1 / 60

Chlamydia trachomatis

Chlamydia trachomatis. Particularité de cette bactérie. Parasite intra-cellulaire obligatoire. Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93.

stevie
Download Presentation

Chlamydia trachomatis

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Chlamydia trachomatis

  2. Particularité de cette bactérie Parasite intra-cellulaire obligatoire Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  3. Electron photomicrograph of Chlamydia trachomatis growing in tissue culture. The larger reticulate bodies (RBs) have more diffuse chromatin. One of the RBs appears to be dividing, and the trilaminar outer membrane is evident in some areas. EB, elementary body.

  4. UROGENITALES Sérotypes D à K pour les souches responsables de la plupart des IST Sérotypes L1, L2 et L3 pour les souches responsables de Nicolas Favre TRACHOME Sérotypes A, B, Ba et C Infections àChlamydia trachomatis Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  5. Infections urogénitales à C. trachomatis Première cause de MST d’origine bactérienne dans le monde Population jeune Infection asymptomatique Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  6. INFECTIONS UROGENITALES A Chlamydia trachomatis EPIDEMIOLOGIE Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  7. Estimations mondiales pour les IST guérissables, 1999

  8. Estimations mondiales pour les IST guérissables, 1999

  9. Reported incidence of Chlamydia trachomatis in the United States. (Data from CDCs, 2002)

  10. Chlamydia - Age- and gender-specific rates: United States, 1997 Men Rate (per 100,000 population) Women Age 2,100 1,800 1,500 1,200 900 600 300 0 0 300 600 900 1,200 1,500 1,800 2,100 6.1 125.0 10-14 265.6 2,044.3 15-19 373.3 1,633.5 20-24 176.3 546.7 25-29 79.7 186.2 30-34 39.1 76.9 35-39 19.9 34.1 40-44 9.6 12.6 45-54 3.6 3.5 55-64 2.5 5.8 65+ 73.1 316.0 Total

  11. Chlamydia - Positivity among women tested in family planning clinics by age group: Region X, 1988-1997 Percent < 17 Years 14 18-19 Years 12 20-24 Years 10 25-29 Years 8 > 30 Years 6 4 2 0 1988 89 90 91 92 93 94 95 96 97 Note: Women who met screening criteria were tested. Source: Region X Chlamydia Project (Alaska, Idaho, Oregon, and Washington)

  12. INFECTIONS UROGENITALES A Chlamydia trachomatis CLINIQUE Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  13. Épididymite Prostatite Hypofertilité? Salpingite Infection génitale haute Conjonctivite Rectite Péri hépatite Arthrite Conjonctivite Pneumonie • Douleurs pelviennes • GEU (50%) • Stérilité (80% ) Infection génitale basse à C. trachomatis asymptomatique dans plus de 50% des cas BB Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  14. INFECTIONS UROGENITALES A Chlamydia trachomatis DIAGNOSTIC Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  15. Infections urogénitales à Chlamydia trachomatis Prélèvements urogénitaux LA MISE EN EVIDENCE DE LA BACTERIE Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  16. LA MISE EN EVIDENCE DE LA BACTERIE • Vivante : isolement en culture cellulaire • Antigènes : immunofluorescence directe ou ELISA • Génome : hybridation moléculaire ou amplification génique Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  17. Dépistage Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  18. Dépistage des infections urogénitales à Chlamydia trachomatis Quel prélèvement? Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  19. 1er jet d’urine Auto-écouvillonage du méat urétral Dépistage chez l ’homme Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  20. Dépistage d’une infection urogénitale à Chlamydia trachomatis : le prélèvement • Doitêtrebien accepté par le patient ou la patiente • Doit permettre la recherche de Chlamydia trachomatis avec un maximum de sensibilité Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  21. 1er jet d’urine Endocol Auto-écouvillonage vulvaire Dépistage chez la femme Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  22. Dépistage des infections urogénitales à Chlamydia trachomatis Quel test? Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  23. Dépistage d’une infection urogénitale à Chlamydia trachomatis : la méthode de détection • Doit être très sensible et avoir une valeur prédictive négative élevée • Doit permettre de rendre des résultats fiables dans un délai rapide • Doit être peu coûteuse Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  24. Méthode de référence : spécificité 100% Conservation des souches pour typage et étude de la sensibilité aux antibiotiques B90 Culture cellulaire AVANTAGES INCONVENIENTS • Conservation des prélèvements délicate • Méthode longue et lourde • Sensible au type de prélèvement • Sensibilité 80% Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  25. Conservation facile du frottis Contrôle de la qualité de l ’échantillon Rapide au coup par coup B30 Immunofluorescence directe INCONVENIENTS AVANTAGES • Lecture délicate et subjective • Non adapté aux grandes séries • Sensibilité et spécificité fonction de la qualité du microscope et de l’expérience du technicien Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  26. Conservation facile du prélèvement Adapté aux grandes séries B30 ELISA classique AVANTAGES INCONVENIENTS • Manque de sensibilité : 80 % / à la culture cellulaire Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  27. Test rapide Réalisation facile B30 ELISA sur membrane AVANTAGES INCONVENIENTS • Manque de sensibilité : 50 % / à la culture cellulaire Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  28. Conservation facile du prélèvement B60 Hybridation moléculaire AVANTAGES INCONVENIENTS • Manque de sensibilité : 80 % / à la culture cellulaire Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  29. Conservation facile du prélèvement Automatisation possible Sensibilité supérieure aux autres tests Convient à tout les prélèvements Amplification génique AVANTAGES INCONVENIENTS • Hors nomenclature pour les prélèvements d’endocol et urètre (B100 pour les autres types de prélèvements) Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  30. Conservation facile du prélèvement Automatisation possible Sensibilité supérieure aux autres tests Convient à tout les prélèvements Seules les méthodes d’amplification génique sont adaptées au dépistage Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  31. Dépistage d’une infection urogénitale à Chlamydia trachomatis : sensibilité des différentes méthodes de détection de C. trachomatis en fonction du type de prélèvement chez l’homme Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93 IFD : immunofluorescence directe; HYB. : hybridation; AMPL. : amplification

