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Territoire de santé : MONTLUCON. Forces et faiblesses Complémentarités. Méthologie suivie. Pas de constitution de groupe de travail thématique Projet de territoire émanant du groupe pivot sans élargissement, exception faite d’un représentant de la CRAM Auvergne Calendrier des réunions :
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Territoire de santé :MONTLUCON Forces et faiblesses Complémentarités
Méthologie suivie • Pas de constitution de groupe de travail thématique • Projet de territoire émanant du groupe pivot sans élargissement, exception faite d’un représentant de la CRAM Auvergne • Calendrier des réunions : • 1ère réunion : 13 décembre 2005 • 2ème réunion : 5 janvier 2006 • 3ème réunion : 13 février 2006 (réunion des deux directeurs de la Polyclinique St François et du CH de Montluçon pour synthèse des propositions au groupe-projet) • 4ème réunion : 6 mars 2006 pour synthèse finale
Points forts • une permanence des soins qui fonctionne • une offre médicale pluridisciplinaire qui se répartit essentiellement sur deux établissements, qui sont les deux plus importantes structures d’hospitalisation public et privé du département de l’Allier. • une activité médico- chirurgicale soutenue, large et diversifiée qui couvre la majeure partie des besoins en soins et qui peut encore être élargie compte tenu des besoins de la population et de l’attractivité qu’elle exerce sur les départements avoisinants (Allier, Creuse, Cher, Puy de Dôme, Indre).
Points forts • une forte attractivité du territoire de santé de Montluçon. La situation décentrée de la ville de Montluçon dans le département de l’Allier se traduit par une zone d’attraction qui dépasse largement le découpage administratif. Le territoire effectue plus de 20 % de son activité d’hospitalisation complète toutes disciplines confondues pour des patients situés à l’extérieur de sa zone sanitaire. • une offre de soins d’alternatives à l’hospitalisation complète et qui vient encore de se compléter par la création de 15 lits d’hospitalisation à domicile au Centre Hospitalier.
Points forts • un plateau technique complet et attractif : 2 scanographes, 1 IRM, 1 gamma-caméra, un service de réanimation, 2 USIC, des soins intensifs en néonatologie, un équipement de radiothérapie • une bonne complémentarité entre les établissements du territoire : . Centre Hospitalier /Polyclinique : offres de soins qui se complètent (Cardiologie, Pédiatrie, Oncologie/Hématologie, …) . Co-utilisation du scanographe et de l’IRM . Dans le secteur Personnes Agées, collaboration étroite du Centre Hospitalier avec d’autres établissements par l’intermédiaire de conventions.
Points forts • une bonne réponse aux besoins de la population pour ce qui concerne la Médecine physique et la réadaptation : Centre Hospitalier de Néris les Bains et Centre de Rééducation de Pionsat. • une offre des soins de psychiatrie qui se développe et se structure.
Points faibles • 2 zones de désertification médicale : Cérilly/Marcillat • améliorer la filière de soins gériatrique C’est une insuffisance notoire du territoire. Insuffisance reconnue par le projet de SROS III qui prévoit une augmentation du volume d’activité dans ce secteur, dû au vieillissement accéléré et plus fort qu’ailleurs du territoire. En effet, la population de l’Allier, et du territoire de Montluçon notamment, se caractérise par une sur-représentation des plus âgés 60-74 ans et 75 ans et plus, les plus de 75 ans représentaient en 1999 près de 13 % de la population alors qu’ils ne représentaient que 8 % en France et 9,5 % en Auvergne. La solution passe par un fort développement de l’offre de Soins de Longue Durée du territoire, notamment par la création minimum de 60 lits de Soins de Longue Durée.
Points faibles • augmenter l’offre de soins de suite et de réadaptation (SSR) indifférencié Si le Centre Hospitalier de Néris les Bains et le Centre de Rééducation de Poinsat apportent une réponse adaptée aux besoins de la population pour ce qui concerne la Médecine Physique et la Réadaptation, il n’en va pas de même du moyen séjour indifférencié. Dans ce domaine, l’offre est très limitée sur le secteur et inexistante au Centre Hospitalier ce qui, compte tenu de son importance, paraît pour le moins paradoxal. Tous les établissements de la taille du CH de Montluçon ont un minimum de 40 lits de moyen séjour. L’activité de moyen séjour est indispensable tant pour répondre aux besoins que pour réduire la DMS en MCO.
Points faibles Le COM qui avait été signé en juillet 2000 reconnaît un besoin de 40 lits. Actuellement, cette absence de lits de moyen séjour indifférencié se fait cruellement ressentir dans la plupart des services MCO où certains jours une cinquantaine de patients relevant du moyen séjour indifférencié occupent des lits de MCO, paralysant l’activité hospitalière par déprogrammation des hospitalisations, et occasionnant des pertes d’activité et donc des pertes financières importantes.
Points faibles Il est urgent d’installer sur le territoire une offre de moyen séjour qui corresponde aux besoins réels de la population en augmentant la capacité de l’actuelle structure de 40 lits dans le cadre d’une convention de partenariat entre la Polyclinique et l’Hôpital. Par comparaison avec le territoire de Moulins, en 2011 il est prévu une activité de 68 000 journées et sur le territoire de Montluçon 10 600 journées alors que le territoire est beaucoup plus peuplé et comporte les structures à hospitalisation publique et privée les plus importantes de la région après le CHU.
Points faibles • Développer l’activité d’Hémodialyse et de Néphrologie Endocrinologie Le nombre de patients va s’accroître compte tenu du vieillissement de la population du territoire. Le chiffre de prises en charge actuel de 90 va évoluer à 115 et non à 106 comme prévu au SROS III. • Structurer et développer l’offre de soins en Psychiatrie Infanto-juvénile Pour l’ensemble de l’inter-secteur de soins en Psychiatrie, il n’existe aucune possibilité d’hospitalisation complète et les structures actuelles ne suffisent pas à répondre aux besoins de la population. Il est demandé la création d’une unité d’hospitalisation temps plein. • Problème d’accès aux spécialités :Psychiatrie, Pédiatrie, Gynécologie, Ophtalmologie.
Un renforcement de la complémentarité • une bonne complémentarité des établissements de soins, de réadaptation et d’hébergement sur le territoire. • une complémentarité qui doit se renforcer : • Création de gardes et astreintes communes en médecine, chirurgie et radiologie au niveau de la Polyclinique et du Centre Hospitalier, • Transfert de l’Unité d’obstétrique de la Polyclinique sur l’Hôpital, • Création d’une Unité de coronarographie interventionnelle dans le cadre d’un GIE (suivant dires d’expert extérieur), • Coopération Polyclinique/Hôpital dans le secteur des urgences. Mise en place d’un contrat-relais entre l’UPATOU créé à la Polyclinique et le SAU du Centre Hospitalier,
Un renforcement de la complémentarité - Installation d’une IRM supplémentaire sur St François dans le cadre d’un groupement de coopération. • favoriser la constitution d’un réseaude correspondants urgentistes locaux par une association des médecins généralistes à la prise en charge des urgences. • trouver des solutions de complémentarité public/privé pour favoriser le maintien à domicile.