • Les étapes de la cartographie des forces et des vulnérabilités sont au nombre de cinq (5) qui sont : • 1. L’analyse : Analyser un danger est un processus qui consiste à comprendre la nature du danger et à déterminer le degré du risque. Elle permet également d’identifier les dangers qui menacent l’école et de prioriser le plus grand danger parmi tous ceux répertoriés. • Sa démarche s’articule comme suit : • - d’abord identifier les dangers et les vulnérabilités auxquels l’établissement est exposée ; • - Ensuite voir s’ils sont identiques ou différents selon le genre (filles/garçons, femmes/ hommes), profils spécifiques ou groupes de personnes ; • - Enfin hiérarchiser / prioriser les dangers, c’est-à-dire retenir le danger le plus « dangereux ».
2- La prévention : • c’est un ensemble d’actions qui permettent d’éviter ou de réduire le danger. C’est l’élaboration de plans de préparation/réponses en utilisant les ressources et les capacités endogènes de la communauté pour renforcer la résilience des établissements et des personnes qui les fréquentent contre d’éventuels dangers. Eviter et/ou réduire l’impact négatif des risques. • Il s’agit de répertorier les forces et les faiblesses en lien avec le danger priorisé. Concrètement, il est question d’identifier ce que nous pouvons faire et les moyens dont nous disposons et ce que nous ne pouvons pas contrôler.
3- L’atténuation : • atténuer un danger, c’est réduire, minimiser, diminuer les méfaits, les conséquences, l’impact du danger. • Il s’agit de s’interroger sur les actions à mener pour réduire les effets du danger s’il survenait. • 4- La préparation (avant) : c’est l’ensemble des actions mises en œuvre en amont qui permettent d’apporter une réponse en temps opportun. • Il s’agit pour toute la communauté éducative de réfléchir sur les actions à mener comme réponse face à un danger.
5- La réponse (pendant) : • c’est l’ensemble des solutions prises pour atténuer ou gérer les effets d’un danger. • Il s’agit d’abord de savoir la conduite à tenir en cas de danger. • Ensuite pratiquer et utiliser les compétences et connaissances nécessaires.
II. L’élaboration du plan de préparation/ réponses 1. Les domaines Un plan de préparation/réponses comporte quatre (04) domaines qui sont : • Communauté/communication : ce domaine interroge l’ensemble du réseau de relations de l’établissement, sa connexion avec toute la communauté éducative pour analyser ses forces, ses faiblesses et envisager des actions à mener pour améliorer sa résilience en cas de danger. En d’autres termes, elle prend en compte l’intégration de l’établissement au milieu. • Connaissances : il s’agit ici de répertorier l’ensemble des connaissances utiles pour qu’en cas de danger, chacun sache quoi faire, comment le faire, où aller, etc.
Environnement physique/Infrastructures : cette partie du plan s’intéresse non seulement à l’environnement dans lequel est située l’établissement pour comprendre les forces et les faiblesses mais aussi la qualité des infrastructures de l’école en lien avec un besoin de mise à l’abri ou d’évacuation. Elle s’intéresse également aux sites d’accueil en cas d’évacuation. • Bien être personnel : ce domaine s’intéresse au réseau de relations interpersonnelles entre les différents membres de l’établissement, aux dispositions psychologiques et aux compétences psychosociales de chacun en cas de danger et aux personnes à besoins spécifiques. • Enfin pour renseigner chaque domaine, certaines questions pourraient nous guider. Ces questions ne sont pas exhaustives pour prendre en compte la situation spécifique de chaque établissement quel que soit le lieu, mais peuvent être adaptées aux réalités particulières de chaque établissement.
Communauté/communication : • Qui peut aider ? • Est-ce-que l’établissement est connecté à la communauté ? • Est-ce-que l’établissement dispose du numéro de téléphone des FDS ? • L’enseignant et le directeur ou le proviseur de l’établissement disposent-ils d’une liste avec les noms et les numéros de téléphone des parents ? • Est-ce-que chaque enseignant dispose d’un répertoire téléphonique des parents d’élèves de sa classe ? • Est-ce-que nous pouvons retrouver le chemin de la maison ? • Est-ce qu’il existe un système de communication pour alerter le directeur et les enseignants en cas de danger ? • Quels sont les types et moyens de communication utilisés ? • Est-ce-que nous avons quelqu’un pour nous aider au sein de la communauté ? • Quel est le rôle de chacun au cas où un danger arrive ? • Est-ce qu’il existe un code d’alerte dans notre établissement ? • Etc.
