550 likes | 769 Views
Centre de Recherche sur l’Information sur l’Information Scientifique et Technique. Division Recherche et Développement en Science de l’Information. Classement et visibilité des établissements universitaires et de recherche: quelle (s) problématique (s) ?. Dr. DAHMANE Madjid Mme KOUICI Salima
E N D
Centre de Recherche sur l’Information sur l’Information Scientifique et Technique Division Recherche et Développement en Science de l’Information Classement et visibilité des établissements universitaires et de recherche: quelle (s) problématique (s)? Dr. DAHMANE Madjid Mme KOUICI Salima Mme DAHMANI Samia CERIST, 2013
Origine du classement des universités Le classement des universités existe depuis 1920 Toutefois • Moins ambitieux, • Se confinant à certaines activités universitaires, • Limité à l’échelle d’un pays (surtout aux états unis).
Origine du classement des universités Aujourd’hui, les classements se sont élargis et diversifiés, prenant même une dimension mondiale Deux classements sont célèbres • Le Shanghai ranking of world class universitiesque publie l’université Jiao Tong de Shanghai depuis 2003 (classement de Shanghai), • Le ranking of world universitiesque publie le Times Higher Education Supplement (THES) depuis 2004.
Origine du classement des universités • Les classements peuvent porter sur: • Des universités entières • Des champs d’activité, • Des disciplines, • Des programmes, • Des pays
Origine du classement des universités • Public visé par le classement: • Etudiants réels ou potentiels, • Communauté scientifique, • Agences de financement pour la recherche, • Autorités publiques.
1.1. Organismes effectuant les classements Les organismes effectuant les classements sont de l’ordre de trois groupes: 1. Les médias • se sont des actions marketing de magazines tentant d’élargir leur lectorat et qui publient régulièrement de tels classements, comme exemple: • États-Unis: US News and World Report , Washington Monthly, Newsweek, Forbes, Business Week, Wall Street Journal. • Canada: Mac Lean’s Magazine; • Royaume-Uni: Financial Times, The Times, Times Higher Education Supplement, The Guardian, The Economist; • Allemagne: Der Spiegel, Fokus, Wirtschaftswoche, Karriere; • France: Le Nouvel Observateur, Libération.
1.1. Organismes effectuant les classements 2. autorités de tutelle de l’éducation • Le Royaume-Uni, avec ses teaching quality assessment et research assessment exercise, • Les Pays-Bas avec les notations de recherche effectuées par les académies scientifiques et la conférence des recteurs d’université ; aussi, Le classement Leiden réalisé par le Centre for Science and Technology Studies (CWTS) de l’université de Leiden. • L’ Allemagne, les classements que prépare le Centrum für Hochschulentwicklung (CHE) allemand et que publie Die Zeit ; • Les Etats Unis, le classement du National Research Council ;
1.1. Organismes effectuant les classements 3. Les établissements d’enseignement Les classements émanant de ces organismes peuvent s’avérer plus fiables. Car leur motivation est de faire progresser le système universitaire. Ils se concentrent sur des activités ou des régions. Leurs méthodes sont en général plus soigneuses, mieux débattues et plus transparentes car la notation conditionne la distribution de ressources par les administrations de tutelle, cas du Royaume-Uni et des Pays Bas. D’autres, comme le CHE allemand et le Shanghai, comptent sur la pression du public et du marché pour faire changer les choses
1.2. Les avatars liés aux différents classements La Diversité des classements due justement à la diversité des objectifs poursuivis et des publics cibles a engendré des dérives méthodologiques mettant en mauvaise posture les organismes concernés. Ce qui a conduit le Centre européen de l’UNESCO pour l’enseignement supérieur (CEPES) et l’ Institute for Higher Education Policy de Washington (IHEP) à créer en 2004 un Groupe d’experts (International Ranking Expert Group), ayant produit les Principes de Berlin pour le classement des établissements d’enseignement supérieur accessibles à l’adresse : http://www.che.de/downloads/Berlin_Principles_IREG_534.pdf).
