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La composante humaine du système d'information ( Réfs : chap 8.1 p 231)

La composante humaine du système d'information ( Réfs : chap 8.1 p 231). Rappel du chap précédent : le SI a trois composantes : humaine technologique organisationnelle. I Identification des groupes humains.

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La composante humaine du système d'information ( Réfs : chap 8.1 p 231)

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  1. La composante humaine du système d'information (Réfs : chap8.1 p 231) Rappel du chap précédent : le SI a trois composantes : humaine technologique organisationnelle

  2. I Identification des groupes humains Dans le cadre d’un S.I en fonctionnement, on distingue deux parties prenantes : • Les utilisateurs finals qui demandent des services au S.I • Les gestionnaires du S.I qui assurent son bon fonctionnement (DSI+Informaticiens)

  3. II Les utilisateurs finals du SI Les utilisateurs mettent en œuvre directement ou indirectement les applications informatiques mises à leur disposition par le S.I. Les utilisateurs finals du S.I sont le plus souvent des membres de l’organisation en Front Office (en relation directe avec des partenaires extérieurs) ou en Back Office (« l’arrière boutique »). Mais ils peuvent être également des partenaires extérieurs pour lesquels l’application informatique joue le rôle de Front Office (cas d’un portail internet ou extranet qui interface directement avec le S.I).

  4. Acteurs extérieurs « Back Office » Les utilisateurs finals du SI Décisions stratégiques – Faible recours à l’informatique – Information peu structurée surtout d’origine externe Dirigeants Cadres supérieurs Gestion des processus - Contrôles – Fort recours aux outils informatiques pour disposer d’ indicateurs et d’alertes – Gestion des ressources disponibles Décisions Opérationnelles - Fort recours à des processus automatisés « Front Office »

  5. III Les gestionnaires du SI • Ils sont garants du fonctionnement au quotidien du S.I (rôle opérationnel) Activités : gestion du réseau, politique de sécurité, assistance aux utilisateurs Dans certaines organisations, ces activités sont parfois externalisées en partie ou en totalité auprès d’une ESN (exSSII) ; on appelle cela l’infogérance. Lorsque certaines tâches liées au S.I sont délocalisées à l’étranger, on parle d’offshore. • Ils doivent prévoir les évolutions du SI (rôle de pilotage) en fonction des changements stratégiques, technologiques, réglementaires ou organisationnels. Activités : veille technologique, analyse des problèmes détectés au niveau du fonctionnement du S.I, dialogue avec la direction de l’organisation

  6. IV Le directeur du SI et la direction du SI La gestion du S.I est sous la responsabilité du directeur des systèmes d’information (DSI). Le DSI est à la tête de la direction des systèmes d’information qui requiert les services d’informaticiens de métiers différents (consultant, chef de projet, développeur, technicien réseau, maintenance, support aux utilisateurs, conception et gestion de sites web…) Seules les grandes organisations ont une DSI dédiée. Cette DSI a tendance à être de plus en plus intégrée aux organes de direction de l’organisation. Le DSI a une quadruple responsabilité : • managériale • technique • financière • juridique C'est un poste qui ne peut être rejoint qu'après des années d'expérience…

  7. VI/ Les enjeux de l'externalisation De nombreuses organisations font le choix de l'externalisation de la gestion de leur SI. Pourquoi ? • Car certaines spécialités et compétences sont rares • Une meilleure maitrise des coûts • Une meilleure réactivité Mais il y a aussi des risques : • Perte de savoir faire, la dépendance • La perte de confidentialité • Mauvaise interprétation des besoins de la part du prestataire …

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