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Sondage 2014 auprès des finissants en génie — Rapport sur la région de l’Atlantique Réalisé par Ipsos Reid pour Ingénieurs Canada. Mai 2014. Table des matières. Objectifs de recherche 3 Méthodologie 4 Points saillants 6 Résumé 7 Plans d’avenir 11
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Sondage 2014 auprès des finissants en génie — Rapport sur la région de l’Atlantique Réalisé par Ipsos Reid pour Ingénieurs Canada Mai 2014
Table des matières Objectifs de recherche 3 Méthodologie 4 Points saillants 6 Résumé 7 Plans d’avenir 11 Intention de faire une demande de permis 17 Connaissance du permis d’exercice 28 Connaissance de l’ordre provincial 34 Connaissance de la Loi sur les ingénieurs 37 Outil d’orientation de carrière 40 Données démographiques 45 Analyse supplémentaire : Impact sur l’intention de faire carrière en génie et de faire une demande de permis Participation à un atelier ou un séminaire 49 Connaissance de la Loi sur les ingénieurs 52 Connaissance du permis d’ingénieur et des rôles 55 Connaissance des responsabilités des organisations 58
Objectifs de recherche Cette recherche a pour objectif principal de comprendre les raisons qui motivent les diplômés* des programmes de génie des universités de la région de l’Atlantique agréés par le Bureau d’agrément à faire une demande de permis ou non. Pour atteindre cet objectif, la recherche tente d’obtenir les renseignements suivants : • les plans de carrière ou de formation des finissants en génie; • le pourcentage de finissants qui a l’intention de faire carrière en génie et le pourcentage qui a l’intention de faire une demande de permis; • Le niveau de connaissance des finissants en génie quant à la Loi sur les ingénieurs de leur province ou territoire. *Dans le présent rapport, l’emploi du masculin pour désigner des personnes n’a d’autres fins que celle d’alléger le texte.
Méthodologie Le sondage a été réalisé en ligne auprès des finissants en génie entre le 27 janvier et le 14 mars 2014. On a demandé à toutes les facultés de génie des universités qui offrent des programmes agréés par le Bureau d’agrément de participer à l’étude et d’envoyer le sondage en ligne à tous les finissants inscrits à leur programme de génie. Le lien vers le sondage en ligne a été envoyé aux universités et on a demandé à chacune d’elles d’envoyer le lien vers le sondage à tous les étudiants admissibles le 27 janvier 2014. Le sondage a été offert en français et en anglais. Au total, 39 universités ont participé à la recherche et 2 046 étudiants ont répondu au sondage. En ce qui concerne les provinces de l’Atlantique, 4 universités ont participé à la recherche et un total de n=154 étudiants a répondu au sondage. La marge d’erreur de cette étude (n=154) est de ± 8 %, 19 fois sur 20.
Méthodologie (suite) • Certaines questions n’ont pas été incluses dans le rapport, car la taille de la base était trop faible : • Q16, Q17 et Q18 (seulement n=3 ont répondu à ces questions) • Q23 (seulement n=3 ont répondu à cette question) • Remarque : les bases sont considérées comme étant très faibles lorsque leur taille est inférieure à n=30; elles doivent être interprétées avec réserve.
Points saillants Par rapport à l’année dernière, on observe peu de changement significatif sur le plan statistique en ce qui concerne l’intention des étudiants de faire carrière en génie ou de faire une demande de permis d’exercice. Le nombre de finissants en génie qui ont absolument l’intention de faire carrière en génie a cependant légèrement diminué, même s’ils en ont généralement toujours fortement l’intention. On observe également la tendance inverse en ce qui concerne l’intention de faire une demande de permis d’exercice, avec une augmentation du nombre de finissants qui en ont absolument l’intention. Il sera important de surveiller ces deux points de près afin de vérifier si cette évolution se transforme en tendance. • Bien que pratiquement tous les étudiants continuent d’indiquer qu’ils ont absolument ou probablement l’intention de faire carrière en génie (98 % comme en 2013), ils sont moins nombreux que l’année dernière à en avoir absolument l’intention (76 % par rapport à 83 % en 2013). • Dans l’ensemble, les deux tiers des finissants (66 %) ont probablement l’intention de faire une demande de permis d’exercice, ce qui représente la même proportion qu’en 2013 (68 %). Cependant, le nombre d’étudiants qui feront absolument une demande de permis a légèrement augmenté (45 % par rapport à 40 % en 2013). On observe également une diminution en ce qui concerne le niveau de connaissance des étudiants à l’égard de la profession d’ingénieur. Comparativement à 2013, les étudiants sont plus nombreux à posséder une connaissance limitée des rôles dans l’exercice de la profession et des exigences en matière de permis (8 % par rapport à 2 % en 2013), tandis que la vaste majorité continue d’avoir un niveau de connaissance élevé ou moyen sur le sujet (90 % par rapport à 94 % en 2013). • On observe notamment que les étudiants ont tendance à être moins nombreux à savoir qu’un permis est nécessaire pour réaliser des travaux d’ingénierie de façon autonome (87 % par rapport à 92 % en 2013).
