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Les Visions de La Mort dans le Monde. Les multiples définitions de la mort en fonds une énigmes que toutes les civilisations ont cherchées à résoudre, cette recherche à menée l’humanité à une originalité qui lui est spécifiques en bien des points:
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Les multiples définitions de la mort en fonds une énigmes que toutes les civilisations ont cherchées à résoudre, cette recherche à menée l’humanité à une originalité qui lui est spécifiques en bien des points: -L’Homme est le seul spécimen de tout le règne animal à honorer ses morts, et à avoir conceptualiser la mort; celle-ci étant fortement influencée par la vie terrestre, ou alors dans certains cas, il s’est contenté d’en faire une simple fin sans aucune version alternative, de la vie terrestre, un point final à la vie. La modernité et l’occidentalisation de la société dut à la globalisation des comportement. Le développement de l’Athéisme, de l’individualisme, redéfinit sans cesse, la mort. Mais aussi les avancées technologiques qui ont complexifiées les visions de la mort. Cette particularité nous a amené à de diverses attitudes face à la mort. Ces attitudes sont définis de plus en plus par notre personnalité, néanmoins les grands courants spirituels de l’humanité ont su s’adapter à la société moderne et ont complexifiés leurs rapports avec leurs adeptes; tout en cherchant à en rameuter de nouveaux. Il s’agira donc pour nous de vous faire une présentation exhaustives de ces différents mouvements et de leurs adaptations à notre monde moderne. Ainsi seront nous amené à présenter la mort selon trois conceptions majeures: la vision de la mort dans le monde occidental (I), les approches mortuaires du monde Asiatique (II) et pour finir nous présenterons la mort et son symbolisme omniprésent dans la société (III)
I/ La mort et ses approches dans le monde Occidental.Après avoir été longtemps considérée comme un moment précis, un changement d’état instantané, la mort a vu peu à peu son statu changé au rythme des progrès de la médecines. Aujourd’hui il n’existe plus une seule mort mais plusieurs: la mort cérébrale, psychologique, clinique et biologique. Avec le perfectionnement des techniques de la réanimation, ces dernières années ont été témoins d’une nouvelle catégorie de patients, ramenés à la vie. Ainsi, est né le terme: expérience de mort imminente. Ces expériences qui ébranlent aujourd’hui la vision occidentale de la mort, dérange les médecins et plus largement la communauté scientifique dans son ensemble, elles sont aussi très perturbantes pour ceux et celles qui les vivent. Néanmoins, beaucoup de ces victimes de la modernité se réfugient dans les croyances qui combinées à une croyance personnelle leur permettent de relativiser, ou tout du moins d’appréhender sereinement la mort. Parmi les plus emblématiques de toutes ces croyances, revient assez communément celle du jugement des âmes. 1. L’attente du messie et du jugement dernier chez les chrétiens. L’idée fondamentale que soutient le dogme chrétien, est celui de la résurrection des corps, le retour à la vie des morts, dans leurs enveloppes de chair et de sang originelle, et ce pour l’éternité. Cette simple acception à permis le développement d’une procession original, dans laquelle à l’origine le voyage du défunt commençait par une dernière procession à laquelle devait à l’origine participer l’entourage. 2. L’émergence de l’Islam et ses conséquences. L’arrivée progressive de l’Islam, va aussi changer la donne, le dogme Chrétien bien ancré, va être obligé de muter pour s’adapter à cette nouvelle vague. Car bien que nouveau l’Islam se présente comme un retour au source, de la ‘’vraie foi’’; mais avec des nuances importantes du à ses origines. C’est ainsi que le respect du corps du mort, le fait qu’il doit être laver revêtu d’un linge blanc, honoré par ses pairs et sa famille et en somme préparer pour la vie à venir, sont des pratiques qui sont issus de la pratique Chrétienne, elle-même inspirée des pratiques païenne. 3. Les répercutions de la montée de l’individualisme, sur la tradition funéraire: le cas français. Les changements sociologiques majeurs tel que, l’urbanisation, la recomposition et l’éclatement géographique des familles, le triomphe de l’individualisme et du matérialisme, mais aussi le fait que la société soit plus technique et moins religieuse, et qu’elle ne croit plus à l’échange symbolique avec ses morts, font que les rites sociaux traditionnels ont tendance à diminuer voir disparaitre. Mais si l’on cherche comme en France à dédramatiser la mort, en faire une affaire privée et à personnaliser le deuil, il n’y a pas pour autant de nouveaux rites, mais des rites modifiés et de nouvelles pratiques. Or ces pratiques générées notamment par la crémation des défunts, qui évoluent vers un « petit sacré personnel », et ces drames que l’on consommerait en solitaire peuvent entrainer des deuils pathologiques, car lorsque les rites ne fonctionnent pas les morts viennent tourmenter les vivants. Il apparait à ce stade que le monde asiatique a connu des bouleversements bien moins profonds, un attachement continu à des pratiques plus que millénaires, a entrainer la création d’un véritable microcosme mortuaire asiatique, qui aura su associer l’ancien et le moderne.