Connaissances • Est-ce-que nous savons ce qu’il faut faire lorsqu’un danger arrive ? • Est-ce-que nous savons où aller si nous devons fuir l’établissement ? • Est-ce-que nous savons où aller si nous devons nous cacher ? • Est-ce-que nous savons où trouver nos parents lorsqu’un danger arrive et que nous nous sommes perdus ? • Savons-nous comment nous protéger contre les engins explosifs ? • Savons-nous reconnaitre une personne suspecte (qui peut nous faire du mal) ? • Est-ce que nous savons utiliser un téléphone ? • Est-ce nous connaissons le code d’alerte de notre établissement ? • Savons-nous reconnaitre les signes de dangers, de détresse, les emblèmes, des organisations (Croix rouge, HCR, UNICEF, HI, DRC…) ? • Etc.
Environnement physique/ infrastructures • Notre établissement dispose-t-il d’un mur/ clôture ? • Notre établissement dispose-t-il d’un portail fonctionnel ? • Les salles de classe disposent-elles d’issues de secours adaptées ? (Portes, fenêtres etc.) • Les sites d’accueil sont-ils bien aménagés ? • Un passager peut-il accéder à l’établisseement sans contrôle ? • Notre établissement dispose-t-il d’un gardien ? • Etc
Bien être personnel • Quelles sont nos forces pour faire face à ce problème ? • Comment notre confiance réciproque, notre amitié ou nos bonnes relations peuvent-elles nous aider à faire face à cette situation ? • Les élèves font –ils confiance en leurs enseignants ? • Les élèves se font –ils confiance ? • Quelqu’un d’entre nous a-t-il des besoins particuliers à prendre en compte ? • Sommes-nous prêts à les aider en cas de danger ? • Comment comptons-nous le faire ? • Quelles compétences interpersonnelles, état d’esprit seraient utiles en cas d’attaque ? ou de manifestation d’un danger ? • Pouvons–nous rester calmes en cas de danger ? • Etc
2. Processus d’élaboration du plan de préparation/réponses • L’élaboration du plan commence par l’une des activités de PSS suivantes : ‘’Pourquoi est-il important d’écrire ma peur ?’’ et ‘’Rebondir’’. • 2-1 Pourquoi est-il important d’écrire ma peur ? • Objectifs : • Elle vise à : - amener les élèves à s’exprimer sur leur peur - mener les élèves à identifier les peurs les plus fréquentes dans ou autour de l’école ; • identifier les dangers ; • partager les inquiétudes ; • donner les raisons de leur peur ; • préparer de façon participative des plans de préparation/réponses ; • améliorer la collaboration entre l’école et la communauté ; • accroitre la résilience de l’école en réduisant les risques et dangers potentiels.
Instructions : • Prendre et faire prendre une feuille vierge par les élèves ; • Plier la feuille en trois dans le sens de la largeur ; • Les élèves s’inspirent de l’exemple fait par le maitre ; • Faire déplier la feuille qui prend désormais la forme de trois rectangles ; • Demander le silence avant d’expliquer la consigne suivante : • Demander aux élèves de penser à leur plus grande peur quand ils sont à l’école, tout autour de l’école ou sur le chemin de l’école (cette étape exige un calme absolu au moment où le maître explique la consigne. Ceci pour permettre aux élèves d’être dans une bonne disposition psychologique pour ressortir ce qu’ils vivent réellement). Il est bon, de situer le contexte environnemental dans lequel l’école vit, pour mieux orienter les élèves. Ceci ne signifie pas que le maître propose des réponses aux élèves.
Inviter chaque élève à écrire à l’intérieur de la feuille, dans le rectangle du milieu sa plus grande peur quand il est à l’école, autour de l’école ou sur le chemin de l’école; • Au verso, toujours dans le rectangle du milieu, leur demander d’écrire la raison de cette peur ; • Leur donner le temps nécessaire pour finir l’activité ; • Le maître veillera à tourner dans les rangées pour reprendre la consigne pour ceux qui n’ont pas bien compris ; • Lorsqu’ils ont fini, inviter chaque élève à lire sa peur et à donner la raison ; • A chaque fois qu’un élève s’exprime, l’enseignant identifie le danger et le note sur le tableau ; • A priori, le maitre notera toutes les peurs exprimées, même les plus improbables. • Après avoir répertorié les peurs (les dangers) et avant de passer à la métaphore du parapluie, il est bon, en tant qu’activité de PSS, de demander aux apprenants ce qu’ils ont ressenti après avoir raconté la peur qui les hante à l’école, ou après avoir écouté celles des autres :
On pourrait entendre entre autres réponses : • Je me suis senti soulagé ; • Je me suis senti plus léger ; • …….. plus libre ; • J’ai senti de la compassion ; • J’ai senti de l’empathie ; • J’ai compris que je ne suis pas le seul à vivre cette situation ; • J’ai senti du réconfort ; • Je me suis senti encore plus fort ; • J’ai senti l’appartenance à un groupe… • De toute évidence, les élèves ne ressortiront pas ce qu’ils ressentent en des concepts consacrés, il appartient à l’enseignant de comprendre la pensée de chaque apprenant et de la reformuler.
2.3 Le Canevas de plan de préparation/ réponses Voir le fichier Word pour le canevas