3. Une nouvelle Catégorie de classements 3.1.Le classement par la Publication Un classement fondé sur la publication et son corollaire direct la citation. Le scimago est à l’origine d’un classement international des institutions de recherche et d’enseignement supérieur le SCImago Institutions Ranking (SIR). Ce classement découle entièrement des indicateurs bibliométriques produit par Scopus (plus de 16 millions de publications et 150 millions de citations) suivant 5 indicateurs de production, collaboration et impact scientifique
3.2. Le classement par le Web Un classement fondé sur le positionnement web des universités et organismes de recherche.. Il vise à promouvoir les publications sur le web et les initiatives d'Archives Ouvertes. Le webometrics représente ce type de classement, à l'origine ce classement n'a pas pour vocation d’être un outil de classement. Par la suite la visibilité et la présence sur le Web sont utilisées comme des indicateurs servant à mesurer la performance globale des universités et des organismes de recherche. Ce classement Webometrics Ranking of World Universities catégorise les sites à partir de leur visibilité sur le web. Son impact a été d’inciter les organismes de recherche et d'enseignement à être présent sur le web.
La visibilité des sites universitaires La visibilité: C’est quoi? La visibilité: Pourquoi? La visibilité: Comment?
1. La Visibilité c’est quoi au juste ? Définition pragmatique de la Visibilité Une œuvre est d’autant plus visible qu’elle est diffusée le plus largement possible et atteint ainsi un maximum de personnes de manière à accroître son impact et la notoriété de son(ses) auteur(s). D’où la triade Diffusion maximale impact auprès du récepteur Notoriété de l’auteur
1. La Visibilité c’est quoi au juste ? Définition au sens bibliométrique La Visibilité signifie l’intensité avec laquelle des articles donnés sont cités par d’autres articles. En effet, les citations reçues par un article mesurent son utilité scientifique et son influence internationale et donc son impact. D’où le rapport: Citation Impact Les citations sont donc positivement - mais pas linéairement - corrélées à la valeur scientifique d’un article. L’absence de corrélation directe provient de plusieurs facteurs tant objectifs que subjectifs. Mais
1. La Visibilité c’est quoi au juste ? Définition au sens hypertextuel Le terme de visibilité se réfère au nombre de liens que reçoit un site (liens entrants). Les liens reçus sont équivalentsà des citations. D’où le rapport: Nombre de liens entrants Notoriété du site Cette approche est utilisé par certains moteurs de recherche (principalement Google), par son algorithme de classement attribuant un poids aux nombre de liens qui définissent une page. Les liens reçus par un site définissent le PageRank du site plus celui-ci est élevé plus élevée est sa valeur.
1. La Visibilité c’est quoi au juste ? Définition au sens d’accessibilité Une page invisible est une page qui bien qu'éditée sur Internet, ne peut pas être trouvée par des moteurs de recherche pour des raisons diverses. web Invisible la typologie du Web de Chris Sherman et Gary Price
1. La Visibilité c’est quoi au juste ? La typologie du Web de Chris Sherman et Gary Price Les pages qui pourraient être indexées par les moteurs mais qui ne le sont pas (limitation d'indexation du nombre de pages d'un site, fréquence d'indexation, liens absents vers des pages ne permettant donc pas un crawling) Opaque Web Les pages web disponibles mais volontairement exclues par les webmasters (mot de passe, metatags ou fichiers dans la page pour que le robot du moteur ne l'indexe pas). Private Web Pages seulement accessibles pour les personnes qui s'identifient. Le robot ne peut donc pas y accéder. Proprietary Web Truly Invisible Web Contenu qui ne peut être indexé pour des raisons techniques. Ex : format inconnu par le moteur, pages générées dynamiquement
