QUELS RESEAUX POUR ACCOMPAGNER LA REDUCTION DE L UTILISATION DES PESTICIDES

1. QUELS RESEAUX POUR ACCOMPAGNER LA REDUCTION DE L�UTILISATION DES PESTICIDES ? Raymond REAU INRA, Grignon pour le groupe R�se@u d�Ecophyto R&D Quels r�seaux pour accompagner la r�duction de l�utilisation des pesticides. C�est la question qu�a trait�e le volet N�2 de cette �tude, et plus particuli�rement le groupe R�seau qui a �t� constitu� � cet effet.Quels r�seaux pour accompagner la r�duction de l�utilisation des pesticides. C�est la question qu�a trait�e le volet N�2 de cette �tude, et plus particuli�rement le groupe R�seau qui a �t� constitu� � cet effet.

2. La demande � ECOPHYTO R&D Analyse des dispositifs existants Besoins des acteurs Architecture du dispositif Projet : r�seau exp�rimental, syst�me d�information Gouvernance propos�e La demande pr�cise effective traitait de l� Organisation d�un r�seau d�acquisition de r�f�rences techniques, et de production de r�f�rentiels par syst�me de culture, ainsi que la pr�figuration du syst�me d�information. L�expos� pr�sente nos r�sultats en 5 points Analyse des dispositifs existants Besoins des acteurs Architecture du dispositif Projet : r�seau exp�rimental, syst�me d�information Gouvernance propos�e La demande pr�cise effective traitait de l� Organisation d�un r�seau d�acquisition de r�f�rences techniques, et de production de r�f�rentiels par syst�me de culture, ainsi que la pr�figuration du syst�me d�information. L�expos� pr�sente nos r�sultats en 5 points Analyse des dispositifs existants Besoins des acteurs Architecture du dispositif Projet : r�seau exp�rimental, syst�me d�information Gouvernance propos�e

3. Inventaire des dispositifs exp�rimentaux Dans les 4 fili�res (Fruits et L�gumes, Vigne et Grande culture) nous avons commenc� par r�aliser un inventaire des dispositifs exp�rimentaux de niveau 2, correspondant � ce que l�on appelle la protection ou la production int�gr�e. S�il existe des exp�rimentations vari�es sur les outils de raisonnement de l�application des pesticides, et dans une moindre mesure sur les techniques alternatives, au final beaucoup moins nombreuses sont les exp�rimentations int�gratives permettant des r�aliser une v�ritable �valuation pluriannuelle de syst�mes de culture en protection/production int�gr�e. Nous avons pu d�nombrer 87 dispositifs en GC, 33 et 36 en F&L, et 9 en vigne, ce qui est insuffisant. Par exemple, la figure montre qu�il existe de nombreux travaux sur le bl�, d�autres cultures comme le ma�s et la pomme de terre sont rarement �tudi�es. Et quand il a fallu mobiliser leurs r�sultats pour Ecophyto R&D, les donn�es se sont av�r�es dispers�es, disparates, difficiles � valoriser.Dans les 4 fili�res (Fruits et L�gumes, Vigne et Grande culture) nous avons commenc� par r�aliser un inventaire des dispositifs exp�rimentaux de niveau 2, correspondant � ce que l�on appelle la protection ou la production int�gr�e. S�il existe des exp�rimentations vari�es sur les outils de raisonnement de l�application des pesticides, et dans une moindre mesure sur les techniques alternatives, au final beaucoup moins nombreuses sont les exp�rimentations int�gratives permettant des r�aliser une v�ritable �valuation pluriannuelle de syst�mes de culture en protection/production int�gr�e. Nous avons pu d�nombrer 87 dispositifs en GC, 33 et 36 en F&L, et 9 en vigne, ce qui est insuffisant. Par exemple, la figure montre qu�il existe de nombreux travaux sur le bl�, d�autres cultures comme le ma�s et la pomme de terre sont rarement �tudi�es. Et quand il a fallu mobiliser leurs r�sultats pour Ecophyto R&D, les donn�es se sont av�r�es dispers�es, disparates, difficiles � valoriser.

