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Plans d’Itinéraires Communaux Verts : l’outil cartographique. Amélie Ledent Chercheur au Laboratoire SURFACES de l’ULg (Unité de Géomatique) Détachée à la DGPL (Service de Cartographie). François Leruth Attaché à la DGPL (Service de Cartographie). Plan de la présentation. Introduction
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Plans d’Itinéraires Communaux Verts :l’outil cartographique Amélie LedentChercheur au Laboratoire SURFACES de l’ULg (Unité de Géomatique)Détachée à la DGPL (Service de Cartographie) François LeruthAttaché à la DGPL (Service de Cartographie)
Plan de la présentation • Introduction • Définitions • État des lieux standardisé • Site Internet et outil de gestion • Cartographie : acquisition / diffusion • Démonstration • Conclusions
1. Introduction Pour rappel : Projets pilotes du PICVerts démontrer la faisabilité d’une démarche (fin 2006) • État des lieux sur le terrain des chemins et sentiers et saisie sous forme numérique des informations documentaires et spatiales (Lien avec l’Atlas des voiries vicinales de 1841) • Définition, mise en œuvre et entretien d’un réseau local cohérent d’itinéraires pour usagers non motorisés sur et au-delà du territoire communal • Application cartographique centralisée au niveau régional, assurant la gestion et la diffusion des informations spatialisées relatives aux itinéraires communaux verts • Sensibilisation du public à l’utilisation de ces itinéraires Notre travail
2. Définitions • Objectif : définir un cadre sémantique précis • Méthodologie • Analyse des textes législatifs • Observation d’actions entreprises par certaines communes • Consultation d’experts : DGPL, MET-RAVeL, DGATLP-Mobilité, CGT, Chemins du rail • Résultats • Élaboration d’un glossaire utilisable par l’ensemble des acteurs • Reconnaissance officielle par le groupe de suivi RAVeL
2. Définitions Termes importants • Tronçon : section de voie déterminée par sa largeur, son revêtement, sa praticabilité, sa dénomination, les carrefours … • Itinéraire : succession de tronçons de sentiers, chemins et voies vertes, identifiée comme permettant de relier plusieurs points d’intérêt entre eux. Il est complété, si besoin, par des tronçons • de routes et est conçu, aménagé et signalé à l’intention d’une ou de plusieurs catégories d’usagers non motorisés • Routes, chemins, sentiers, voies vertes, largeur physique, largeur totale,...
3. État des lieux standardisé • Fiche de l’état des lieux Informations sur le tronçon : • Localisation du tronçon : n° de fiche, nom de la commune et sa localité • Atlas des voiries vicinales de 1841 comprend les informations de l'Atlas des voiries vicinales de 1841 relatives au tronçon considéré • Informations actuelles du tronçon Attention : définition de chemin, sentier, route ≠ de celle de l'Atlas des voiries vicinales de 1841
3. État des lieux standardisé • Intérêt pratique de l’état des lieux Faire un état des lieux complet Les avantages : • maîtrise de l’ensemble des chemins et sentiers du territoire communal • une fois la cartographie réalisée, possibilité de déterminer, en quelques manipulations, l’ensemble des tronçons impraticables, ou ceux dont la largeur physique est comprise entre 1,5 m et 2,5 m • facilite et permet d’optimaliser le choix des itinéraires par une vue d’ensemble des chemins et sentiers • aide à la gestion quotidienne des chemins et sentiers Exemple dans le cadre du schéma de structure de la commune de Chastre
3. État des lieux standardisé • Fiche descriptive de l’itinéraire Sur base de l’état des lieux : définir et choisir des itinéraires à la coordination avec les communes voisines nécessité de disposer d’un inventaire des itinéraires Fiche type reprenant un minimum d’informations : nom, communes traversées, bref descriptif, organisme responsable, URL,… Diffusion sur Internet pour la valorisation Rem. : le nom de l’itinéraire doit être parlant il doit comprendre le nom de la commune traversée ou des communes de départ et d’arrivée
4. Site Internet et outil de gestion Constat : peu ou pas d’outils informatiques dans les communes pour gérer les fiches création d’un outil collaboratif en vue de mutualiser les moyens Site :http://cartographie.wallonie.be/PICVerts/ 1) Partie libre - accessible par tous • Explications du projet (contexte, objectifs, partenaires,…) • Consultation des documents de référence • Visualisation de la cartographie et de la fiche descriptive des itinéraires communaux verts
4. Site Internet et outil de gestion Après enregistrement encoder les fiches via des formulaires : outils didactiques et faciles • Les fiches alimentent une base de données centralisées et sont accessibles en permanence aux communes • Possibilité pour les communes d’exporter les données 2) Partie sécurisée - accessible aux communes
5. Cartographie - Acquisition Parallèlement au remplissage des fiches d’état des lieux, les communes : • cartographient soit en format papier soit en format numérique les tronçons de chemins et sentiers inventoriés et les itinéraires • envoient à la DGPL (selon un manuel de spécifications des opérations de saisie) alimentent la base de données centralisées (informations spatiales)
5. Cartographie - Diffusion application cartographique : • fournit une vue de la base de données centrale en diffusant la localisation et la description de chaque itinéraire • accessible à tous via le réseau Internet • s’inscrit dans le cadre défini par le Portail cartographique de la Région wallonne Visualisation d’autres données superposées aux itinéraires (PPNC, PICC, Limites administratives, IGN Top 10s)
7. Conclusions • Canevas de travail commun sur l’ensemble du territoire de la RW • Mise à disposition d’outils collaboratifs à destination des communes • Véritable partenariat entre les communes et la RW au sein d’un SIG contribué : • Les communes inventorient, déterminent, aménagent et documentent les itinéraires « gardent la main » + responsables de cette information • L’administration régionale (DGPL) gère la base de données + assure la cohérence des données, notamment cartographiques • Ce projet / application cartographique • doit servir de référence pour les projets en cours ou futurs (utilisation des méthodes et outils développés) dans les communes • mais également au sein de l ’administration régionale (itinéraires CGT, itinéraires dans des projets de mobilité,etc.) • doit constituer, à terme, le point focal permettant au citoyen d’accéder à l’information sur les itinéraires non motorisés en Wallonie