Résumé Intentions futures : Poursuivre des études ou trouver un emploi • Plus de huit finissants sur dix (85 %) indiquent avoir l’intention de trouver un emploi après avoir obtenu leur baccalauréat en génie, tandis qu’un sur dix (9 %) projette de poursuivre ses études. • La vaste majorité des finissants qui ont l’intention de poursuivre leurs études (n=12) prévoit poursuivre des études supérieures en génie. En raison de la très faible taille de la base, les résultats doivent être interprétés avec réserve. • Parmi les étudiants qui prévoient poursuivre leurs études, c’est au Nouveau-Brunswick qu’ils comptent le faire le plus souvent, suivi par la Nouvelle-Écosse et l’Ontario. Intentions futures : Faire carrière en génie • Pratiquement tous les étudiants (98 %) prévoient faire carrière en génie, les trois quarts le feront absolument (76 %), tandis qu’un peu plus de deux sur dix le feront probablement (22 %). Très peu d’étudiants (2 %) ne feront probablement pascarrière en génie, tandis qu’aucun n’a indiqué absolument pas. • Plus de neuf étudiants sur dix (94 %) indiquent qu’au début de leurs études ils projetaient d’exercer le génie après l’obtention de leur diplôme. Les deux tiers des étudiants ont commencé leurs études avec l’intention absolue d’exercer le génie (64 %), tandis que trois sur dix prévoyaient probablement exercer le génie (31 %).
Résumé (suite) Intentions futures : Faire carrière en génie (suite) • Comme l’ensemble des finissants, plus de neuf étudiants sur dix qui envisagent de faire carrière en génie indiquent qu’ils avaient absolument (65 %) ou probablement (31 %) l’intention de le faire au début de leurs études. Moins d’un étudiant sur dix (4 %) indique qu’il voulait faire carrière dans un autre domaine. Intentions futures : Faire une demande de permis d’exercice • De tous les finissants, quatre sur dix (45 %) indiquent avoir absolument l’intention de faire une demande de permis d’exercice, tandis qu’environ deux sur dix (21 %) disent en avoir probablement l’intention. Le quart des étudiants ne prévoient pas faire de demande de permis; parmi eux, deux sur dix ne le feront probablement pas (7 %), tandis que moins d’un sur dix ne le fera absolument pas (7 %). Un sur dix ne sait pas (11 %). • Parmi les étudiants qui prévoient faire carrière en génie, 46 % indiquent vouloir absolument faire une demande de permis et 21 % probablement, pratiquement comme l’ensemble des finissants. • Parmi ceux qui n’ont pas l’intention de faire immédiatement une demande de permis, neuf étudiants sur dix indiquent qu’ils vont probablement ou absolument faire une demande de permis un jour (91 %), tandis qu’un sur dix n’envisage pas de faire une demande un jour (9 %).En raison de la très faible taille de la base, les résultats doivent être interprétés avec réserve. • Parmi ceux qui n’ont pas l’intention de faire une demande de permis, la vaste majorité (n=13) a changé d’idée après avoir appris qu’il était nécessaire pour pouvoir utiliser légalement le titre « ingénieur » et exercer le génie et indique maintenant qu’elle fera absolument ou probablement une demande de permis.En raison de la très faible taille de la base, les résultats doivent être interprétés avec réserve.
Résumé (suite) Intentions futures : Faire une demande de permis d’exercice (suite) • Parmi les étudiants qui ont l’intention de faire une demande de permis, sept sur dix prévoient le faire dans les douze mois qui suivent l’obtention de leur diplôme (69 %). Parmi ce groupe, la moitié prévoit le faire dans les six mois (52 %). Un peu plus d’un étudiant sur dix envisage d’attendre au moins un an (15 %) ou est incertain (16 %). • Parmi ceux qui prévoient attendre au moins un an avant de faire une demande de permis ou qui sont incertains, pratiquement tous les étudiants (n=44) indiquent comme raison le désir d’acquérir l’expérience requise. • Lorsqu’ils apprennent qu’en déposant une demande de permis dans les six mois qui suivent l’obtention de leur diplôme, ils peuvent être exemptés des frais de participation au programme d’ingénieur stagiaire pour la première année, plus de neuf étudiants sur dix (95 %) indiquent qu’ils sont susceptibles de faire une demande dans ce délai. Connaissance de la profession d’ingénieur • Huit étudiants sur dix (83 %), soit la vaste majorité d’entre eux, savent que le génie est réglementé par des lois et des règlements, tandis qu’un sur dix pense que le génie n’est pas réglementé et 7 % sont incertains. • Les niveaux de connaissance qu’ont les étudiants de la Loi sur les ingénieurs sont divers. Quatre étudiants sur dix disent la connaître assez bien (38 %) ou un peu (43 %), tandis que 4 % d’entre eux indiquent très bien la connaître. Ils sont seulement 4 % à n’en avoir jamais entendu parler. • Neuf étudiants sur dix savent qu’un permis est nécessaire pour réaliser des travaux d’ingénierie de façon autonome (87 %) et sept sur dix savent qu’il est nécessaire pour utiliser le titre « ingénieur » (71 %). De plus, ils sont huit sur dix à savoir qu’un permis n’est pas nécessaire pour réaliser des travaux d’ingénierie sous la direction d’un ingénieur titulaire de permis (80 %).