4. Les besoins des acteurs de la R&D D�velopper et mettre en r�seau les dispositifs exp�rimentaux int�grant l�approche syst�me, capitaliser les r�f�rences Favoriser les synth�ses transversales pour mieux conna�tre et faire conna�tre les performances des syst�mes �tudi�s Le transfert de connaissances : plut�t qu�une diffusion, un partage par interactions entre source et destinataire, avec adaptation des r�f�rences et des outils et apprentissage D�velopper des comp�tences, en partageant m�thodes et outils de conseil Approfondir les besoins en solutions techniques, les difficult�s rencontr�es pour g�rer ces nouveaux syst�mes, leurs contre-performances pour contribuer � l�orientation de la recherche. Apr�s avoir fait ce constat de l�insuffisance des dispositifs et des r�f�rences disponibles, nous avons analys� les besoins des acteurs du conseil investis dans le conseil sur les syst�mes de culture �conomes. De cette enqu�te il ressort que�: il est important de d�velopper mais aussi de mettre en r�seau les dispositifs exp�rimentaux existants, comme de favoriser des synth�ses transversales pour mieux conna�tre les performances des syst�mes �tudi�s. Pour atteindre un tel objectif de r�duction d�usage, une transformation des syst�mes de culture sera n�cessaire. Dans ces conditions, les chercheurs en sciences sociales nous rappellent que ce type de r�f�rence ne se transfert pas vraiment par diffusion de connaissances ou d�outil, et plut�t par adaptation des r�f�rences et apprentissage des conseillers et des agriculteurs C�est pourquoi, au-del� du d�veloppement de la production de r�f�rences, il est important de mettre en place un r�seau contribuant � ces acteurs de d�velopper leurs comp�tences, et de r�pondre � leurs autres besoins, comme des synth�ses sur les solutions techniques disponibles par exemple. Apr�s avoir fait ce constat de l�insuffisance des dispositifs et des r�f�rences disponibles, nous avons analys� les besoins des acteurs du conseil investis dans le conseil sur les syst�mes de culture �conomes. De cette enqu�te il ressort que�: il est important de d�velopper mais aussi de mettre en r�seau les dispositifs exp�rimentaux existants, comme de favoriser des synth�ses transversales pour mieux conna�tre les performances des syst�mes �tudi�s. Pour atteindre un tel objectif de r�duction d�usage, une transformation des syst�mes de culture sera n�cessaire. Dans ces conditions, les chercheurs en sciences sociales nous rappellent que ce type de r�f�rence ne se transfert pas vraiment par diffusion de connaissances ou d�outil, et plut�t par adaptation des r�f�rences et apprentissage des conseillers et des agriculteurs C�est pourquoi, au-del� du d�veloppement de la production de r�f�rences, il est important de mettre en place un r�seau contribuant � ces acteurs de d�velopper leurs comp�tences, et de r�pondre � leurs autres besoins, comme des synth�ses sur les solutions techniques disponibles par exemple.

5. Une configuration en 5 modules Pour l�architecture du dispositif que nous proposons, nous sommes ainsi partis des besoins des conseillers et des agriculteurs, en consid�rant qu�un tel objectif de r�duction d�usage des pesticides passait par une transformation des syst�mes de culture, et un d�veloppement des comp�tences des conseillers et des agriculteurs dans cette direction. Transformation des SC�: exemple de la limite des OAD en GC dans la r�gion Centre o� la moiti� des parcelles de bl� voient 2 bl�s successifs. Le dispositif est compos� de 5 modules�: un syst�me d�information avec 2 modules un r�seau exp�rimental avec 3 modules, en amont du syst�me d�information.Pour l�architecture du dispositif que nous proposons, nous sommes ainsi partis des besoins des conseillers et des agriculteurs, en consid�rant qu�un tel objectif de r�duction d�usage des pesticides passait par une transformation des syst�mes de culture, et un d�veloppement des comp�tences des conseillers et des agriculteurs dans cette direction. Transformation des SC�: exemple de la limite des OAD en GC dans la r�gion Centre o� la moiti� des parcelles de bl� voient 2 bl�s successifs. Le dispositif est compos� de 5 modules�: un syst�me d�information avec 2 modules un r�seau exp�rimental avec 3 modules, en amont du syst�me d�information.