  32. Dépistage d’une infection urogénitale à Chlamydia trachomatis : sensibilité des différentes méthodes de détection de C. trachomatis en fonction du type de prélèvement chez la femme Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93 IFD : immunofluorescence directe; HYB. : hybridation; AMPL. : amplification

  33. Trousses d’amplification génomiques disponibles pour le diagnostic d’infection urogénitale à Chlamydia trachomatis Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  34. Dépistage des infections urogénitales à Chlamydia trachomatis Périodicité? Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  35. Aucune étude ne permet de répondre à cette question • Après chaque rapport sexuel non protégé avec un nouveau partenaire • Tous les ans? • Tous les 6 mois? Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  36. Tests sérologiques • Micro-immunofluorescence Détection des anticorps anti LPS et anti PMME Comparaison du titre des anticorps vis à vis des trois espèces Différenciation des IgG, IgA et IgM • EIA Détection des anticorps anti LPS Nouvelles trousses détection des anticorps anti PMME - IgG, IgA et IgM Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  37. Tests sérologiques : marqueurs de l’infection • Taux d’IgG élevé • Augmentation des anticorps de quatre fois le titre d’IgG sur deux sérum  (3 à 4 semaines) • Présence d’IgM Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  38. Tests sérologiques : C. trachomatis • Pas utiles dans le cadre du diagnostic biologique des infections urogénitales basses à C. trachomatis • Intérêt lors d’infections profondes : - Salpingite, péri hépatite, épididymite - Lymphogranulomatose vénérienne - Pneumopathie du nouveau-né Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  39. Tests sérologiques : avenir • Méthode de référence sensible, spécifique et reproductible • Détermination de marqueurs fiables - d’infection aiguë (IgA locaux?) - de gravité (anti-hsp60 et séquelles chroniques inflammatoires?) Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil Général de Seine Saint Denis.abianchi@cg.93

  40. INFECTION A CHLAMYDIA (Urethre, endocol, rectum) Azithromycine 1 g p os x 1 j Doxyxycline 100mg p os x 2 x 7j Erythromycin base 500 mg orally four times a day for 7 days, OR Erythromycin ethylsuccinate 800 mg orally four times a day for 7 days, OR Ofloxacin 300 mg twice a day for 7 days, OR Levofloxacin 500 mg once daily for 7 days. (CDC, 2006)

  41. INFECTION A CHLAMYDIA (Urethre, endocol, rectum) Azithromycine 1 g p os x 1 j Or Doxycycline 100mg p os x 2 x 7j Alternatives: Amoxicilline 500 mg x3 x 7 j Erythromycin base 500 mg orally four times a day for 7 days, OR Tetracycline, 500 mg p os x4 x 7j OR Ofloxacin 300 mg twice a day for 7 days, (WHO,2004)

More Related