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CHAPITRE ICHAPITRE IICHAPITRE III. DE QUOI PARLE T-ON ?LES FPI RESTANT SANS DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE apr?s un bilan hospitalier appropri? AUGMENTENT ? POURQUOI ? Quelle est la REPARTITION ACTUELLE DES CAUSES IDENTIFIEES DE FPI ? . CHAPITRE I. DE QUOI PARLE T-ON ? .
E N D
1. FIEVRES PROLONGEES INEXPLIQUEES (FPI) LE PARADOXE D’UN DIAGNOSTIC DE PLUS EN PLUS DIFFICILE
2. CHAPITRE I
CHAPITRE II
CHAPITRE III DE QUOI PARLE T-ON ?
LES FPI RESTANT
SANS DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
après un bilan hospitalier approprié
AUGMENTENT …
POURQUOI ?
Quelle est la
REPARTITION ACTUELLE
DES CAUSES IDENTIFIEES DE FPI ?
3. CHAPITRE I DE QUOI PARLE T-ON ?
4. FPI CHEZ L’ADULTE DEFINITION I T° = 38°3 C (101° F)
A PLUSIEURS REPRISES
DUREE = 3 SEMAINES
RESTANT D’ORIGINE INDETERMINEE
APRES 1 SEMAINE - D’INVESTIGATIONS APPROPRIEES *
- EN HOSPITALISATION
5. FPI CHEZ L’ADULTE DEFINITION II DURACK (DT) et STREET (AC) (1991) (CURR CLIN TOP INF DIS)
FPI « CLASSIQUE »
T° = 38°3C (101° F)
A PLUSIEURS REPRISES
DUREE = 3 SEMAINES
RESTANT D’ORIGINE INDETERMINEE
APRES 3 JOURS EN HOSPITALISATION
ou avec investig. appropriées *
APRES 3 CONSULTATIONS EXTERNES
6. SEULES SONT ENVISAGEES LES FPI CLASSIQUES « COMMUNAUTAIRES » FPI NOSOCOMIALES
FPI ASSOCIEES AU VIH
FPI NEUTROPENIQUES/IMMUNODEPRIMES
CAR ENTITES PARTICULIERES PAR
- Plus forte proportion de fièvres
* infectieuses ++
* néoplasiques
* médicamenteuses
- Nécessite d’introduire rapidement un « traitement d’épreuve » antimicrobien
(ATB large spectre –anti viraux – anti fungiques)
pour contre carrer le risque vital
7. FPI CLASSIQUES ou « COMMUNAUTAIRES » DEFINITION III SELON LA PERIODICITE DE LA FIEVRE *
FIEVRE CONTINUE
FIEVRE EPISODIQUE - ou récurrente
- ou intermittente
- (ou périodique)
AU MOINS 2 EPISODES DE FIEVRE
AVEC - phases d’apyrexie = 2 semaines
- et rémission apparente de la maladie sous jacente
8. CHAPITRE II LES FPI RESTANT SANS DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
APRES UN BILAN HOSPITALIER APPROPRIE
AUGMENTENT
POURQUOI ?
9. POURCENTAGE DE FPI RESTANT SANS DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE APRES BILAN HOSPITALIER APPROPRIE SERIES ANCIENNES RETRO ou PROSPECTIVES
AVANT ECHO ABDO et TDM
10. POURCENTAGE DE FPI RESTANT SANS DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE APRES BILAN HOSPITALIER APPROPRIE
11. POURQUOI CE PARADOXEAUGMENTATION DES « ECHECS DIAGNOSTIQUES » ?
12. AUGMENTATION DES « ECHECS DIAGNOSTIQUES » PAR UNE MOINS BONNE PERFORMANCE
DES MEDECINS «MODERNES »
CERTAINEMENT PAS !!
- A CONDITION QU’ILS RESTENT « CLINICIENS »…
- ET SACHENT RECHERCHER ET RE, RE, RECHERCHER
« LES INDICES DU DIAGNOSTIC »
13. AUGMENTATION DES « ECHECS DIAGNOSTIQUES » PAR UNE MOINS BONNE PERFORMANCE
DES TECHNOLOGIES «MODERNES »
- DE PLUS EN PLUS NOMBREUSES
- DE PLUS EN PLUS SOPHISTIQUEES
- DE PLUS EN PLUS CHERES
CERTAINEMENT PAS !!
A CONDITION QU’ELLES SOIENT
- DEMANDEES,
- INTERPRETEES à BON ESCIENT ….
- UTILISEES
14. AUGMENTATION DES « ECHECS DIAGNOSTIQUES » Par la MODIFICATION DES CRITERES DEFINISSANT les FPI
DUREE D’HOSPITALISATION REQUISE
( = 3 jours, = 7 jours)
SANS DIAGNOSTIC ENCORE ETABLI
L’IMAGERIE (ECHO/TDM) ET LA MICROBIOLOGIE rapides, performantes
DIAGNOSTIC PRECOCE
- DE CERTAINES FIEVRES INFECTIEUSES
NEOPLASIQUES
- AVANT QU’ELLES NE DEVIENNENT INEXPLIQUEES
IL NE RESTE PLUS, SELON LES CRITERES DE PETERSDORF,
QUE LES FPI
DIFFICILES
OU IMPOSSIBLES
16. % DE FPI RESTANT SANS DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE APRES UN BILAN HOSPITALIER (et/ou ambulatoire) APPROPRIE CRITERES DE DURACK ET STREET
223 FPI SANS DIAGNOSTIC ETABLI
Après 3 jours d’hospitalisation
ou 3 consultations externes
PAS DE DIAGNOSTIC FINAL DANS 98 CAS (= 43.9%)
CRITERES DE PETERSDORF ET BEESON
185 FPI SANS DIAGNOSTIC ETABLI
Après 7 jours d’hospitalisation
PAS DE DIAGNOSTIC FINAL DANS 98 CAS (= 53%)
17. AUGMENTATION DES «ECHECS DIAGNOSTIQUES» Par L’INTEGRATION AUX CRITERES DE FPI
DU CARACTERE EPISODIQUE OU NON DE LA FIEVRE ?