1. La Visibilité c’est quoi au juste ? Le Web Invisible C’est à ce niveau qu’interviennent les techniques de référencement permettant aux sites d’être localisables et exploitables. On oublie trop souvent que les robots sont aveugles Visibilité Accessibilité positionnement Et d’où le rapport:
1. La Visibilité c’est quoi au juste ? Définition de la visibilité au sens du Webometrics • Le terme de visibilité combine : • L'analyse des liens hypertextuels mettant en relation les différentes facettes de l'activité de recherche sur le modèle de Google qui attribue un poids selon le nombre de liens qui pointent vers une page, • Le rapport entre citation et impact, • Le rapport entre
1. La Visibilité c’est quoi au juste ? En conclusion de ces définitions Quelque soit la définition adoptée, elles convergent toutes vers la triade suivante: Maximiser la diffusion Maximiser le public cible Maximiser la notoriété
1. La Visibilité c’est quoi au juste ? En conclusion de ces définitions Quelque soit la définition adoptée, elles convergent toutes vers la triade suivante: Maximiser la diffusion Maximiser le public cible Maximiser la notoriété
2. Pourquoi cherche t-on à être Visible ?Cas des sites universitaires • Un site Web universitaire est un : • Outil d’information, (Offre de formation, Valorisation des activités de recherche, Relations internationales ../..) • Outil de communication interne et externe Le site web (universitaire) joue un Rôle stratégique dans la dynamique de communication d’un établissement universitaire surtout dans un contexte internationalet nationalde plus en plus concurrentiel. De plus le web s’inscrit désormais au cœur même de la gouvernance des organismes universitaires et de recherche.
3. Comment mettre en œuvre un projet de visibilité Projet de visibilité Aspect Technologique Aspect Institutionnel Aspect IST
3.1. Sur le plan institutionnel: L’exemple allemand Le DINI est un consortium de trois associations ayant produit sous l’égide du Ministère Allemand de la Recherche un certificat DINI Le certificat DINI est délivré sur la base des critères Critère 1 – Visibilité du site (section 2.1.) Critère 2 – Charte (section 2.2.) Critère 3 – Aide aux auteurs et éditeurs (section 2.3.) Critère 4 – Aspects juridiques (section 2.4.) Critère 5 – Sécurité de l'information (section 2.5.) Critère 6 – Indexation et interfaces (section 2.6.) Critère 7 – Statistiques d’utilisation (section 2.7.) Critère 8 – Archivage pérenne (section 2.8.) Chaque critère contient des conditions minimales et des conditions complémentaires.
3.1. Sur le plan institutionnel: L’exemple allemand Les conditions minimales du critère de visibilité sont: M.1-1Le service est accessible à partir d’une page web. M.1-2Le lien vers la page d’accueil du service est accessible à partir du site institutionnel de l’établissement (ou des établissements) responsable(s) du site. M.1-3Le service est enregistré auprès du DINI dans la liste des plateformes de publications.* M.1-4 Le service est enregistré auprès du répertoire Directory of Open Access Repositories(OpenDOAR). La liste du DINI est accessible à l’adresse http://www.dini.de/dini-zertifikat/liste-der-repositorien/.
3.1. Sur le plan institutionnel: L’exemple allemand Recommandations complémentaires pour le critère de visibilité: R.1-1 Le service est enregistré auprès du répertoire Registry of Open Access Repositories (ROAR). R.1-2 Le service est enregistré comme OAI-Data-Provider (fournisseur de métadonnées) auprès de l’Open Archives Initiative (OAI). R.1-3 Le service est enregistré auprès de DRIVER. R.1-4 Tous les documents de la plateforme sont accessibles via des liens.
3.1. Sur le plan institutionnel: L’exemple mexicain L’Université nationale autonome de Mexico (UNAM) a crée une Direction chargée de mettre en œuvre le projet de visibilité du web académique mexicain. Un site web dédié à ce projet a été mis en place. Voir http://www.acervosdigitales.unam.mx/interiores/proyectovisibilidad.html Le site contient une série de recommandations destinées devant guider la conception de tout site web et des séances de formation en direction des web masters sont organisées.