II) La Mort dans le Monde AsiatiqueLa culture asiatique en générale est imprégnée de spiritualité et surtout d’un respect perpétuel des morts. Une communauté qui peut facilement être confondus avec celle des vivants, tant son intégration est particulière 1) Le choc funéraire Japonais quand le moderne querelle l’ancien: Les Shintoïstes. Les rites funéraires au Japon comprennent une crémation du corps puis une mise en terre des cendres dans la tombe familiale. Le coût moyen des obsèques est de quatre millions de yens, ce qui représente environ 30 000 euros et place le Japon au premier rang mondial pour les dépenses, par famille, allouées aux obsèques. La principale raison de ce coût est le manque de place dans les cimetières, phénomène lié à la densité de la population japonaise : 337 2 hab/km². A titre comparatif, en France, le coût moyen des obsèques est évalué aux alentours de 4 000 euros1 et la densité démographique de 94 hab/km²2. 2) De Bramah à la Mondialisation: la pérennisation des rituels Hindouistes. Les rituels funéraires hindous appelés Antyesti L'incinération doit libérer le défunt du cycle des réincarnations et lui permettre de rejoindre le Brahman (principe absolu universel). Quand un corps brûle, les cinq éléments dont il est composé retournent à leur place. Les lieux d'incinération sont souvent choisis à proximité des cours d'eau (par exemple Manikarnikaghat à Varanasi). Le corps du défunt est emmailloté dans un linceul blanc s'il s'agit d'un homme, rouge s'il s'agit d'une femme, jaune doré s'il s'agit d'une personne âgée. Il est ensuite orienté la tête vers le sud qui est la direction des morts. Selon que la personne décédée était adoratrice de Shiva ou Vishnou, on applique sur son front de la cendre sacrée ou de la pâte de Santal.
III) La symbolique de la mort sur le Continent Africain Le caractère commun du rituel funéraire du Continent Noir A travers le rites il s’agissait de faire comprendre au défunt qu’il appartenait désormais à l’autre monde Ils arrivaient de prendre des mesures plus radicales comme la mutilation du cadavre. Ainsi on coupait et plaçait sa tête à ses pieds, les corps étaient ligotés, les suicidés étaient enterrer sous les carrefours, et les criminelles dans les marais ou dans une fosse creusée sous le gibet. 2) L’ Afrique Moderne face à ses morts: les nouvelles pratiques mortuaires Le rite funéraire est un ensemble de gestes et de paroles dans certains pays accompagner de danse accompagnants l’agonie puis la mort de l’être humain. Ces rites semblent relever depuis toujours de la religions, mais la reconnaissance dans le monde contemporain d’une philosophie agnostique, modifie la prise en compte des derniers instants de la vie et permet l’émergence de nouveaux types de rites et de cérémonies. La nature du rituel varie selon l’époque et le statu social du défunt, les croyances de la société, les conditions du décès et parfois selon la volonté du défunt.