6. R�seau exp�rimental Fournir des r�f�rences sur les performances des syst�mes �conomes en pesticides Expliquer comment changer, puis comment g�rer ces syst�mes de culture D�velopper des comp�tences pour accompagner l�apprentissage par les exploitants agricoles Mettre au point des outils d�aide � la d�cision op�rationnels pour raisonner la r�duction d�usage des produits phytosanitaires, et des solutions alternatives. R�f�rences : r�seau ��Bl� rustique��, site atelier BIORECO, Farming for future (NL), R�seau d��levage RECP Le r�seau exp�rimental a �t� �bauch� pour r�pondre � 4 objectifs�: fournir des r�f�rences sur les performances des SC identifier comment changer les SC, puis comment les g�rer en ��croisi�re�� contribuer au d�veloppement des comp�tences des C et des A mettre au point de nouveaux outils d�aide � la d�cision et des solutions alternatives En partant d�exp�riences remarquables comme �.(r�f�rences), nous avons con�u ce r�seau exp�rimental qui comprend 3 modules�: un r�seau de d�exp�rimentations EXPE o� des syst�mes de culture sont �tudi�s en longue dur�e en station ou en site atelier, un r�seau de fermes pilotes FERME o� les syst�mes de culture innovants mis en �uvre par des agriculteurs et leur �volution sont �tudi�s dans des exploitations agricoles, des exp�rimentations DECI sur des techniques alternatives, r�gles de d�cision, des outils d�aide � la d�cision, voire des itin�raires Le r�seau exp�rimental a �t� �bauch� pour r�pondre � 4 objectifs�: fournir des r�f�rences sur les performances des SC identifier comment changer les SC, puis comment les g�rer en ��croisi�re�� contribuer au d�veloppement des comp�tences des C et des A mettre au point de nouveaux outils d�aide � la d�cision et des solutions alternatives En partant d�exp�riences remarquables comme �.(r�f�rences), nous avons con�u ce r�seau exp�rimental qui comprend 3 modules�: un r�seau de d�exp�rimentations EXPE o� des syst�mes de culture sont �tudi�s en longue dur�e en station ou en site atelier, un r�seau de fermes pilotes FERME o� les syst�mes de culture innovants mis en �uvre par des agriculteurs et leur �volution sont �tudi�s dans des exploitations agricoles, des exp�rimentations DECI sur des techniques alternatives, r�gles de d�cision, des outils d�aide � la d�cision, voire des itin�raires

7. R�seau exp�rimental : EXPE 50 exp�rimentations pluriannuelles en station ou en site atelier, SC en rupture forte Syst�mes de culture fix�s a priori pour la dur�e de l�exp�rimentation (> 5 ans), et d�finis par des r�gles de d�cisions Conventionnement avec le responsable de l�exp�rimentation, Co-financement de l�activit� exp�rimentale et des analyses 3 Rendez-vous�par an : dispositif en place, d�cisions prises et interventions r�alis�es, r�sultats. Mesures sp�cifiques sur l��tat de la parcelle et de son environnement. R�f�rences des performances � attendre des syst�mes de culture Le projet de module EXPE du r�seau exp�rimental qui a �t� �bauch� � la demande des Minist�res comprend 50 exp�rimentations pluriannuelles en station ou en site atelier, o� l�on �tudie les performances des syst�mes de culture qui sont fix�s a priori pour la dur�e de l�exp�rimentation. Il s�agit de co-financer des exp�rimentations de longue dur�e apr�s �tablissement de conventions, et d�assurer la fiabilit� et l�accessibilit� des r�sultats. Ces exp�rimentations seraient confi�es � des organismes de la recherche et de la recherche-d�veloppement.Le projet de module EXPE du r�seau exp�rimental qui a �t� �bauch� � la demande des Minist�res comprend 50 exp�rimentations pluriannuelles en station ou en site atelier, o� l�on �tudie les performances des syst�mes de culture qui sont fix�s a priori pour la dur�e de l�exp�rimentation. Il s�agit de co-financer des exp�rimentations de longue dur�e apr�s �tablissement de conventions, et d�assurer la fiabilit� et l�accessibilit� des r�sultats. Ces exp�rimentations seraient confi�es � des organismes de la recherche et de la recherche-d�veloppement.

