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D1 : Introduction 1 : Titre. Neurobiologie des Comportements Dr Serge Wunsch. Facteurs neurobiologiques et psychobiologiques de la sexualité humaine. Cette présentation PowerPoint en 4 parties est téléchargeable à l'adresse :
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D1 : Introduction 1 : Titre Neurobiologie des Comportements Dr Serge Wunsch Facteurs neurobiologiques et psychobiologiques de la sexualité humaine Cette présentation PowerPoint en 4 parties est téléchargeable à l'adresse : http://recherche.ouvaton.org/telechargement/sexualite_2_comportement_reproduction.ppt http://recherche.ouvaton.org/telechargement/sexualite_3_evolution_comportement_sexuel.ppt http://recherche.ouvaton.org/telechargement/sexualite_5_sexes_genres.ppt http://recherche.ouvaton.org/telechargement/sexualite_7_motivation.ppt Elle est accompagnée d'un texte explicatif (avec les commentaires des PowerPoints) téléchargeable à l'adresse : http://recherche.ouvaton.org/telechargement/sexualite_expose_psychobiologie.pdf Les explications détaillées et les références scientifiques citées dans la présentation sont disponibles dans le livre : "Comprendre les origines de la sexualité humaine" et dans la thèse sur le comportement sexuel. Ces documents sont téléchargeables sur le site : http://recherche.ouvaton.org ( LIVRE : http://recherche.ouvaton.org/telechargement/origine_sexualite_humaine-extraits-2014_wunsch.pdf THESE : http://recherche.ouvaton.org/telechargement/these_comportement_sexuel.pdf ) École Pratique des Hautes Études Laboratoire de Neurobiologie Intégrative et Adaptative
D4 : Méthodologie 0 : Plan 1) Épistémologie & Méthodologie 2) Mammifères non-primates 3) Évolution du comportement ■ Plan : 4) Attachement - Amour 5) Sexes & Genres 6) Développement sexuel 9) Perspectives cliniques 7) Motivation sexuelle 8) Analyses des modèles
D4 : Méthodologie 0 : Plan 1) Épistémologie & Méthodologie 2) Mammifères non-primates 3) Évolution du comportement ■ Plan : Facteurs Modèle 4) Attachement - Amour 5) Sexes & Genres 6) Développement sexuel 9) Perspectives cliniques 7) Motivation sexuelle 8) Analyses des modèles
D36 : Modèles : Homme 1 : Évolution 1 Problème : – Le modèle précédent provient essentiellement de l'étude des mammifères non-primates – Dans quelle mesure peut-on extrapoler ce modèle à l'humain ? – Car chez les primates, on observe des comportements sexuels incompatibles avec ce modèle
D37 : Modèles : Homme 3 : Évolution 2 : Photo 1 Masturbation Aucun rapport avec la reproduction
D38 : Modèles : Homme 3 : Évolution 2 : Photo 1 Masturbation (♂) Masturbation réciproque ( ♂ x ♂ )
D39 : Modèles : Homme 3 : Évolution 2 : Photo 1 Activités sexuelles juvéniles Appareil reproducteur IMMATURE Aucun rapport avec la reproduction Masturbation Fellation ( ♂ x ♂ )
D40 : Modèles : Homme 3 : Évolution 2 : Photo 1 Activités oro-génitales Activités oro-anales
D41 : Modèles : Homme 4 : Évolution 3 : Photo 2 Activités génito-génitales ( ♀ x ♀ ) Frottement GG Orgasme fréquence: 2h proportion: 1/3 Aucun rapport avec la reproduction
D42 : Modèles : Homme 3 : Évolution 2 : Photo 1 Activités génitales, en groupe (♂)
D43 : Modèles : Homme 3 : Évolution 2 : Photo 1 Aucun rapport avec la reproduction Baiser, activité non génitale
D44 : Modèles : Homme 5 : Évolution 4 : Photo 3 Conclusion, on observe : – Comment expliquer ces activités érotiques ? – Toutes les combinaisons de partenaires – Beaucoup d'activités non reproductrices – Activités Stimulation zones érogènes – Évolution : quelles différences pourraient expliquer ces modifications comportementales ? REPRODUCTION PLAISIR – Suggère l'importance du "plaisir"