Résumé (suite) Connaissance de la profession (suite) • La vaste majorité des étudiants savent que c’est leur ordre provincial qui est responsable de délivrer les permis d’exercice (84 %) et qui réglemente l’exercice du génie (69 %). Par ailleurs, près de neuf étudiants sur dix savent que le Bureau d’agrément est l’organisation qui agrée les programmes universitaires de formation en génie (87 %). • Cependant, les étudiants sont divisés en ce qui concerne l’organisation qui délivre les permis aux entreprises qui offrent des services d’ingénierie. La moitié croit que c’est leur ordre provincial (48 %), tandis que le tiers pense que c’est le Bureau d’agrément (34 %) et le quart ne sait pas (25 %). Utilité d’un outil d’orientation de carrière • Neuf étudiants sur dix (90 %), soit la vaste majorité d’entre eux, pensent qu’il aurait été très utile (48 %) ou assez utile (42 %), à l’école secondaire, d’avoir un outil pour les aider à savoir s’ils avaient le profil pour faire des études en génie. • La même proportion d’étudiants (90 %) pense qu’un outil d’orientation de carrière serait utile. Parmi eux, la moitié indique qu’il serait très utile (49 %) et quatre sur dix qu’il serait assez utile (41 %). • La plupart des étudiants pensent qu’un outil d’orientation de carrière serait plus utile en 3e année (41 %), environ le quart pense qu’il serait plus utile en 2e année (25 %) ou en 4e année (26 %) et un sur dix indique la 1re année (8 %). • Seulement 1 % des étudiants indiquent connaître le programme Cap sur la carrière d’Ingénieurs Canada.
Plans après l’obtention du diplôme • Comme l’année dernière, plus de huit étudiants sur dix ont l’intention d’entrer sur le marché du travail après avoir obtenu leur diplôme, tandis qu’un sur dix prévoit poursuivre des études. • Parmi ceux qui prévoient poursuivre des études, la vaste majorité (n=12) prévoit poursuivre des études de cycles supérieurs en génie. En raison de la très faible taille de la base, les résultats doivent être interprétés avec réserve. Intentions d’études Plans actuels après l’obtention du diplôme Q12. Lequel des énoncés suivants reflète le mieux vos projets immédiats? Base : Tous les répondants, 2013 (n=106); 2014 (n=154)Q13. Lequel des énoncés suivants décrit le mieux les études que vous désirez poursuivre? Base : Les participants qui ont répondu « Poursuivre mes études » à la Q12, 2013 (n=12); 2014 (n=14)
Lieu des études supérieures projetées • Parmi les étudiants qui prévoient poursuivre leurs études, c’est au Nouveau-Brunswick qu’ils comptent le faire le plus souvent, suivi par la Nouvelle-Écosse et l’Ontario. En raison de la très faible taille de la base, les résultats doivent être interprétés avec réserve. Lieu des études projetées Q13B. Où projetez-vous poursuivre ces études? Base : Poursuivre mes études après l’obtention de mon diplôme – 2013 (n=12); 2014 (n=14)
Intention de faire carrière en génie • Pratiquement tous les étudiants ont l’intention de faire carrière dans le domaine du génie après leurs études. • Par rapport à 2013, on observe une diminution du nombre d’étudiants qui ont absolument l’intention de faire carrière en génie; par contre, ils sont plus nombreux à en avoir probablement l’intention. Prévoyez-vous faire carrière dans le domaine du génie? Oui(2 cotes supérieures) 2014 : 98 % (n=151) 2013 : 98 %(n=104) Non(2 cotes inférieures) 2014 : 2 % (n=3) 2013 : 2 %(n=2) Q14. Une fois que vous aurez terminé toutes vos études, prévoyez-vous faire carrière dans le domaine du génie? Base : Tous les répondants, 2013 (n=106); 2014 (n=154)
Plans de carrière au début des études Est-ce que vous projetiez d’exercer le génie lorsque vous avez commencé vos études? Oui(2 cotes supérieures) 2014 : 94 % (n=145) 2013 : 95 %(n=101) Non(2 cotes inférieures) 2014 : 6 % (n=9) 2013 : 5 %(n=5) Q18. Est-ce que vous projetiez d’exercer le génie lorsque vous avez commencé vos études? Base : Tous les répondants, 2013 (n=106); 2014 (n=154) Plus de neuf étudiants sur dix indiquent qu’au début de leurs études leur objectif était d’exercer le génie. Parmi eux, presque les deux tiers avaient absolument l’intention d’exercer le génie, tandis que c’était probable pour trois sur dix.