9. R�seau exp�rimental : FERME 800 exploitations par groupe d�une dizaine, syst�mes de culture en rupture mod�r�e Syst�mes de culture en transformation et �volutifs Conventionnement et co-financement d�un ing�nieur-r�seau (IR) pour chaque groupe de 8 � 20 exploitations 3 Rendez-vous/an: dispositif en place, d�cisions prises et interventions r�alis�es, r�sultats. Enqu�tes th�matiques. Fiabilit� et faisabilit� des syst�mes. Observatoire des transitions. Apprentissage des conseillers et des agriculteurs. D�monstration. Le projet de module FERME du r�seau exp�rimental qui a �t� chiffr� comprend 800 exploitations investis dans des syst�mes de culture innovants, et rassembl�s par groupe d�une dizaine. Chacun suivi par un ing�nieur r�seau. Ici, on suit l��volution et la transformation des syst�mes de culture, leur fiabilit� et leur faisabilit�, comme on contribue � la formation des conseillers � l�accompagnement des agriculteurs dans la transformation des SC et la gestion des SC �conomes. Il s�agit de co-financer le suivi de fermes pilotes apr�s �tablissement de conventions, et d�assurer la fiabilit� et l�accessibilit� des r�sultats. Ces suivis seraient confi�s � des organismes de la recherche-d�veloppement ou du d�veloppementLe projet de module FERME du r�seau exp�rimental qui a �t� chiffr� comprend 800 exploitations investis dans des syst�mes de culture innovants, et rassembl�s par groupe d�une dizaine. Chacun suivi par un ing�nieur r�seau. Ici, on suit l��volution et la transformation des syst�mes de culture, leur fiabilit� et leur faisabilit�, comme on contribue � la formation des conseillers � l�accompagnement des agriculteurs dans la transformation des SC et la gestion des SC �conomes. Il s�agit de co-financer le suivi de fermes pilotes apr�s �tablissement de conventions, et d�assurer la fiabilit� et l�accessibilit� des r�sultats. Ces suivis seraient confi�s � des organismes de la recherche-d�veloppement ou du d�veloppement

11. R�seau exp�rimental : DECI Encourager l�invention de nouveaux outils d�aide � la d�cision, techniques et strat�gies alternatives S�lectionner les 10 meilleures initiatives chaque ann�e, via un appel � projet g�r� par un comit� scientifique ind�pendant Conventionnement avec le chef de file du projet laur�at, Co-financement pour une dur�e de 3 ans Un appel d�offre par an, � organiser en coordination avec les groupements existants (GIS PIC-Leg, GIS GC HP2E, ECOViti). Elargir l��ventail des solutions disponibles Le module DECI est destin� � d�velopper l�invention de nouveaux outils d�aide � la d�cision, de techniques et de strat�gies alternatives. Chaque ann�e via un appel d�offre, nous proposons de s�lectionner les 10 meilleures initiatives puis de contribuer au financement de leur projet pendant 3 ann�es successives. Et ce pour l�ensemble des 4 fili�res, en �troite coordination avec les groupements existants dans les fili�res �.Le module DECI est destin� � d�velopper l�invention de nouveaux outils d�aide � la d�cision, de techniques et de strat�gies alternatives. Chaque ann�e via un appel d�offre, nous proposons de s�lectionner les 10 meilleures initiatives puis de contribuer au financement de leur projet pendant 3 ann�es successives. Et ce pour l�ensemble des 4 fili�res, en �troite coordination avec les groupements existants dans les fili�res �.