3.2. Sur le plan Technologique Le positionnement correct des contenus et des services dans un site a un impact direct sur le trafic qu'il reçoit. Deux démarches sont à mettre en œuvre simultanément Démarcheà priori Démarcheà postériori • les concepteurs Web mettent à profit: • Les politiques suivies par les algorithmes des moteurs de recherche • les règles techniques et éditoriales facilitant l'indexation et le référencement des pages Web, voir : https://support.google.com/webmasters/answer/35769?hl=en • les critères d'accessibilité édictés par le W3C8 (http://www.w3.org/WAI/) • Auditer de façon périodique le positionnement d’un site web. Le positionnement est une tâche devant impliquer administrateurs, concepteurs et programmeurs web, des générateurs de contenu. • Elle fait appel à des logiciels divers tels: • Xenu, • LinkExaminer, • Screaming Frog, • KYV
3.3. Sur le plan de l’Information Scientifique et Technique La maitrise technologique du web a étendu la problématique de la visibilité à l’IST proprement dite. De ce fait, à la visibilité classique liée au facteur d’impact se sont ajoutées d’autres formes de visibilité conditionnées par le web avec son lot de « métriques ».
3.3. Sur le plan de l’Information Scientifique et Technique Les métriques du web? • Les moteurs de recherche ont développé des modèles de comptage qui faisaient partie de leur fonctionnement propres. Par la suite des applications dédiées au comptage ont vu le jour notamment la norme Counter. A la base, il s’agit de mesurer la popularité d’un site. D’où l’indice de clic" et l’"indice de popularité". • L'indice de clic analyse le comportement des internautes posant la même question au moteur et privilégie le classement les pages les plus "cliquées" et sur lesquelles le temps passé est le plus important. • L'indice de popularité s'intéresse aux "backlinks" ou "liens à l'arrivée", donc le nombre et la qualité des liens pointant sur une page mesurent la popularité d’un site. A noter que l’importance des développements en matière de “métrique du Web” ne peut être réduite à de simples problématiques de classement car tout ce qui touche à ces nouvelles métriques comporte des enjeux stratégiques.
3.3. Sur le plan de l’Information Scientifique et Technique Quelques règles communément admises • La visibilité commence en fait au niveau de l’auteur et de l’éditeur en tant que l’un est générateur de contenu et l’autre validateur et ce à travers les règles de structuration, de rédaction et de mise en forme de ces contenus, • La mise en œuvre de la technologie CrossRef basée sur l’attribution du DOI, • Le développement de base de données contenant les métadonnées des documents déposés, • L’adressage correcte de l’affiliation des établissements partout notamment dans les CV des chercheurs. A ce propos, plusieurs études signalent que parmi les causes directes de non visibilité figurent les défauts d’adressage des publications scientifiques, • La vérification systématique de l’exactitude des informations enregistrées dans les sources de référence, pour les corriger éventuellement, • La rédaction de pages web en anglais.
3.3. Sur le plan de l’Information Scientifique et Technique Toutefois, la règle admise mondialement est l’adoption du MODELE D’ACCES LIBRE aux résultats de la recherche. Avantages pour le chercheur • Une plus grande visibilité des publications ; • Une accessibilité accrue, et donc un taux de citation bien plus important selon toutes les études mentionnées (gain de 25 à 250 %) ; • Une dissémination immédiate, et un facteur d’immédiateté plus grand (les articles sont cités plus tôt après leur parution) ; • L’augmentation du facteur d’impact pour la plupart des titres de revues en libre accès. • Une pérennité des informations ; • On note également l’émergence de nouvelles mesures d’impact applicables aux articles eux mêmes, indépendamment des revues.