Intentions de carrière actuelles et antérieures (parmi les étudiants qui envisagent de faire carrière dans le domaine du génie) Oui(2 cotes supérieures) 2014 : 96 % (n=145) 2013 : 96 %(n=100) Non(2 cotes inférieures) 2014 : 4 % (n=7) 2013 : 4 %(n=4) Q18. Est-ce que vous projetiez d’exercer le génie lorsque vous avez commencé vos études? Base : Les étudiants qui envisagent de faire carrière en génie, 2013 (n=104); 2014 (n=151) Plus de neuf étudiants sur dix, soit presque la totalité, qui envisagent de faire carrière en génie indiquent qu’ils avaient absolument ou probablement l’intention de le faire au début de leurs études.
Intention de faire une demande de permis Allez-vous faire une demande de permis d’exercice? Oui(2 cotes supérieures) 2014 : 66 % (n=102) 2013 : 68 %(n=72) Non(2 cotes inférieures) 2014 : 23 % (n=35) 2013 : 25 % (n=27) Q21. Allez-vous faire une demande de permis d’exercice (ing.)? Base : Tous les répondants, 2013 (n=106); 2014 (n=154) Presque la moitié des étudiants (45 %) indiquent qu’ils feront absolument une demande de permis d’exercice, tandis que deux sur dix (21 %) le feront probablement. Le quart des étudiants indiquent qu’ils sont peu susceptibles de faire une demande de permis; parmi eux, 16 % n’en feront probablement pas la demande, 7 % absolument pas et 11 % sont incertains.
Intention de faire une demande de permis – Faire carrière en génie Avez-vous l’intention de faire une demande de permis d’exercice? Oui(2 cotes supérieures) 2014 : 67 % (n=101) 2013 : 69 %(n=72) Non(2 cotes inférieures) 2014 : 23 % (n=34) 2013 : 24 % (n=25) Q21. Allez-vous faire une demande de permis d’exercice (ing.)? Base : Les répondants qui envisagent de faire carrière dans le domaine du génie, 2013 (n=104); 2014 (n=151) Parmi les étudiants qui projettent de faire carrière en génie, presque la moitié (46 %) indique qu’ils feront absolument une demande de permis, tandis que deux sur dix (21 %) le feront probablement. Le quart des étudiants est peu susceptible de faire une demande de permis; parmi ce groupe, 15 % ne le feront probablement pas et 7 % ne le feront absolument pas.
Intention de faire un jour une demande de permis d’exercice • Parmi les étudiants qui n’envisagent pas de faire une demande de permis ou qui sont incertains, plus de neuf sur dix (91 %) indiquent qu’ils feront probablement ou absolument une demande un jour, tandis qu’un sur dix (9 %) n’envisage pas de faire de demande un jour. En raison de la très faible taille de la base, les résultats doivent être interprétés avec réserve. Envisagez-vous un jour de faire une demande de permis d’exercice? Oui(2 cotes supérieures) 2014 : 91 % (n=32) 2013 : 82 %(n=22) Non(2 cotes inférieures) 2014 : 9 % (n=3) 2013 : 11 %(n=3) Q22. Envisagez-vous un jour de faire une demande de permis d’exercice (ing.)? Base : Les participants qui ont répondu « Non » à la Q21, 2013 (n=27); 2014 (n=35)
Intérêt après avoir appris qu’il faut un permis pour pouvoir exercer le génie • Une fois qu’on leur a dit qu’il fallait détenir un permis pour pouvoir utiliser légalement le titre d’ingénieur et exercer la profession, les deux tiers des étudiants qui ne projetaient pas de faire une demande de permis ou qui étaient incertains de leurs intentions au départ indiquent maintenant qu’ils feront absolument ou probablement une demande de permis. En raison de la très faible taille de la base, les résultats doivent être interprétés avec réserve. Étant donné qu’il faut détenir un permis pour pouvoir exercer le génie, prévoyez-vous en faire la demande? Oui(2 cotes supérieures) 2014 : 65 % (n=13) 2013 : 67 %(n=8) Non(2 cotes inférieures) 2014 : 20 % (n=4) 2013 : 25 % (n=3) Q24. Étant donné qu’il faut détenir un permis d’exercice pour pouvoir se déclarer légalement ingénieur ou exercer comme ingénieur, prévoyez-vous faire une demande de permis d’exercice (ing.)? Base : Les répondants qui ne prévoient pas faire une demande de permis ou qui sont incertains, 2013 (n=12); 2014 (n=20)
