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Comment traiter. les néologismes les belgicismes les anglicismes. ?. Une conversation banale Le bagage d’un francophone moyen Un dictionnaire pour enfants Un dictionnaire ordinaire Un dictionnaire en plusieurs volumes Le « Trésor ». 3.000 mots 5.000 mots 10.000 mots
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Comment traiter lesnéologismes les belgicismes les anglicismes ?
Une conversation banale Le bagage d’un francophone moyen Un dictionnaire pour enfants Un dictionnaire ordinaire Un dictionnaire en plusieurs volumes Le « Trésor » 3.000 mots 5.000 mots 10.000 mots 45.000 à 60.000 mots 80.000 mots 1.400.000 mots dont 500.000 mots techniques Le nombre de mots
antimondialisation bioterrorisme biovigilance clonagethérapeutique coparentalité marchandisation profileur souverainisme minimessage mogette oulipien teuf trabendo (Algérie) ivressomètre (Québec) clavardage (Québec) pécule de vacances (B) séniorie (B) Les mots nouveaux de 2003 pour le Larousse
Les néologismes : • par l’ajout d’un suffixe : • le suffixe –iste : urgentiste, intensiviste, documentaliste, bédéiste, véliplanchiste, cibiste, croisièriste, galeriste, comportementaliste, infographiste, vacanciste • le suffixe –erie: viennoiserie, solderie, sandwicherie, parurerie, ingénierie, déchetterie (déchèterie), croissanterie, briocherie, billetterie, sweaterie, pullerie, doguerie • le suffixe –ing : footing, caravaning zapping, parenting
par l’ajout d’un préfixe : • le préfixe cyber- : cyberactualité, cyberfaune, cybercafé, cyberculture, cybermonde, cyberespace, cyberdépendance, cybervocabulaire • les préfixes super-, hyper-, over- • le préfixe euro- : eurofolie, europhobie, eurogang, euroland(e) • La néologie de sens • assurer, dangerosité, grave, initier, plus, etc.
La siglaison CdH La Corée La réduction la clim l’airco perso l’actu l’exclu La création de mots ou d’expressions maladie orpheline démarcherie finaliser minerver monovolume stadier vespachienne supportrice micro-ondable
Têtes de liste : Barre Délocaliser Dérégulation Désertification Fédérer Finaliser Génocide Impact Initier Positionner Perdurer Portionner Positiver Réceptionner Solutionner Synergie Les bons élèves : Assumer Budgéter Caritatif Cibler Consensus Défectuosité Dispatcher Drastique Instance Institutionnaliser Maintenance Opportunité Parution Promotionner Réaliser Renseigner Sécurisation Titularisé Traçabilité Véritable
En baisse Achalandé Complété Conjoncture Correct Digital Domestique Efficient Incontournable Interpeller Investir Nominé Pallier À surveiller Liaisonner Missionner Pérenne Végétaliser En voie de disparition Audio-visuel Sources : Le « dicomoche » (http://perso.wanadoo.fr /dicomoche)
Les belgicismes ou • particularités lexicales de la Belgique francophone : • Termes désignant des usages locaux, régionaux, nationaux : • usages administratifs : accises, commissaire d’arrondissement, échevin, bourgmestre, gouvernement fédéral, commission communautaire, commune à facilités, pécule de vacances,… • gastronomie : cuberdon, gosette, craquelin, pain français, carbonnades flamandes, couque, kriek, pistolet, oiseau sans tête…
Des mots oubliés par le français standard, ayant persisté en Belgique francophone (des « archaïsmes ») : entièreté, esprot, septante, nonante, cartable Des mots influencés par le néerlandais :fritkot, plattekees Des mots influencés par l’allemand :farde, dringuelle Des mots très prisés au Congo : aubette, brosseur, copion,… De création « originale » : primo arrivant allophone, syllabus, navetteur D’usage propre : savoir et pouvoir, doubler Des expressions : avoir facile, les grandes poubelles
Extrait de « Histoire exécrable d’un héros brabançon » (1982) page 191 Jean Muno « D’une part, les expressions vicieuses, belgicismes, wallonismes, flandricismes, germanismes, provincialismes, brabançonnismes, anderlechtismes, woluwismes, wemmelismes, louvanismes, jettismes, saint-josse-ten-noodismes, ninovismes, qui menacent continûment notre belle langue, la pervertissent de l’intérieur, tentent de l’occuper, nous contraignent à une vigilance de tous les instants, à une autocritique incessante, à un contrôle permanent de nos moindres propos si nous voulons être et demeurer des Francophones intellectuels, c’est-à-dire par excellence, des Résistants. »
L’avis d’un écrivain belge … dans chacun de mes livres, il y en a [des belgicismes] auxquels je tiens et il y en a sur lesquels je ne me bats pas. C’est dire que quand je fournis mon manuscrit, que je le dépose chez mon éditeur, disons qu’il y a en général dix belgicismes par 500 pages : il y en a dix qu’il dénonce, et sur ces dix, il y en a cinq que je revendique et il y en a cinq que je lui abandonne parce qu’ils ne me paraissent pas tout à fait indispensables. Pierre MERTENS (J. Franck et P. Mertens – « Le français et les Belges »)
Les anglicismes : Termes anglais apparus en français c’est la forme la plus courante de l’anglicisme. De 1994 à 2000, le C.Q.F.D. en a analysé plus de 150. Termes français passés en anglais puis revenus au français le plus ancien : estrece revenu sous la forme de stress Termes inventés (soi-disant anglais) jogging, living (beaucoup de mots en –ing)
Termes anglais apparus en français : • bien intégrés : rail (1817), tunnel (1825), train (1829), stop (1752), week-end (1906), jazz (1918), hockey (1901), jeans (1948), film (1889), clown (1823), contraception (1929), crash (1956), snob (1855) • oubliés : fox-trot, spleen • apparus ces derniers temps : airbag, babysitting, carjacking, cocooning, e-mail, geomarketing, homepage, lifting, prime time, reality show, shuttle, surround, website, digital, etc.
zapper folder best of free-lance digital indoor walkman one-man show pianoter dépliant compilation pigiste numérique en salle baladeur seul-en-scène Des substituts aux anglicismes ?
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