18. PREDICTION D’UN ECHEC DU DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE DANS LES F. PROLONGEES Cohorte prospective Vanderschuren (2003)
19. AUGMENTATION DES « ECHECS DIAGNOSTIQUES » MODIFICATION DES CRITERES DE CLASSIFICATION ETIOLOGIQUE
L’abandon de critères de présomption diagnostique
Et l’introduction de critères diagnostiques objectifs stricts
SE FAIT AU BÉNÉFICE DES FPI SANS DIAGNOSTIC ÉTABLI
AU DÉTRIMENT DES FPI « INFECTIEUSES »
non documentées
ET AU DÉTRIMENT DES FPI « DE CAUSES DIVERSES »
à étiologies potentielles multiples
* SAM * Hépatites granulomateuses * Fièvres des CF
MAIS PAS AUX DEPENS DES CAUSES EMERGENTES
Whipple, Malakoplakie ? Infectieux
LAI, Schnitzler ? Hémopathies
Castleman (HHV8) ? ?
20. AUGMENTATION DES « ECHECS DIAGNOSTIQUES » ABANDON TROP RAPIDE DE L’ACHARNEMENT DIAGNOSTIQUE ?
APRES IDENTIFICATION DES CAUSES DE FPI
A SANCTION THERAPEUTIQUE
ET/OU A PRONOSTIC
EN SE BASANT A PRIORI
SUR LE « BON PRONOSTIC »
DES FPI DE CAUSES NON DIAGNOSTIQUEES
21. CHAPITRE III QUELLE EST LA REPARTITION ACTUELLE
DES CAUSES IDENTIFIEES
DE FPI ?
22. LA DEMARCHE ETIOLOGIQUE DES FPI EST TOUJOURS 1 CHALLENGE
PLUS DE 200 CAUSES POSSIBLES !!
MAIS LA PLUPART DES PATIENTS AVEC FPI
« NE SONT PAS ATTEINTS D’UNE MALADIE RARE
MAIS DE L’EXPRESSION INHABITUELLE D’UNE MALADIE COURANTE »
(d’après PETERSDORF et BEESON)
24. Evolution des causes au cours du temps
25. REPARTITION ETIOLOGIQUE DES FPI
VARIE BEAUCOUP
SELON LES SERIES (biais ++)
SELON LES FACTEURS GEOGRAPHIQUES *
SELON L’AGE DE LA POPULATION
etc…..
26. DISTRIBUTION DES DIFFERENTES CAUSES IDENTIFIEES DE FPI(séries avant écho abdo et tdm)
27. DISTRIBUTION DES DIFFERENTES CAUSES IDENTIFIEES DE FPI(séries aprés écho abdo et tdm)
28. ETIOLOGIE ANALYTIQUEANALYSE COMPARATIVE ET DANS LE TEMPS DE 4 SERIES CLINIQUES UNIVERSITAIRES(Médecine Interne)(FPI CRITERES PETERSDORF)
34. ETIOLOGIES ETABLIES DES FIEVRES PROLONGEES VANDERSCHUEREN S. et al 2003 (CHU)
14 maladies (= 4 cas)
regroupent 66.1% des diagnostics établis
(127/192 fièvre = 3 semaines)
ZENONE T. 2006 (CHG)
13 maladies (= 3 cas)
regroupent 68.2% des diagnostics établis
(73/107 FPI [DURACK et STREET])
35. CONCLUSIONS I FPI « CLASSIQUE » DE L’ADULTE
ENTITE CLINIQUE
- DEFINIE
- TOUJOURS D’ACTUALITE
- TOUJOURS DIFFICILE A RESOUDRE
AUGMENTATION DES CAS NON RESOLUS (30 à 50% !)
- Par diagnostic facilité et rapide des « cas simples »
(infections - tumeurs solides)
- Par échec fréquent du diagnostic des fièvres récurrentes
- Mais avec a priori un bon pronostic des causes non identifiées
36. CONCLUSIONS II MODIFICATION de la REPARTITION ETIOLOGIQUE des CAS RESOLUS
- DIMINUTION DES INFECTIONS (25%)
- Notamment bactériennes focales
- Mais la tuberculose (sujet âgé) reste stable
- Ainsi que les infections virales (CMV)
- AUGMENTATION DES MAL. INFL. NON INFECTIEUSES (30%)
- Notamment - Maladie de Still chez l’adulte jeune
- AT + PPR chez le sujet âgé
- STABILITE OU DIMINUTION DES CAUSES NEOPLASIQUES (15 à 20%)
- Diminution des T. Solides
- Augmentation des lymphomes malins
- Pronostic global défavorable de ces affections à présentation fébrile
- FPI = marqueur de néoplasies occultes *