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Les Groupes d’Entraide Mutuelle du département d’Ille-et-Vilaine. Dispositif prévu par la loi Handicap du 11 février 2005 et la circulaire ministérielle du 29 août 2005 pour les personnes souffrant de troubles psychiques. Six GEM dans le 35. - « l’Autre Regard à Rennes »
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Les Groupes d’Entraide Mutuelle du département d’Ille-et-Vilaine Dispositif prévu par la loi Handicap du 11 février 2005 et la circulaire ministérielle du 29 août 2005 pour les personnes souffrant de troubles psychiques
Six GEM dans le 35 • - « l’Autre Regard à Rennes » • - « l’Antre 2 » àRennes • - « l’Apparté » à Fougères • - « l’Oxygène » à Redon • - « l’Echappée » à St Malo • - « le Sémaphore » à Dinard
Evaluation sur place par la DDASS de mars à mai 2009 • ► Objectif : • Faire un bilan du fonctionnement de ce dispositif et vérifier la bonne utilisation des crédits d’Etat • ► Enjeu : • Démontrer la plus-value apportée par les GEM dans le but d’en assurer la pérennisation
Le Fonctionnement • ► ouverture en moyenne 5 jours par semaine dont le samedi • ► 1à 5 salariés et jusqu’à une vingtaine de bénévoles • ► mise en place de formations et temps d’analyse de pratiques • ► nombre de participants et adhérents très variable d’un GEM à l’autre
Les activités • ► s’organisent autour d’ateliers : cuisine, écriture, arts plastiques, théatre, musique, café culturel ( GEM l’Antre 2) • ► inscription des GEM dans un partenariat local ( CLIC, CCAS, Fil Rouge, associations, l’hôpital…)
Financement • ► Crédits d’Etat ( DDASS) : subvention maximale forfaitaire de 75 000 euros par GEM • ► Autres financeurs : Conseil Général, communes, CHGR, DRDJS, Caisse d’Epargne…
Les difficultés relevées • ► Nécessité d’intensifier les liens avec les partenaires sanitaires et sociaux pour une plus grande diversification des lieux de soutien • ► Demande de formation des bénévoles • ► Les locaux : parfois trop exigus, pas toujours desservis par les transports en commun
Les difficultés relevées • ► La création de l’association d’usagers • ► Le financement : • - la question de la pérennisation des crédits d’Etat • - la recherche de co-financements
Conclusion des visites menées sur place • ► Pertinence de ce dispositif qui apporte une réelle plus-value en termes d’insertion dans la cité des personnes en souffrance psychique, sortie de l’isolement et resocialisation • ► Perçu par les usagers comme « un endroit où ils sont libres », « ça change de l’hôpital » • ► Favorise le sentiment d’appartenance à un groupe et donne lieu à un engagement volontaire et régulier
Les pistes de travail • La notion de parrain • L’association d’usagers • Le rôle et la formation des animateurs • Gestion du dispositif en 2010 et 2011: renforcement du rôle de l’échelon régional