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Chapitre 7 : IMMUNOLOGIE. - LE SYSTEME IMMUNITAIRE : ensemble d ’organes, de tissus et de cellules qui assurent la défense du corps humain. - LE SIDA : syndrome d ’immunodéficience acquise. - lésions cérébrales dues au toxoplasme. - kyste cérébral contenant de nombreux toxoplasmes.
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Chapitre 7 : IMMUNOLOGIE - LE SYSTEME IMMUNITAIRE : ensemble d ’organes, de tissus et de cellules qui assurent la défense du corps humain. - LE SIDA : syndrome d ’immunodéficience acquise.
- lésions cérébrales dues au toxoplasme. - kyste cérébral contenant de nombreux toxoplasmes La toxoplasmose cérébrale HISTOIRE DU SIDA Tout commence en 1981, lorsque deux médecins américains, Michael Gottlieb et Alvin Friedman découvrent chez de jeunes homosexuels des maladies rares qui ne frappent que des personnes âgées de plus de 60 ans !... Ces maladies sont qualifiées d ’opportunistes car elles profitent d ’une déficience du système immunitaire.
Enveloppe lipidique Transcriptase inverse ARN Capside protéique 50 nm Protéine GP 120 En 1983, l ’équipe du professeur Montagnier de l ’institut Pasteur découvre l ’agent pathogène responsable du SIDA : le VIH, ou Virus de l ’immunodéficience humaine Le VIH est un rétrovirus à ARN, dont l ’expression passe forcément par une transcription inverse...
Les voies de contamination sont connues : SANG ET SECRETIONS SEXUELLES. Le SIDA est donc transmissible sans être contagieux. Il est donc fondamental d ’agir sans attendre le remède : c ’est tout l ’objet des campagnes de prévention En 10 ans l ’épidémie de SIDA s ’est propagée rapidement
Il est confirmé par un western blot Le dépistage du SIDA est une priorité, obligatoire dans certains pays. Le dépistage débute par un test ELISA Par cette technique on détecte la présence ou l ’absence d ’anticorps anti-VIH dans le sérum d ’un patient Si la coloration est forte, il est séropositif, donc porteur du virus.
Primo-infection Phase asymptomatique Sida déclaré L ’évolution de l ’infection se déroule en trois étapes
La cible déclarée du VIH : les lymphocytes T4 (T auxiliaires)
VIH LT4 Ensuite, il détourne l ’EIG de la cellule hôte... Lors de l ’infection d ’une cellule, le VIH pénètre à l ’intérieur d ’une cellule possédant des récepteurs CD-4 (LT4, macrophages).
Lymphocytes : RIS LB et LT4 : RIMH LT8 et LT4 : RIMC Polynucléaires : RINS Macrophages : RINS Face à la menace, les globules blancs sont mobilisés !
PLASMA OU SERUM GLOBULES BLANCS VIRUS CIRCULANT VIRUS INTRACELLULAIRE OU INTRAGENOMIQUE LE VIRUS OCCUPE DEUX TYPES DE MILIEU POUR LE DETRUIRE IL FAUT LE TRAQUER PARTOUT OU IL SE CACHE
La RIMH fait intervenir les lymphocytes B producteurs d ’anticorps spécifiques CPA Ag LT4 LB Reconnaissance de l ’antigène Multiplication clonale Phase effectrice plasmocyte Complexes immuns
Digestion puis rejet des déchets par exocytose. La RIMH s’achève par la destruction des complexes immuns lors de la phagocytose des macrophages Reconnaissance puis ingestion de bactéries par un macrophage
CPA CPA Reconnaissance de l ’antigène LT4 LT8 Multiplication clonale Phase effectrice LTc Perforine lytique Cellules infectées La RIMC fait intervenir les lymphocytes T8
Pour empêcher leur destruction on tente d ’agir à toutes les étapes de la multiplication virale : 2 et 7 (trithérapie), 1 et 4 ’ (à l ’étude), 3 à 6 possibles... Les lymphocytes T4 jouent donc un rôle central dans toutes les RIS. Leur importance est donc capitale !
Le deuxième problème est posé par les sites accessibles qui eux sont très variables et donc sans effet vaccinant... Le premier problème est posé par l ’absence de « prise » des anticorps sur la GP120 et la GP41 dont les sites constants sont inaccessibles.