D45 : Modèles : Homme 6 : Évolution 5 Évolution Modifications du comportement: Évolution Mammifères Non- primates Primates ancien-monde nouveau- monde Proviennent : Modifications cerveau & principaux facteurs neurobiologiques hominidés Macaque Bonobo Humain Rongeur cruciale accessoire Lordose Réflexes RUPTURE Voméronasal Phéromones importance Hormones Dissociation Sexualité ≠ Reproduction Récompense Prépondérance RUPTURE Culture Cognition corticalisation Rongeurs ↔différences maximales↔ Humains Davantage modifications principaux facteurs neurobiologiques Davantage comportement sexuel modifié ≈50% espèces mammifères Hominidés ( ≈0,1 %) & Humains Sexualité spécifique
D46 : Modèles : Homme 6 : Évolution 6 Évolution réflexes sexuels : Évolution Activités innées, précablées & cruciales : nouvelles activités transition ♀ Lordose ♀ façe à face Absence précablage Activités apprises Hominidés Lordose n'est plus cruciale non- génitales Macaque
D46 : Modèles : Homme 6 : Évolution 6 Olfaction devient secondaire chez hominidés Évolution olfaction : Évolution Épithélium olfactif Phéromones 50% de pseudo gènes Altération système olfactif principal ( Winman ; Wysocky ) Catarhiniens Organe voméronasal ( Havlicek ; Weller ) Plus d'effet sur comportement Chez hominidés, gènes olfactifs altérés Effets affectifs et physiologiques résiduels ( Nei & al. 2008 ) 90 % gènes des récepteurs aux phéromones altérés
D46 : Modèles : Homme 6 : Évolution 6 Évolution Evolution Hormones : Copulation uniquement si Ovule présent Fécondation Dépôt sperme inutile si pas ovule Association: Hormones + Ovulation + Activités ( Furuichi 2011 ) Chimpanzés inhibitions Évolution & Corticalisation graduelle Dissociation majeure à partir Bonobos Bonobos Activités sexuelles n'importe quand Dissociation : Activités sexuelles indépendantes pics hormones
D46 : Modèles : Homme 6 : Évolution 6 Femme Évolution Evolution Hormones : INHIBITION INHIBITION Activités sexuelles possibles durant tout le cycle – Influence résiduelle : Activité maximale à ovulation – Mais effet faible &résiduel : car disparition principal effet Disparition inhibition du comportement sexuel – Seuil minimal nécessaire : – Suppression Testostérone ("castration" / hypogonadisme) Troubles érection, désir, fantaisies, activités …
D46 : Modèles : Homme 6 : Évolution 6 – Synthèse : Hormones jouent toujours un rôle très important Évolution Evolution Hormones : Développement Différenciation sexuelle ♂ ♀ Disparition inhibition lordose – Mais, sauf pathologie (hypogonadisme …) – Évolution majeure : Dissociation Activités sexuelles / Cycle hormones SEXUALITÉ dissociée REPRODUCTION Activités sexuelles indépendantes du contrôle hormonal
D46 : Modèles : Homme 6 : Évolution 6 Evolution système de récompense : Évolution – Similitude neuroanatomique & fonctionnelle Hominidés Rongeurs Hominidé peut obtenir récompenses érotiques n' importe quand Différence : Inhibitions saisonnière & oestrale Continuellement actif
D48 : Modèles : Homme 8 : Évolution 7 Évolution Évolution cognition : Aires sensorielles "Siège" de la Culture : Symboles, Valeurs, Normes culturelles … Car développement aires associatives Cortex préfrontal "Intelligence" Culture "Structuration" du comportement ( concepts, valeurs, interdits, obligations ... )
D49 : Modèles : Homme 8 : Évolution 7 ■ Évolution, résumé : Évolution HORMONES Mêmes facteurs mais Importance relative estmodifiée Modifications structurelles & fonctionnelles PHÉROMONES Mammifères non-primates RÉFLEXES RÉCOMPENSE FACTEURS PRÉPONDÉRENTS Comportement différent COGNITION Inutilité nouveaux facteurs explicatifs (vision remplace phéromones)