Expérience de travail acquise avant l’obtention du diplôme – 2014 • Parmi ceux qui n’ont pas l’intention de faire immédiatement une demande de permis d’exercice, mais qui ont changé d’idée après avoir appris qu’il était nécessaire pour pouvoir exercer le génie, plus de quatre sur dix ont acquis de l’expérience de travail avant d’obtenir leur diplôme, tandis qu’ils sont un peu moins nombreux à ne pas avoir d’expérience et deux sur dix sont incertains de l’admissibilité de leur expérience. Q33 Avez-vous acquis de l’expérience de travail en génie avant l’obtention de votre diplôme? Base : Les répondants qui ont fait une demande de permis d’exercice ou qui sont incertains (n=16)
Délais quant à la demande de permis • Sept étudiants sur dix qui ont l’intention de faire une demande de permis prévoient le faire dans les douze mois (69 %) qui suivent l’obtention de leur diplôme et la moitié d’entre eux (52 %) envisagent de le faire dans les six mois. Un peu plus d’un étudiant sur dix à l’intention de faire une demande plus d’un an (15 %) après avoir obtenu son diplôme ou demeure incertain (16 %). Quand prévoyez-vous faire une demande de permis? Dans les douze mois(2 cotes supérieures) 2014 : 69 % (n=101) 2013 : 67 %(n=68) Q27. Quand prévoyez-vous faire une demande de permis d’exercice? Base : Les répondants qui prévoient faire une demande de permis, 2013 (n=102); 2014 (n=147)
Raisons de l’attente avant de faire une demande de permis • Parmi les étudiants qui prévoient attendre au moins un an avant de faire une demande de permis ou qui sont incertains, pratiquement la totalité donne comme raison le désir d’acquérir l’expérience de travail requise. En raison de la très faible taille de la base, les résultats doivent être interprétés avec réserve. Pourquoi désirez-vous attendre plus d’un an avant de faire votre demande de permis? Q28. Pourquoi désirez-vous attendre plus d’un an avant de faire votre demande de permis d’exercice? Base : Les participants qui ont répondu « Plus d’un an » ou « Ne sait pas / incertain(e) » à la Q27, 2013 (n=34); 2014 (n=46)
Impact de l’exemption des frais de cotisation à titre d’ingénieur stagiairesur la possibilité de faire une demande de permis dans les six mois • Lorsqu’ils apprennent qu’il est possible d’être exempté des frais de cotisation pour la première année à titre d’ingénieur stagiaire, près de six étudiants sur dix (58 %) qui prévoyaient au départ faire une demande de permis plus de six mois après l’obtention de leur diplôme disent maintenant qu’il est très probable qu’ils fassent une demande dans ce délai. Presque quatre étudiants sur dix (37 %) disent qu’il est assez probable qu’ils fassent une demande dans les six mois, tandis que seulement 1 % indique qu’ils ne feront probablement pas de demande dans ce délai et 4 % sont incertains. (n=81) Feriez-vous une demande de permis dans les six mois si vous pouviez être exempté des frais de cotisation à titre d’ingénieur stagiaire pour la première année? Probable(2 cotes supérieures) 2014 : 95 % (n=67) 2013 : 85 %(n=43) Improbable(2 cotes inférieures) 2014 : 1 % (n=1) 2013 : 8 %(n=4) Q29. Si vous saviez qu’en déposant une demande de permis dans les six mois qui suivent l’obtention de votre diplôme, vous pourriez être exempté des frais d’ouverture de dossier et de la cotisation pour la première année à titre d’ingénieur stagiaire, dans quelle mesure serait-il probable que vous fassiez une demande de permis dans ce délai de six mois? Base : Les répondants qui ne savent pas ou qui prévoient faire une demande de permis plus de six mois après l’obtention de leur diplôme, 2013 (n=51); 2014 (n=71)
Pays envisagé pour la demande de permis • Pratiquement tous les étudiants (96 %) qui ont l’intention de faire une demande de permis d’exercice prévoient le faire au Canada. Un sur dix envisage également de faire une demande aux États-Unis (11 %) ou à l’étranger (8 %). Dans quel pays ou quelle région prévoyez-vous faire une demande de permis d’exercice? 2014 : 8 % (n=12) 2013 : 5 %(n=5) À l’étranger Comme les répondants peuvent donner plusieurs réponses, il est possible que le total dépasse 100 %. Q25. Dans quel pays ou quelle région prévoyez-vous faire une demande de permis d’exercice? Base : Les répondants qui prévoient faire une demande de permis un jour, 2013 (n=102); 2014 (n=147)
