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LE CONTRÔLE DU MOUVEMENT

LE CONTRÔLE DU MOUVEMENT. Maintien de la constance d’une réponse. Permettre l’adaptation du système. - Homéostasie - Tonus musculaire. - Réponses spécifiques à des variations décelées par les capteurs. Le rôle des informations sensorielles.

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LE CONTRÔLE DU MOUVEMENT

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Presentation Transcript


  1. LE CONTRÔLE DU MOUVEMENT

  2. Maintien de la constance d’une réponse Permettre l’adaptation du système - Homéostasie - Tonus musculaire - Réponses spécifiques à des variations décelées par les capteurs Le rôle des informations sensorielles Le système de traitement est comme tout système biologique i.e. de nature DYNAMIQUE. Le flux d’information auquel il est soumit est contrôlé. Ce contrôle est nécessaire soit :

  3. Régulation : Ajustement d’une grandeur physique asservie à laquelle est imposée un point de consigne SYSTEME SORTIE ENTREE Correcteur Capteur Comparateur Consigne Rétroaction : Réintroduction d’une partie du signal de sortie d’un système à l’entrée de ce système. Asservissement d’une grandeur physique.

  4. ERREUR M1 M2 M3 Copie d’efference « référence » Prg moteur Moelle epiniere FB proprioceptif Muscles FB kinesthésique (position corporelle) Mouvement FB extrinseque Environnement Identification du stimulus Sélection de la réponse Programmation de la réponse

  5. Le système semble capable d’utiliser des informations sensorielles de sources différentes Afin de contrôler, d’adapter voire de corriger l’action en cours i.e. le programme moteur. Science & Vie. Septembre 1998 EN RESUME…..

  6. Q : Est-ce-que les informations sensorielles sont indispensables au contrôle du geste en cours de mouvement ? Existe-t-il un autre mode de contrôle du mouvement volontaire??

  7. IL EST POSSIBLE POUR L’HUMAIN DE PRODUIRE DES MOUVEMENTS SANS RE-AFFERENCES SENSORIELLE !!!!

  8. Les patrons electromyographiques sont similaires bien que les FB sont Radicalement differents….. La realisation d’un mouvement d’extension rapide peut s’effectuer Sans reafferences…

  9. LE CONTROLE PRO-ACTIF POURQUOI FAIRE?????

  10. A t’on un mode de contrôle préférentiel ? • Les 2 modes de controle co-existent (cf. mouvement de saisie) • MAIS • Certains gestes sont sous la dependance d’un mode • de controle particulier • EN FONCTION: • Temps imparti pour realiser l’action = • Pression Temporelle (Trec / Timp) • De la stabilite environnementale • De la disponibilite des sources informationnelles

  11. Exemple : mouvement de pointage visuo-manuel

  12. Phase balistique Phase de transport Feedforward Phase de contrôle Phase de régulation Feedback Vitesse (cm.s-1) Temps (ms) 130 ms

  13. CONCLUSION Les programmes moteurs a la base des mouvements volontaires sont sous la dépendance de deux types de contrôle. Le 1er effectué avant l’action (contrôle pro-actif) réalisé en BO sert à : - Programmer la réponse - Fixer les ddl - Mettre en place les APA - Ajuster les activités réflexes pour permettre au geste de s ’effectuer Le 2nd effectué en cours d’action (contrôle rétro-actif) réalisé en BF race aux informations afférentes. Ce type de contrôle permet de modifier le programme initial en fonction des conditions de Réalisation du mouvement.

  14. Le mouvement volontaire est le fruit de l’élaboration Puis de l’expression d’une séquence d’instructions i.e. le programme moteur Cependant, la notion de programme moteur possède des Limites…. Liées au stockage et a la réalisation de gestes nouveaux

  15. LANCER Une balle un ballon un javelot un poids une grenade ses clés un tabouret un chat sa belle mère

  16. mouvement 1 Prog. Mot. 1 mouvement 2 Prog. Mot. 2 mouvement 3 Prog. Mot. 3 One to one theory mouvement 1 mouvement 2 Prog. Mot. Gen 1 mouvement 3

  17. Paramètres flottants - Identité muscles - Intensité contraction - Direction mvt 2 1 PMG Invariants spatiaux - temporels Structure du PMG... Programme moteur

  18. Y a t ’il une structure commune à différents mouvements ? Variation du TM Amstrong (1970) Variation du segment Raibert (1977) Bernstein INVARIANTS Spatiaux Temporels Variation de l ’Amplitude Hollerbach (1978)