D4 : Méthodologie 0 : Plan contrôle Synthèse (♀) activités sexuelles dissociées des cycles hormonaux Hormones 90 % gènes liés phéromones altérés inhibitions hormonales lordose ♀ n'est plus fonctionnelle circuits olfactifs (phéromones) circuits moteurs (réflexes : Lordose) Cortex Circuits des récompenses apprentissage motivation Zones érogènes circuits somatosensoriels ( clitoris / pénis ) Circuits Récompenses + Zones érogènes génitales Unique circuit à l' origine de sexualité humaine Circuits R+S deviennent continuellement actifs Potentialité apprentissage continuelactivités stimulation pénis/clitoris Développement Cognition + CULTURE Influence majeure
D104 : Modèles : Homme 17 : Analyse 7 Principales modifications fonctionnelles ? RONGEURS HUMAINS Inhibitions 350 jours / ans Pas d'apprentissages sexuels Dissociation activités / hormones Apprentissage continu Hormones Stimulations érogènes (baiser) acquises Réflexes sexuels (lordose) innés Activités Disparition plusieurs "contraintes" Stimulations zones érogènes Apprentissage ≠ activités érotiques Apprentissage "contraint" uniquement entre Copulation hétérosexuelle ♂♀ Phéromones Modulation récompense Préférences érotiques culturelles [ rôle secondaire ] optimisation copulation Cognition Valeurs, Obligations, Prohibitions … Grande variabilité sexualité Culture [ inexistant ]
D46 : Modèles : Homme 6 : Évolution 6 Évolution Science-Fiction : – Si sexualité humaine identique à mammifères non-primates (cf. vidéo) : – 350 jours par an : pas d'activités, pas de désir, pas de fantasmes – Uniquement durant "Saison de reproduction" : 5 jours d'activités / par cycle (mois), durant 1 trimestre – Pas : baiser, caresses, fellations, cunnilingus, caresses sensuelles, promenades romantiques … – Simplifiant : Homme donne tape sur croupe de la femme Femme automatiquement en lordose, et immobile Homme pénètre et éjacule 1-2 mn
D52 : Modèles : Homme 10 : Renforcement 2 ■ Importance du Système de Récompense ? Mineur ou majeur ? Localisation latérale ( Berridge 2013 de Greck 2008 ) Localisation médiane – Système appétitif de "récompense" Plaisirs opposé & complémentaire Systèmes majeurs d'apprentissages Motivations : recherche nourriture, reproduction, évitement dangers … Finalité : adaptation à environnement – Système aversif de "punition" Souffrances
D52 : Modèles : Homme 10 : Renforcement 2 ■ Importance du Système de Récompense ? Mineur ou majeur ? Rôle majeur dans : – La notion de soi ( de Greck & al. 2008 ) – Le sentiment d'être aimé ( Davey & al. 2010 ) – Les jeux sociaux ( Douglas & al. 2004 ) – La conformité sociale ( Klucharev & al. 2009 ) – L'écoute de musique ( Menon & Levitin 2005 ) – De nombreux apprentissages ( Adcock & al. 2006 ) – La toxicomanie – Toutes activités HÉDONIQUE Système de Récompense (≈Plaisir ) : Facteur majeur des comportements humains
D51 : Modèles : Homme 9 : Renforcement 1 ■ Importance Récompense dans sexualité ? ( Georgiadis 2012 ) – Récompense facteur important ou majeur : Origine des activités sexuelles ? – Images érotiques activent préfrontal ( Redouté & al. 2010 ) ( Cacioppo & al. 2012 ) – Imagerie : ATV activé durant éjaculation – Récompense, rôle majeur dans : Désir sexuel, Attachement, Amour ( Holstege 2003 ) – Activation du septum provoque orgasme Système de récompense ( Heath 1972 )
D52 : Modèles : Homme 10 : Renforcement 2 ■ Importance Récompense dans sexualité ? Récompense en relation anatomique avec : ■ Zones 'hédo'gènes (zones pileuses du corps) ( Olausson & al. 2008 Morrison & al. 2010 ) Plaisir corporel – Constituées par : Récepteurs des follicules pileux & Fibres C amyélinique ■ Zones érogènes (génitales, anales, orales ...) Tout le corps Plaisirs somatosensoriels Plaisir érotique – Constituées de tissu muco-cutané ( Winkelmann 1959 )