12. Informer sur les dispositifs, et rendre accessibles les donn�es fiables Favoriser les analyses transversales, et la valorisation des donn�es, mettre � disposition les r�f�rences techniques D�velopper des ressources pour la valorisation des r�f�rences, le conseil et l�apprentissage D�velopper les comp�tences. R�f�rences : r�seau Biovigilance Adventices, RMT S.C. Innovants Cemagref, r�seau PIC INRA. Syst�me d�information Le syst�me d�information a �t� b�ti pour r�pondre � 4 objectifs�: rendre accessibles des donn�es exp�rimentales fiables issues du r�seau exp�rimental favoriser la valorisation des donn�es transversales d�velopper des ressources utiles pour le conseil et l�apprentissage des SC �conomes d�velopper les comp�tences En partant d�exp�riences remarquables comme �.(r�f�rences), nous avons con�u ce syst�me d�information qui comprend 2 modules�: une base de donn�es BASE rassemble les mesures et les observations, et assure la capitalisation, l�accessibilit� et la qualit� des donn�es exp�rimentales. Une base documentaire GECO propose des outils de valorisation des donn�es exp�rimentales, mais aussi d�autres ressources utiles pour la d�monstration et, le conseil et l�accompagnement des agriculteurs. Le syst�me d�information a �t� b�ti pour r�pondre � 4 objectifs�: rendre accessibles des donn�es exp�rimentales fiables issues du r�seau exp�rimental favoriser la valorisation des donn�es transversales d�velopper des ressources utiles pour le conseil et l�apprentissage des SC �conomes d�velopper les comp�tences En partant d�exp�riences remarquables comme �.(r�f�rences), nous avons con�u ce syst�me d�information qui comprend 2 modules�: une base de donn�es BASE rassemble les mesures et les observations, et assure la capitalisation, l�accessibilit� et la qualit� des donn�es exp�rimentales. Une base documentaire GECO propose des outils de valorisation des donn�es exp�rimentales, mais aussi d�autres ressources utiles pour la d�monstration et, le conseil et l�accompagnement des agriculteurs.

13. Syst�me d�information :BASE Une base de donn�es s�adressant aux exp�rimentateurs, chercheurs et conseillers pour capitaliser les donn�es exp�rimentales pluriannuelles, et harmoniser les m�thodes Pour valoriser les r�sultats des syst�mes de culture �tudi�s et leur description : performances techniques, �conomiques, environnementales et sociales Une application WEB pour un acc�s partag� et facile aux donn�es fiables, pour ouvrir le champ � des �tudes transversales Un outil structur� sur l�activit� exp�rimentale. ex : Base du r�seau Biovigilance Adventices, base DONESOL Dans le module BASE on propose une base de donn�es pour sauvegarder les donn�es des exp�rimentations syst�mes pluriannuelles, harmoniser les m�thodes d��tudes des syst�mes de culture �conomes, et rassembler les r�sultats et la description des SC. Pour rendre accessibles ces donn�es, cette base de donn�es sera accessible sur le web, afin de faciliter les analyses transversales.Dans le module BASE on propose une base de donn�es pour sauvegarder les donn�es des exp�rimentations syst�mes pluriannuelles, harmoniser les m�thodes d��tudes des syst�mes de culture �conomes, et rassembler les r�sultats et la description des SC. Pour rendre accessibles ces donn�es, cette base de donn�es sera accessible sur le web, afin de faciliter les analyses transversales.