Province envisagée pour la demande de permis • Environ la moitié des étudiants qui ont l’intention de faire une demande de permis d’exercice prévoient le faire en Alberta (46 %), suivis du Nouveau-Brunswick (38 %). Pratiquement trois sur dix ont l’intention de faire une demande en Nouvelle-Écosse (28 %) et presque le quart envisage de le faire en Ontario (24 %) ou à Terre-Neuve-et-Labrador (23 %). • Les étudiants sont plus susceptibles de faire une demande de permis en Nouvelle-Écosse et dans les Territoires du Nord-Ouest qu’en 2013. Q26. Dans quelles provinces ou quels territoires prévoyez-vous faire une demande de permis d’exercice? Base : Les répondants qui prévoient faire une demande de permis au Canada, 2013 (n=98); 2014 (n=141)
Réglementation du génie • Huit étudiants sur dix, soit la vaste majorité d’entre eux (82 %), savent que le génie est réglementé par des lois et des règlements, tandis qu’un sur dix pense que la profession n’est pas réglementée et 7 % sont incertains. La pratique professionnelle du génie est-elle encadrée par des lois et des règlements? Q5. D’après vous, est-ce que la pratique professionnelle du génie est encadrée par des lois et des règlements? Base : Tous les répondants, 2013 (n=106); 2014 (n=154)
Nécessité du permis au sein de la profession Est-il nécessaire de détenir un permis pour pouvoir : Q8. D’après vous, est-il nécessaire de détenir un permis d’ingénieur pour... Base : Tous les répondants, 2013 (n=106); 2014 (n=154) Pratiquement neuf étudiants sur dix savent qu’un permis est nécessaire pour réaliser des travaux d’ingénierie de façon autonome (87 %), tandis que sept sur dix savent qu’il est nécessaire pour utiliser le titre « ingénieur » (71 %). Exactement huit étudiants sur dix savent par ailleurs qu’il n’est pas nécessaire pour réaliser des travaux d’ingénierie sous la direction d’un ingénieur titulaire de permis (80 %).
Connaissance du permis d’ingénieur et des rôles • Neuf étudiants sur dix ont un niveau de connaissance moyen (39 %) ou élevé (51 %) des rôles pour lesquels il est nécessaire de détenir un permis pour pouvoir exécuter légalement des fonctions ou des actes au sein de la profession. Par ailleurs, un étudiant sur dix possède un niveau de connaissance limité (8 %) ou nul (3 %) sur le sujet. • Par rapport à 2013, on observe une augmentation du nombre d’étudiants qui possèdent un niveau de connaissance limité. Niveau de connaissance des fonctions ou des actes nécessitant un permis Définition des niveaux de connaissanceÉlevé : Tous exacts (3) à la Q8Moyen : 2 exacts à la Q8Limité : 1 exact à la Q8Nul : Zéro (0) exact à la Q8 Élevé/Moyen(2 cotes supérieures) 2014 : 90 % (n=138) 2013 : 94 %(n=100) Limité/Nul(2 cotes inférieures) 2014 : 11 % (n=16) 2013 : 6 % (n=6) Q8. D’après vous, est-il nécessaire de détenir un permis d’ingénieur pour.. Base : Tous les répondants, 2013 (n=106); 2014 (n=154)
Quelles organisations sont responsables des activités ou procédures suivantes? Responsabilités des organisations – 2013 et 2014 Q9. Veuillez choisir l’organisation ou les organisations qui sont responsables des différentes activités ou procédures énumérées ci-dessous. Base : Tous les répondants, 2013 (n=106); 2014 (n=154) La vaste majorité des étudiants savent que c’est leur ordre provincial qui est responsable de délivrer les permis d’exercice (84 %) et de réglementer l’exercice du génie (69 %). Par ailleurs, près de neuf étudiants sur dix savent que le Bureau d’agrément est l’organisation qui agrée les programmes de génie offerts par les universités (87 %). Cependant, les étudiants sont divisés en ce qui concerne l’organisation qui délivre les permis aux entreprises qui offrent des services d’ingénierie; la moitié croit que c’est leur ordre provincial (48 %), tandis que le tiers pense que c’est le Bureau d’agrément (34 %) et le quart ne le sait pas (25 %). Comparativement à 2013, les étudiants sont moins susceptibles de penser que c’est le Bureau d’agrément qui délivre les permis aux entreprises qui offrent des services d’ingénierie, mais ils sont plus susceptibles de croire que cette organisation défend les intérêts de la profession d’ingénieur.
