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La Biodiversité dans le monde. « Béton City ». Chapitre 1: La venue des hommes. L’histoire se passe dans un coin reculé d’Amérique latine en 2010. Tout commença dans une magnifique forêt appelé « Amazonio » ou vivait une riche biodiversité d’êtres vivants.
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L’histoire se passe dans un coin reculé d’Amérique latine en 2010.
Tout commença dans une magnifique forêt appelé « Amazonio » ou vivait une riche biodiversité d’êtres vivants.
Toute la nature savait qu’elle était en liberté mais qu’un moment ou un autre il pouvait y surgir un redoutable prédateur, un monstre au cerveau très avancé, et aux mains crochues. Amazonio entier redoutait son apparition: on le nommait l’Homme…
Des légendes racontent qu’ils auraient détruit des forêts entières comme Amazonio. Ils retiraient la vie des arbres en les sciant, brûlant, broyant et achevaient les arbres en les jetant dans une montagne de déchets qui n’en finissait jamais !
Mais un jour cette affreuse légende toucha la charmante forêt qui, à la vue des hommes, se mit à frissonner de terreur et les saules pleureurs pleurèrent à chaudes feuilles, ce qui contamina bientôt toute la forêt . Tous les arbres se lamentaient en voyant arriver le groupe de monstres.
L’un des hommes s’approcha et scruta un arbre d’une hauteur gigantesque et s’exclama « Il y en a pour un paquet de sous, c’est du véritable or vert ! » A ces mots les animaux et les végétaux furent terrifiés et se demandèrent ce qu’ils allaient devenir. Pourtant la réponse était simple: ils allaient tous mourir…
Des hommes sortirent alors une hache Et réduirent en morceaux les vieux chênes. Les mauvais hommes riaient en hurlant: « Ca, c’est de la qualité, on va faire fortune !!! »
A ce moment toute la nature se mit à s’affoler frappée de stupeur. Les oiseaux s’enfuirent, les plantes fanèrent, etc… Les criminels partirent enfin mais malheureusement ils revinrent le lendemain avec une armée de machines pour anéantir l’immense forêt . Elles détruisaient tout sur leur passage et transformaient les arbres en vulgaires feuilles de papiers, meubles ou maisons : plus aucun signe de vie.
Cinquante ans plus tard, l’entreprise des assassins fit faillite, il n’y avait plus que de l’herbe, de l’herbe, et de l’herbe. A part l’océan d’herbe asséchée, il n’y avait plus aucune trace de vie, donc plus aucune biodiversité. Les assaillants partirent d’ Amazonio comme s’ils n’avaient rien fait et qu’il ne s’était rien passé.
Un jour, un milliardaire qui passait par là, fut émerveillé par ces milliers d’hectares de terres. Tout de suite, son cerveau transforma les hectares en milliards d’euros.
Grâce à son argent, il eut vite ce qu’il voulait, c’est-à-dire le terrain. Il revint sur l’immense terrain et hurla dans sa moustache (d’ailleurs, il s’appelait Mr. Moustache) « Je veux construire une ville ici et je la nommerait Béton City !!! ».
Alors, jour après jour, les blocs de terre se transformèrent en blocs de béton et de métaux. Puis déboulèrent des millions de voitures, des milliers d’usines qui dégageaient des tonnes de gaz carbonique qui étaient toxiques et nuisibles à toute vie animale. Les arbres auraient pu absorber une partie de cette pollution mais des arbres, il n’il y en avait plus……
Des millions d’hommes s’implantèrent ici, dans la nouvelle cité. Ces humains ne se doutèrent même pas qu’ils contribuaient à la mort de plusieurs milliers d’animaux et de végétaux qui vivaient à cet endroit autrefois.
Monsieur Bio est un petit homme chauve à lunettes. C’est un habitant de « Béton city ». Il se bat pour que sa ville utilise des énergies renouvelables et qu’elle ait une économie durable ce qui n’est pas le cas. Il organise donc beaucoup de manifestations mais il n’y a pas grand monde qui le suit , il s’est retrouvé souvent tout seul pourtant, des millions d’habitants vivent dans cette énorme ville. C’est donc très difficile pour lui.
Mr Bio possède une voiture qui fonctionne à l’électricité mais la plupart du temps. Dans son jardin on y trouve énormément de végétaux ( chose qu’il n’y a pas du tout dans sa ville), des panneaux solaires ainsi que des lampes, il possède aussi une mini- éolienne et utilise l’eau de pluie sauf pour se laver et la nourriture.
Mr. Bio en a plus que marre qu’on ne l’écoute jamais surtout que là c’est très grave, La santé, la survie de n’importe quel être vivant en dépend. Il décide d’aller voir le maire, monsieur Moustache. « -Bonjour, je voudrais voir monsieur le maire s’il vous plait. -Désolé, il n’est pas là, il est en Asie, en voyage d’affaire. Soit je lui laisse un message soit vous pouvez revenir demain. -Dans ce cas je reviendrai demain, au revoir -Au revoir »
Le lendemain, monsieur Bio retourne le voir et lui raconte tout. En guise de réponse monsieur Moustache rit aux éclats et lui dit d’un mauvais ton: « Va jouer ailleurs gamin !!! ». Là le manifestant n’en peut plus, il claque donc la porte et s’enfuit chez lui. Tout d’un coup une des conseillères du maire est pétrifiée et hurle: «- Aaah !!! Des dizaines de singes viennent de descendre du bateau de votre voyage - Allons ne pleurez pas, on va les asperger d’insecticides » répond le milliardaire.
Malheureusement, cinq ans plus tard plus tard, les singes s’étaient multipliés et ils prirent le contrôle de la ville. Les habitants fuyaient ou mourraient dévorés par ces singes carnivores. Tout le monde aurait dû écouter monsieur Bio et personne ne l’a fait. Voilà le résultat … Une fois qu’ils n’avaient plus à manger les singes s’en allèrent mais maintenant « Béton City » était devenu une ville fantôme.
D’après mon histoire, on aperçoit que l’Homme est capable de tout: -il peut être pour la nature ex: monsieur Bio -il peut être contre ou alors, ou alors il se dit qu’elle ne sert à rien ex: les destructeurs d’Amazonio ou monsieur Moustache qui pense à son porte- monnaie. Cette histoire exprime une biodiversité en régression avec une forêt qui disparait et une ville entièrement faite de béton sans végétaux et nous sommes tout à fait concernés car nous pouvons aider la nature ou la détériorer. Alors ensemble protégeons la nature… Il faut faire en sorte de ne pas faire chuter les biodiversités des écosystèmes.