14. Syst�me d�information :GECO Une base documentaire, un outil Web collaboratif finalis� sur : la capitalisation, la valorisation et le partage de ressources, l��change et l�interaction entre utilisateurs. Tout utilisateur peut �tre fournisseur aussi bien que destinataire. � destination des agriculteurs, chercheurs, conseillers, ing�nieurs R&D, d�cideurs, enseignants, firmes, � Pour rendre le flux d�informations plus fluide Pour mutualiser des ressources de caract�re distribu� et �volutif, Un outil structur� sur l�activit� de conseil : ressources, forums, � ex : Guides STEPHY initi� par le CORPEN (Grande culture, Vigne) Le module GECO, comme gestion des connaissances, est une base documentaire centr�e sur la fonction de conseil pour la capitalisation, la valorisation et le partage d� autres ressources utiles, et pour rendre le flux d�informations plus fluides. Il prendra la forme d�un portail, et d�un outil web collaboratif. Les ressources utiles, de quoi s�agit il ? ce sont par exemple un recueil des solutions techniques pour construire des SCE comme le guide Stephy bient�t disponible pour les grandes cultures, et en cours pour la Vigne, ou encore le vademecum du conseiller en SC �conome propos� par le RMT SC innovants.Le module GECO, comme gestion des connaissances, est une base documentaire centr�e sur la fonction de conseil pour la capitalisation, la valorisation et le partage d� autres ressources utiles, et pour rendre le flux d�informations plus fluides. Il prendra la forme d�un portail, et d�un outil web collaboratif. Les ressources utiles, de quoi s�agit il ? ce sont par exemple un recueil des solutions techniques pour construire des SCE comme le guide Stephy bient�t disponible pour les grandes cultures, et en cours pour la Vigne, ou encore le vademecum du conseiller en SC �conome propos� par le RMT SC innovants.

15. Gouvernance du dispositifcommun aux fili�res F&L, G. Culture et Vigne Pour g�rer l�ensemble de ce dispositif, nous proposons de cr�er un groupement interinstitutionnel comme un GIS par exemple, avec un comit� national pour chacun des modules du r�seau exp�rimental EXPE, FERME, et DECI, une organisation r�gionale pour le r�seau de FERME, et une unit� op�rationnelle pour l�animation et la gestion au quotidien du dispositif, y compris l�animation du syst�me d�information. Le budget de ce projet a �t� chiffr�, cela repr�sente une mobilisation de l��quivalent de 130 ETP au total Pour g�rer l�ensemble de ce dispositif, nous proposons de cr�er un groupement interinstitutionnel comme un GIS par exemple, avec un comit� national pour chacun des modules du r�seau exp�rimental EXPE, FERME, et DECI, une organisation r�gionale pour le r�seau de FERME, et une unit� op�rationnelle pour l�animation et la gestion au quotidien du dispositif, y compris l�animation du syst�me d�information. Le budget de ce projet a �t� chiffr�, cela repr�sente une mobilisation de l��quivalent de 130 ETP au total