Connaissance des responsabilités des organisations • Près de neuf étudiants sur dix ont un niveau de connaissance élevé (32 %) ou moyen (59 %) en ce qui concerne les responsabilités des organisations en matière d’activités ou de procédures liées à la profession d’ingénieur. Un étudiant sur dix a un niveau de connaissance limité (5 %) ou n’a aucune connaissance (4 %) sur le sujet. Niveau de connaissance des responsabilités des organisations au sein de la profession d’ingénieur Définition des niveaux de connaissance Élevé : Tous exacts à la Q9 (4)Moyen : 2 ou 3 exacts à la Q9Limité : 1 exact à la Q9Nul : Tous inexacts (0) à la Q9 Élevé/Moyen(2 cotes supérieures) 2014 : 91 % (n=140) 2013 : 88 %(n=93) Limité/Nul(2 cotes inférieures) 2014 : 9 % (n=14) 2013 : 12 % (n=13) Q9. Veuillez choisir l’organisation ou les organisations qui sont responsables des différentes activités ou procédures énumérées ci-dessous. Base : Tous les répondants, 2013 (n=106); 2014 (n=154)
Connaissance de l’ordre provincial Participation à des séminaires et connaissance du programme de membre étudiant
Participation à un atelier ou un séminaire d’un ordre provincial • Près de la moitié des étudiants (46 %) ont déjà assisté à un atelier ou un séminaire donné par un représentant de leur ordre provincial. Avez-vous déjà assisté à un atelier ou un séminaire donné par [PEGNL/Engineers PEI/ Engineers NS/l’AIGNB]? Q11. Avez-vous déjà assisté à un atelier, un séminaire ou un exposé donné par un représentant de [PEGNL/Engineers PEI/Engineers NS/ l’AIGNB? Base : Tous les répondants, 2013 (n=106); 2014 (n=154)
Connaissance du programme de membre étudiant • Près de quatre étudiants sur dix (38 %) sont au courant de l’existence du programme de membre étudiant (PME) offert par leur ordre provincial. Parmi eux, 7 % en sont actuellement membres, près d’un quart en a entendu parler et aimerait en faire partie (23 %) et 8 % en ont entendu parler, mais ne souhaitent pas en faire partie. Connaissance(3 cotes supérieures) 2014 : 38 % (n=57) 2013 : 35 % (n=37) Q32. Lequel des énoncés suivants décrit le mieux dans quelle mesure vous connaissez le programme de membre étudiant offert par [PEGNL/Engineers PEI/Engineers NS/l’AIGNB]? Base : Tous les répondants, 2013 (n=106); 2014 (n=154)
Loi sur les ingénieurs • Plus de huit étudiants sur dix indiquent connaître la Loi sur les ingénieurs de leur province. Quatre étudiants sur dix indiquent la connaître assez bien (38 %) ou un peu (43 %), tandis que 4 % prétendent la connaître très bien. Seulement 4 % des étudiants n’en ont jamais entendu parler. Dans quelle mesure connaissez-vous la Loi sur les ingénieurs de [Terre-Neuve-et-Labrador/Î.-P.-É/Nouvelle-Écosse/Nouveau-Brunswick]? Connaissance(3 cotes supérieures) 2014 : 85 % (n=131) 2013 : 91 %(n=97) Q6. La pratique du génie est réglementée par la Loi sur les ingénieurs de [de Terre-Neuve-et-Labrador/Î.-P.-É./Nouvelle-Écosse/Nouveau-Brunswick]. Lequel des énoncés suivants décrit le mieux dans quelle mesure vous connaissez cette Loi? Base : Tous les répondants, 2013 (n=106); 2014 (n=154)
Loi sur les ingénieurs (suite) • Huit étudiants sur dix ont entendu parler de la Loi sur les ingénieurs dans un cours sur le droit et l’éthique à l’université (54 %) ou par un professeur ou un autre membre du personnel de l’université (27 %). Comment avez-vous entendu parler de la Loi sur les ingénieurs de [Terre-Neuve-et-Labrador/Î.-P.-É./Nouvelle-Écosse/Nouveau-Brunswick] pour la première fois? Par un professeur ou dans un cours à l’université Les réponses totalisant moins de 4 % ne sont pas représentées . Q7. Comment avez-vous entendu parler de la Loi sur les ingénieurs de [Terre-Neuve-et-Labrador/Î.-P.-É./Nouvelle-Écosse/Nouveau-Brunswick] pour la première fois? Base : Les répondants qui connaissent la Loi, 2013 (n=97); 2014 (n=131)
Utilité d’un outil d’orientation de carrière au secondaire • Neuf étudiants sur dix, soit la vaste majorité d’entre eux, pensent qu’il aurait été utile, à l’école secondaire, d’avoir un outil pour les aider à savoir s’ils avaient le profil pour faire des études en génie. La moitié d’entre eux pense qu’un tel outil aurait été très utile. Utile (2 cotes supérieures) 90 % (n=139) Inutile (2 cotes inférieures) 10 % (n=15) (n=42) Q33E. Est-ce qu’il aurait été utile, à l’école secondaire, d’avoir un outil pour vous aider à savoir si vous aviez le profil pour faire des études en génie et mener avec succès une carrière dans ce domaine? Base : 2014 n=154