D53 : Modèles : Homme 11 : Renforcement 3 ■ Importance relations : Zones Récompense Montré par cas cliniques : Spina bifida ( Soulier 2001 ) – Lésions médullaires Sensations génitales supprimées – Comportement sexuel limité à partie haute du corps Zones génitales, insensibles, pas stimulées Uniquement zones érogènespréservées qui sont stimulées (ex. lèvres par baiser …) Ces activités ne permettent pas la reproduction Dissociation entre comportement érotique et comportement de reproduction Vertèbres Importance cruciale : 1) des stimuli corporels et 2) des relations anatomiquesentre corps et cerveau Relations Zones+Récompense : à l'origine de la répétition des stimulations du corps Moelle épinière activités sexuelles ( Georgiadis & al. 2012 )
D52 : Modèles : Homme 10 : Renforcement 2 ■ Hypothèses alternatives à Récompense ? avec meilleures explications de sexualité humaine – Phéromones jouent toujours un rôle majeur ? (MAIS altération olfaction & absence de preuves) – Psychodynamique : existence de "complexes" ou "archétypes" Effets "inconscients" ? – Hypothèse la plus connue Freud / Psychanalyse : "pulsion" sexuelle (libido) ? (MAIS modèle valide ?) ( Grunbaum 1996 ; Meyer 2010 ) Libido provient instinct sexuel Absence d'instinct – Analyse approfondie : hypothèse la plus crédible La vision a-t-elle remplacé l’olfaction / phéromones ?
D91 : Psychobiologie : Cognition 2 Signal sexuel visuel inné ? Oeil Mésencéphale Possibilité innée de reconnaître visuellement le partenaire sexuel ?
Contrôle orientation tête Fonctions spécifiques Contrôle saccades oculaires Mécanismes basiques Nombreuses structures inter-connectées Rétine
D93 : Psychobiologie : Cognition 4 Traitement informations de mouvements Traitement de l'information, mais pas de connaissances innées Pas de reconnaissance visuelle innée du partenaire sexuel Cortex occipital Pas de "complexes", "pulsion", "instinct" sexuel Informations de couleurs Éléments cognitifs"sexuels" sont appris (Images, représentations, concepts connaissances, comportements, valeurs, normes, "troubles" …) Régions spécialisées Aires visuelles primaires & secondaires
D4 : Méthodologie 0 : Plan 1) Épistémologie & Méthodologie 2) Mammifères non-primates 3) Évolution du comportement ■ Plan : Facteurs Modèle 4) Attachement - Amour 5) Sexes & Genres 6) Développement sexuel 9) Perspectives cliniques 7) Motivation sexuelle 8) Analyses des modèles
Zones érogènes génitales D52 : Modèles : Homme 10 : Renforcement 2 Influence Culture & Cognition via Préfrontal Hormones Phéromones Lordose ■ Récompenses : Dynamique fondamentale Circuit des récompenses INNÉ Pénis + Clitoris très érogènes & complémentaires modulation Zones érogènes Schémas anatomiques Apprentissage comportement érotique Stimulation zones érogènes Circuit des récompenses ( Plaisir intense ) Répétition Activités érotiques Modélisation théorique Dynamique érotique basique modulée par hiérarchie de facteurs Préférence coït vaginal ( 2007 Wunsch )
D52 : Modèles : Homme 10 : Renforcement 2 ■ Récompenses : Dynamique fondamentale par Apprentissages Cortex préfrontal modulation Hiérarchie facteurs qui influencent motivation & comportement Facteurs influencent motivation par : (actions à long terme) Valeurs sociétales Sociétal Être humain : influences sociales MAJEURES Pratiques sociales instrumentalisation Hiérarchie sociale ( Kahle ) Cerveau Social Parenté Phéromones interconnexions Croyances Connaissances sexuelles VÉCU Cognition Motivation & comportement érotique : ≠ d' 1 espèce à l'autre ≠ d' 1 individu à l'autre motivation sexuelle Conditionnements Peur, Honte … déséquilibre Émotions cervelet Faim, fatigue Hormones Physiologie Équilibre moteur (instantané) Corps Zones érogènes & hédogènes Facteurs primordiaux ≠ influences ≠ niveaux Système de récompense