16. Conclusion Pour r�duire l�utilisation des pesticides de fa�on tr�s significative : besoin de nouvelles r�f�rences accessibles et fiables besoin d�une transformation des conduites et des syst�mes, qui rel�ve d�un apprentissage des agriculteurs et des conseillers, et d�un d�veloppement de leurs comp�tences, plus que d�une diffusion d�outils Soutenir les activit�s de re-conception des syst�mes de culture entrepris par la Recherche-D�veloppement et le Conseil Ecophyto 2018 engage ces actions en 2010 : Test avec 180 FERMEs (GC, Vigne), pr�paration de la BASE de donn�es CONCLUSION La premi�re partie de l��tude ECOPHYTO a montr� qu�avec les connaissances actuelles nous sommes en mesure d�atteindre une r�duction d�usage de 30%. En faisant progresser les r�f�rences disponibles, nous allons �tre en mesure d�aller bien au-del� de ce seuil d�ici 2018. Passer � une r�duction de 50% de l�usage des phytos suppose une transformation de la protection des cultures. Dans ces conditions, la diffusion d�outils ne sera pas suffisante. Cela rel�ve avant tout d�un apprentissage et d�un d�veloppement de comp�tences. C�est pourquoi il est important que les pouvoirs publics soutiennent les activit�s de re-conception des syst�mes entrepris par la R&D et le conseil. ECOPHYTO 2018 engage ces actions � partir de 2010 avec�: le test du module FERME avec 180 fermes pilotes et la pr�paration de la base de donn�es CONCLUSION La premi�re partie de l��tude ECOPHYTO a montr� qu�avec les connaissances actuelles nous sommes en mesure d�atteindre une r�duction d�usage de 30%. En faisant progresser les r�f�rences disponibles, nous allons �tre en mesure d�aller bien au-del� de ce seuil d�ici 2018. Passer � une r�duction de 50% de l�usage des phytos suppose une transformation de la protection des cultures. Dans ces conditions, la diffusion d�outils ne sera pas suffisante. Cela rel�ve avant tout d�un apprentissage et d�un d�veloppement de comp�tences. C�est pourquoi il est important que les pouvoirs publics soutiennent les activit�s de re-conception des syst�mes entrepris par la R&D et le conseil. ECOPHYTO 2018 engage ces actions � partir de 2010 avec�: le test du module FERME avec 180 fermes pilotes et la pr�paration de la base de donn�es

17. Remerciements au groupe R�se@u PARTICIPANTS Base de donn�es�: CELLIER Vincent, INRA Dijon BOLL Roger, INRA Sophia-Antipolis, CHANET Jean-Pierre, Cemagref Clermont-Ferrand. Syst�me d�information�: FORTINO Gabriele, INRA Grignon BOULET Adrien, APCA, CERF Marianne, INRA Grignon, COMPAGNONE Claude, ENESAD Dijon, CHANET Jean-Pierre, Cemagref, JEANNEQUIN Beno�t, INRA Al�nya, WEISSENBERGER Alain, Chambre d�agriculture du Bas-Rhin. R�seau d�exp�rimentation�: REAU Raymond, INRA Grignon BINTEIN Yann, CTIFL, BOISSET Kevin, DGER, CONTEAU C�dric, CIVAM, COULON Thierry, IFV, DEHLINGER Fr�d�ric, DGER, FALOYA Vincent, INRA Rennes, PETIT Marie-Sophie, Chambre r�g. d�agriculture de Bourgogne, PLENET Daniel, INRA Avignon, LUSSON Jean-Marie, R�seau CIVAM-RAD, VERJUX Nathalie, ARVALIS-Institut du v�g�tal, VESCHAMBRE Daniel, CTIFL. et Th�r�se Volay, INRA, Isabelle Savini, INRA Paris, et Arnaud Legrand (stagiaire). Responsables scientifiques Stengel Pierre, Directeur scientifique ECONAT, INRA Lapchin Laurent, Directeur scientifique adjoint ECONAT, INRA Reau Raymond, INRA, Coordinateur du volet 2 Pour finir, je tiens � remercier l�ensemble du groupe R�seau, dont la composition figure sous vos yeux, avec lequel nous avons r�alis� cette �tude et construit ce projet, Et je vous remercie pour votre attention !Pour finir, je tiens � remercier l�ensemble du groupe R�seau, dont la composition figure sous vos yeux, avec lequel nous avons r�alis� cette �tude et construit ce projet, Et je vous remercie pour votre attention !

19. Une architecture issue d�une analyse de r�seaux en Europe association entre recherche et exp�rimentation "syst�me" en stations et en fermes pilotes organisation de la gestion des donn�es partenariat inter-institutionnel gestion des financements et des livrables via des conventions de partenariat.

20. Syst�me d�information : GECO

21. Conventions et Moyens humains