3.3. Sur le plan de l’Information Scientifique et Technique MODELE D’ACCES LIBRE Avantages pour les institutions • Un entrepôt de données institutionnel constitue une vitrine externe de l'organisation scientifique (voire une vitrine pour l’ensemble de la recherche d’un pays) • Il permet aussi de suivre la production scientifique interne (production potentielle d'indicateurs) et peut éventuellement être utilisé pour l'évaluation scientifique ; • Les avantages cités précédemment pour les chercheurs le sont aussi pour les institutions ; • Le Libre Accès représente enfin un outil essentiel de diffusion universel et direct des connaissances vers l'enseignement et le grand public ainsi que vers d’autres;
3.3. Sur le plan de l’Information Scientifique et Technique MODELE D’ACCES LIBRE L’effet de l’auto-archivage sur l’impact • L’auto-archivage apparaît comme une voie de diffusion maximale des résultats de la recherche, dont les effets en terme d’impact sont désormais mesurables. • Le site http://opcit.eprints.org/oacitation-biblio.html fournit une liste bibliographique des différentes études réalisées pour mesurer l’effet de l’auto-archivage sur l’impact des articles. • Une étude récente de 2005 réalisée sur un échantillon d’environ 1000 journaux (indexés par l’ISI) représentant 4 disciplines (Biologie, Business, Psychologie, et Sociologie) montre des avantages notables en terme de taux de citations si les documents ont été parallèlement déposés dans une archive ouverte. Le gain serait de 25 à 250 % selon les disciplines. http://eprints.ecs.soton.ac.uk/11687/ • Une autre étude montre des résultats convergents dans six autres disciplines. http://sites.computer.org/debull/A05dec/hajjem.pdf • La même tendance est observée au brésil où l’examen de cinq publications brésiliennes indexées par l'ISI pendant cinq ans, et disponible sur Scielo pendant deux ans ont conclu quele facteur d'impact de ces revues a augmenté par 132,7%après leur inclusion dans Scielo.
Classement et/ou visibilité : Quelle problématique en Algérie?
1. Topographie des lieux 1. 1. Le Discours officiel Le terme Visibilité apparait dans le discours officiel à maintes occasions et pour signifier des choses relativement différentes En 2009: Pour qualifier la qualité de l’expert chargé d’évaluer les laboratoires de recherche Il est utilisé pour qualifier une entité (Unité de recherche) ou l’un de ses membres sujet à évaluation La publication pour la première fois dans le site de la Direction Générale de la recherche du classement des universités Incitation à la mise en ligne des rapports d’évaluation triennal des laboratoires par les responsables sur les sites des universités pour une meilleure visibilité de l’activité de recherche ainsi que ses acteurs
1. 1. Le Discours officiel La visibilité est prise comme « pré-requis » « passe obligatoirement par un référencement et une présence consolidée dans la toile mondiale, non seulement à travers la visibilité des chercheurs, mais également de nos institutions de formation supérieure et de recherche La publication dans le web des données figurant dans le canevas d’évaluation des laboratoires constituera de ce fait une priorité pour tous les acteurs (chercheurs, laboratoires, établissements, ministère). Il sera préconisé en priorité l’hébergement du bilan d’activité complet sur le site de l’établissement de rattachement, à défaut, la remise d’une version au format html devra accompagner le bilan au format électronique (sur CD).
1. 1. Le Discours officiel Un autre document parle des classements "Webometrics Ranking of World Universities" du "Cybermetrics Lab "et de " SCImago Institutions Ranking ". Il critique le classement Shanghaï pour son irréalisme par rapport au contexte algérien. De l’autre côté, il impute le mauvais classement de notre pays au problème de l’affiliation des auteurs que sur 247 papiers, seuls 115 sont comptabilisés USTHB, la différence (132) apparait sous d’autres dénominations, comme l’illustre le tableau suivant :
1. 1. Le Discours officiel Il semble que le classement du webometrics a été choisi et qu’un objectif « de placer au moins trois institutions algériennes dans le top500 à l’horizon 2020 » a été défini. Ce choix est conforté par l’instruction de Mr le Secrétaire général du Ministère émise au mois d’Août 2013 L’instruction de Mr le Secrétaire général du Ministère de l’enseignement supérieure émise au mois d’Août 2013 et qui constitue une véritable feuille de route pour la visibilité du web académique Les analyses faites régulièrement par les responsables de la DGRST lors de la publication des résultats des différents classements mondiaux
Il faut noter que: Les différents discours officiels parlent de visibilité nationaleet internationale