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S’ALIMENTER, UN ACTE BIOLOGIQUE OU SOCIAL?. Par LEMDJADI Dounia, TES3. « Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger » Molière, L’avare. I- Il faut manger pour vivre II- Et non pas vivre pour manger. I- Il faut manger pour vivre.
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S’ALIMENTER, UN ACTE BIOLOGIQUE OU SOCIAL? Par LEMDJADI Dounia, TES3
« Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger » Molière, L’avare I- Il faut manger pour vivre II- Et non pas vivre pour manger
I- Il faut manger pour vivre En effet, nous avons besoin de manger pour subvenir aux besoins de notre organisme. Certaines pathologies empêchent les personnes d’avoir une alimentation « normale ».
L’ANOREXIE,un symptôme qui correspond à une perte d’appétit. Ce symptôme peut s’observer dans de très nombreuses maladies psychiatriques. Quelle qu’en soit la cause, l’anorexie peut conduire à la malnutrition et à ses complications.
LA MALNUTRITIONdésigne un état pathologique par la déficience ou l’excès d’un ou plusieurs nutriments. Cela provient d’une nourriture de « mauvaise qualité » (apport calorique insuffisant ou au contraire excessif). D’autres facteurs, notamment psychologiques et pathologiques interviennent également.
II- Et non pas vivre pour manger L’excès en aliments gras, sucrés et salés provoque des maladies telles que :
L’OBESITE,état d’une personne, souffrant d’une hypertrophie de la masse adipeuse qui se traduit par un excès de poids, réparti de façon généralisée dans les diverses zones grasses de l’organisme.
LES MALADIES CARDIO-VASCULAIRESconcernent le cœur et la circulation sanguine. Dans les pays occidentaux, l’expression la plus courante est la maladie coronaire, responsable de l’angine de poitrine ou encore des infarctus. Ces maladies touchent davantage certaines catégories de population (ouvriers, personnes exposées à des pollutions, victimes d’obésité).
Les régimes alimentaires nécessitent un suivi médical permanent et doivent être accompagnés d’efforts physiques.
Pour une alimentation équilibrée et structurée Manger assis et à table. Manger dans le calme, éteindre la TV pendant les repas, si l’on peut s’en passer ! Organiser les rythmes alimentaires en répartissant les apports, en évitant de sauter les repas et de manger en dehors des repas et des collations. Diminuer la consommation d’aliments gras, salés et sucrés et les remplacer par des fruits et des légumes (frais, en conserves ou surgelés). Limiter la consommation de boissons sucrées et alcoolisées. Consommer quotidiennement une ration de féculents (pâtes, riz, pomme de terre), de pain , de légumes, de fruits, de produits riches en protéines dont 2 produits laitiers.