Outil d’orientation de carrière – 2014 • Par ailleurs, neuf étudiants sur dix pensent qu’un outil d’orientation de carrière aurait été utile et environ la moitié d’entre eux pensent qu’un tel outil aurait été très utile. Utile (2 cotes supérieures) 2014 : 90 % (n=138) Inutile (2 cotes inférieures) 10 % (n=16) Q17a. Est-ce qu’un outil pour vous aider à décider vers quel genre de carrière vous diriger – par exemple, le génie-conseil, l’ingénierie technique, l’ingénierie commerciale, la gestion de projets, le milieu universitaire, etc., vous serait utile? Base : Tous les répondants, 2014 (n=154)
Outil d’orientation de carrière – 2014 • Quatre étudiants sur dix pensent que c’est en 3e année qu’un outil d’orientation de carrière aurait été le plus utile. Ils sont près d’un quart à estimer qu’un tel outil aurait été plus utile en 2e année ou en 4e année, et seulement un sur dix indique la 1re année. Q17b. Selon vous, à quelle étape de votre formation en génie ce genre d’outil d’orientation de carrière serait le plus utile? Base : Tous les répondants, 2014 (n=154)
Connaissance du programme Cap sur la carrière • Seulement 1 % des étudiants disent connaître le programme Cap sur la carrière d’Ingénieurs Canada. Q17c. Savez-vous qu’Ingénieurs Canada a mis au point un nouveau programme intitulé Cap sur la carrière qui comprend un outil capable d’évaluer vos chances de succès dans le domaine du génie? Base : Tous les répondants, 2014 (n=154)
Incitation à faire des études en génie • Près de la moitié des étudiants ont été incités par quelqu’un à faire des études en génie. Parmi ceux qui y ont été encouragés, la moitié l’ont été par un parent, quatre sur dix par un autre membre de la famille et deux sur dix par un ami ou une connaissance ou par un professeur. • Ce sont majoritairement des hommes qui ont incité les étudiants à faire des études en génie. (n=42) Q33B. D’après vous, y a-t-il une personne ou un modèle de rôle en particulier qui vous a incité à faire des études en génie? Base : Tous les répondants, 2013 (n=106), 2014 (n=154) . Q33C. Quel est ou était votre lien avec cette personne (ou ces personnes)? Base : Les répondants qui ont été incités par quelqu’un à faire des études en génie, 2013 (n=42), 2014 (n=76) Q33D. Veuillez indiquer le sexe de chacune des personnes indiquées.Base : Les répondants qui ont été incités par quelqu’un à faire des études en génie.
Résidence permanente • Environ la moitié des finissants en génie sont des résidents permanents de la province où ils étudient (55 %), ce qui représente une proportion moins élevée qu’en 2013. Parmi ceux qui étudient dans une province de l’Atlantique, mais dont la résidence est située dans une autre province ou un autre territoire, les étudiants proviennent le plus souvent de la Nouvelle-Écosse, de l’Ontario, de l’Alberta et de l’Î.-P.-É. Résident d’une autre province ou d’un autre territoire : Q34. Nous désirons connaître votre lieu de résidence à des fins statistiques seulement. Veuillez sélectionner l’énoncé qui correspond le mieux à votre statut actuel. Base : Tous les répondants, 2013 n=106, 2014 n=154; Q35. Vous étudiez dans une université de [Terre-Neuve-et-Labrador/Î.-P.-É/Nouvelle-Écosse/Nouveau-Brunswick], mais votre lieu de résidence principale est situé dans une autre province ou un autre territoire. Veuillez sélectionner votre province ou territoire de résidence. Base : Les répondants qui ne résident pas en permanence à [Terre-Neuve-et-Labrador/l’Î.-P.-É/en Nouvelle-Écosse/au Nouveau-Brunswick], 2013 n=26, 2014 n=48
Disciplines du génie • Les disciplines les plus populaires sont le génie civil, le génie mécanique, le génie chimique et le génie électrique. Les réponses totalisant moins de 3 % (en 2013) ne sont pas représentées. Q3/Q3B. Veuillez indiquer la discipline de votre programme d’études en génie en sélectionnant l’une des options ci-dessous. Base : Tous les répondants, 2013 (n=106); 2014 (n=154)
Participation à un atelier ou un séminaire et intention de faire carrière en génie Intention de faire carrière dans le domaine du génie Les intentions de faire carrière dans le domaine du génie sont les mêmes, que les étudiants aient assisté ou non à un atelier ou un séminaire.