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Le Nord-Ouest en 1800. SH 10 Chapitre 4-1 P.130-138. Introduction. Region immense (Des rocheuses au Quebec, des Grands Lacs en Arctique) En 1800 : Autochtones, communautes metis, et quelques commercants des fourrures Commerce de fourrures se developpe beaucoup, quelques tensions
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Le Nord-Ouest en 1800 SH 10 Chapitre 4-1 P.130-138
Introduction • Region immense (Des rocheuses au Quebec, des Grands Lacs en Arctique) • En 1800 : Autochtones, communautes metis, et quelques commercants des fourrures • Commerce de fourrures se developpe beaucoup, quelques tensions • Colonie de la Riviere Rouge : multiculturelle • Louis Riel devient un leader controverse du peuple metis
La Compagnie de la Baie d’Hudson (CBH) • Fondee en 1670 apres une expedition par Radisson et Des Groseilliers. • Supporter par l’Angleterre qui veut rivaliser avec les Français qui controlent le commerce des fourrures depuis 1616. Le roi Charles II reclame toute terre qui touche aux rivieres de la baie et le nomme apres son cousin: Terre de Rupert • Construction des postes de traite qui encouragent les trappeurs et les negociants autochtones d’apporter leurs fourrures aux postes pour les echanger contre des marchandises. « Proximite de la baie » • Utilise les peaux de castor comme monnaie: « plue » pour evaluer la valeur de toutes les autres fourrures.
Hierarchie rigide: Dirigeants a Londres – Patrons locaux « Facteurs » anglais – Commis et les manœuvres anglais – Commercants et les trappeurs canadiens. • Tous les employes recoivent une salaire annuelle et seuls les dirigeants recevaient les profits. L’echange de fourrures pour des marchandises se fait en été de juillet au mi-septembre quand la baie d’Hudson et libre de glace. • Apres la fondation de la Compagnie du Nord-Ouest en 1783 la CBH a une rivale.
La Compagnie du Nord-Ouest (CNO) • Apres la chute de la N-F en 1763, un groupe de marchands anglais de Montreal « Montrealers » prennent contrôle du commerce français. En 1783 ils fusionnent leurs compagnies pour créer la CNO. • La CBH avait des postes de traite près de la baie d’Hudson alors la CNO construit des postes plus a l’intérieur pour les rendre plus accessibles.
La Compagnie du Nord-Ouest (CNO) • La CNO envoyait ses fourrures en Angleterre de Montreal qui se trouvait loin des trappeurs alors ils construisent un grand poste a Fort William sur le lac Superieur qui se servait comme intermediaire. • Structure moins rigide et hiérarchisée basée sur les « associes » qui habitaient a Montréal et organisaient le vente des fourrures et l’achat des marchandises. Les « hivernants » passent l’hiver des le Nord-Ouest et recevaient aussi un part de profits. « Commis-voyageurs » qui transportaient des marchandises en canot et quelques explorateurs.
La Compagnie du Nord-Ouest (CNO) • Plus flexible que la CBH: Marchander (bargain) et echanger de l’alcool pour les fourrures. • Employaient plus de Metis • Vers 1800 avait un reseau de postes de traite de l’interieur de la C-B au Grand lac des Esclaves. • ________________________________________________ • Reflechir: • Pourquoi la CBH a-t-elle adopte une politique de localisation a proximite de la baie d’Hudson? • Comment la CNO a-t-elle reussi a rivaliser avec la CBH? • Si vous etiez un commercant de fourrures en 1800, pour laquelle des deux compagnies choisirais-tu de travailler et pourquoi?
Les Autochtones du Nord-Ouest • Entre les Grands Lacs et la Baie d’Hudson se trouve le bouclier canadien – une couche de roches durs couverts d’un foret boreal. Il s’y trouve 4 nations autochtones: • Cris: Participaient activement dans la traite avec la CBH a l’ouest de la baie James au sud de la baie d’Hudson ont suivi la traite quand qu’elle s’est deplacee a l’ouest. • Chipweyans: Ont aide Hearne a explorer le nord de la terre du Rupert et fournissaient la plupart des fourrures aux postes de traite au Lac Athabasca. • Ojibways: Montent au nord prendre le territoire abandonne des Cris et continuent la traite aux postes du nord du lac Superieur. • Assiniboines: Aussi au nord du lac Superieur
Changements culturels • Le commerce des fourrures changent la mode de vie des autochtones: Ils passent de plus en plus de temps a la chasse a cause de la demande croissante et finissent pas abandonner leur cycle annuel traditionnel de pêcher, chasser et faire des réserves de nourriture. • Différences culturelles deviennent apparentes: • Travail: Pour les Européens le travail fort est une valeur en soi mais pour les Autochtones, ils travaillent pour subvenir aux besoins de leurs familles et pas plus. (Guides autochtones qui abandonnaient les négociants européens une fois qu’ils avaient assez travaille) Mais les Autochtones n’avaient pas le même sens de propriété privée car tout était partage. (Quand les Européens volaient des Autochtones, ils ne faisaient rien car ils croyaient qu’ils avaient besoin de cet objet et allaient le retourner)
Les epidemies • Les Autochtonesn’avaient pas les memes defenses contre les maladies europeennesdont les deuxpiressont le rougeole et la variole. • Une des piresepidemies: Variole entre 1780 et 1782 autour de la baied’Hudsontueenormement de Cris et de Chipweyans. Apres un hiver dans un village de 29 personnes, seulement 3 etaientvivants au printemps. QUESTIONS: P.138 1-3 avec la carte a la page 137 P.134 1 +3, P138 1