D56 : Modèles : Homme 15 : Analyse 2 Exemple de la Dynamique érotique basique Activité majeure chez bonobos Frottement génito-génital ♀ Observer les séquences motrices CRUCIAL – Observation lordose ? (réflexe moteur inné femelle) – Poussées pelviennes ? (réflexe moteur inné mâle) Expression si anomalie hormonale – Comment expliquer ces séquences motrices non innées ? Apprentissage Activités procurant ( le maximum ) de récompense / plaisir érotique
D49 : Résultats 4 Comparaisons : activités / plaisirs sexuels ( Wunsch 2007 Turnbull 2013 ) intensité érotique et hédonique ** *** *** Hommes Femmes Plus zone corporelle est érogène Plus probabilité d'être stimulée Pénis Barres d'erreurs = Écart type Vagin Clitoris Synthèse : Activités / Plaisir génital, avec un partenaire intensité supérieure à tous les plaisirs / activités érotiques La zone érogène génitale, innée, est un "attracteur" Activités érotiques se développent autour pénis et clitoris
D83 : Modèles : Homme 20 : Développement & Dynamique 14 Activité coïtale ? Cerveau Réalisée en partie grâce éléments innésrésiduels de la copulation : - Lordose♀ ? - Poussées pelviennes ♂ - Réflexes autonomes (érection, éjaculation ♂ lubrification ♀ … ) –Facteur majeur : Intense érogénéité Pénis & Clitoris de l'apprentissage ( Masters & Johnson 1980 ) Mésencéphale – Unique fonction clitoris "plaisir" Moelle épinière induit –Clitoris / Pénis même embryologie Polarisation activités érotiques autour organes génitaux –Clitoris entoure vagin Stimulé par coït ( O'Connel 1998 ) ( Wunsch 2007 ) Organisation anatomique et fonctionnelle Coït procure récompense maximale entraîne Moelle épinière Intégration dans le comportement érotique Préférence pour activités érotiques génitales et coïtales – Positionnement génito-génital n'est pas inné – Spina bifida Absence d' "instinct" coïtal ( Soulier 2001 ) similaire aux autres Coït vaginal activité érotique APPRISE mais préférée Favorise indirectementreproduction
D52 : Modèles : Homme 10 : Renforcement 2 ■ Développement Motivation + Activités Comportement érotique = Motivation + Activités ≠ Reproduction Baiser = activité contre-nature ? Organes lactogènes (seins) CULTURE : Bouche Positions ≠ Extrémités tube digestif Partenaires ≠ Érotisation variable du corps Anus Âges ≠ Zones érogènes génitales Éducation ≠ ≠ Régions corporelles Valeurs ≠ … ( Wunsch 2007 Turnbull 2013 )
D55 : Modèles : Homme 14 : Analyse 1 Analyse fonctionnelle et phylogénétique du modèle comportemental humain Différences importantes – Contrôle temporel optimisé (hormones) : Activités sexuelles humaines continues Récompense + Zones érogènes – Pubertaire (maturité appareil reproducteur) Quasi disparition Modèle Prototypique – Saisonnier (saison propice) effet mineur – Oestral (maturité gamètes) tout le temps, toute l'année Activités de stimulation du corps (pénis/clitoris) – Identification partenaire sexe opposé (phéromones) – Réflexes spécifiques du coït vaginal (érection, Lordose poussées pelviennes, éjaculation, lubrification, etc.) Disparition Mais peuvent être déclenchées n'importe quand, dans de nombreuses situations non reproductives séquence motrice cruciale – Ovulation réflexe lors du coït (optimisation fécondation) Réflexes devenus indépendants du contrôle reproducteur Dans le plan d'organisation originel des mammifères Véritable comportement de reproduction Remplacé par : "comportement érotique"
D56 : Modèles : Homme 15 : Analyse 2 Modèle comportemental humain Organisation neurobiologique : Copulation hétérosexuelle Véritable comportement de reproduction Au cours des aléas de l’évolution : processus modifiés, altérés ou perdus La dynamique comportementale est modifiée Comportement érotique Organisation neurobiologique résiduelle : Stimulation zones érogènes (génitales)