  19. Un exemple d’invariance TEMPORELLE : la frappe dactylographique Alignement sur la 1ére lettre TM différents => pas d ’ordre rangement des séquences par TM croissants Normalisation des phases invariance temporelle

  20. « Coordination » - 1 : taille normale - 2 : petite taille - 3 : doigts bloqués - 4 : stylo attaché au dessus du poignet - 5 : au coude - 6 : à l’épaule - 7 : gros orteil du pied droit - 8 : stylo entre les dents - 9 : gros orteil du pied gauche Un exemple d’invariance SPATIALE : Bernstein

  21. Stabilité environnementale PRÉPARATION - ANTICIPATION Pression Temporelle Mémoires Registre des connaissance

  22. La Préparation à l’action s’exprime par la mise en place aux différents niveaux du traitement de l’information Sensori-motrice, d’ajustements destinés à augmenter l’efficience de la réponse qu’exigera un événement spécifique. Requin (1978)

  23. HOLLENDER Préparation à court terme Préparation à long terme Incertitude TEMPORELLE Incertitude EVENEMENTIELLE

  24. La préparation à l’action joue également sur le versant moteur De la chaîne de traitement de l’information. Se préparer c’est (aussi) optimiser la phase de Programmation du mouvement volontaire…

  25. QUELLE EST LA HIERARCHIE DE PROGRAMATION ???? TRChoix > TRC + D > TRC + A > TRD + A > TRC > TRD > TRA > TRsimple COTE > DIRECTION > AMPLITUDE

  26. Le niveau de préparation d’un sujet est graduable • MOTIVATION • PROBABILITES • PRESSION TEMPORELLE • VALEUR ACCORDE • …

  27. Requin, 1978 Entrée (SP) mémoires Pré-décision Processus préparatoires Entrée (SE) I S P sortie Sys. sensoriel décision Sys. moteur

  28. En conclusion… 1- Le niveau de performance est directement influencé par le niveau de préparation à l’action 2- les processus préparatoires sont optionnels 3- leur mise en place est coûteuse et ne peut pas être maintenue indéfiniment 4- Qu’il est possible de distinguer une préparation globale (éveil – attention) une préparation spécifique orientée vars un geste

  29. Y a t ’il une structure commune à différents mouvements ? Variation du TM Amstrong (1970) Variation du segment Raibert (1977) Bernstein INVARIANTS Spatiaux Temporels Variation de l ’Amplitude Hollerbach (1978)

  30. Un exemple d’invariance TEMPORELLE : la frappe dactylographique Alignement sur la 1ére lettre TM différents => pas d ’ordre rangement des séquences par TM croissants Normalisation des phases invariance temporelle

  31. L’ATTENTION Les processus attentionnels

  32. L’attention c’est …la prise de possession par l’esprit … d’un objet ou d’une suite de pensées parmi plusieurs qui semblent simultanément possibles. Cela suppose que l’on s’écarte de certaines choses pour S’occuper plus efficacement d’autres choses Willam James (1890) L’attention est un phénomène : - volontaire - de tri sélectif

  33. L’attention portée à une oreille entraîne une meilleure Rétention des messages qui y parviennent… L’attention portée à un canal sensoriel entraîne un Meilleur encodage des informations qui y parviennent…

  34. Ex1 : marcher ET lire STI : Une capacité limité de traitement ??? Ex2 : se garer ET converser

  35. Modèle de l’attention sélective ». Broadbent (1958) Attention : système à capacité limité ne laissant passer qu’une certaine quantité d’information

  36. Les modèles de sélection précoce placent le filtre à l’entrée du STI • - Les informations sont temporairement stockées dans des mémoires sensorielles • Immédiates sur la base de leur caractéristiques élémentaires • - Le filtre intervient en autorisant/refusant l’accès au système mnémonique = • AUX AUTRES ETAPES DE TRAITEMENT

  37. Message auquel il est Fait attention MAIS … Etes vous étudiants en STAPS?? L’estimation qui est faite du taux de croissance pour l’année prochaine… L’estimation qui est faite du taux de croissance pour l’année prochaine…STAPS ?? Neville & Moray (1959) Les informations non pertinentes sont atténuées et non pas ignorées Treisman (1969)

  38. Dans les modèles de sélection tardive, l’information bénéficie d’un accès • parallèle à la mémoire sur la base d’un mécanisme de sélection d’une zone • mnémonique particulière.

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