1 / 49

SYNTHESE HYGIENE-INFECTIOLOGIE

SYNTHESE HYGIENE-INFECTIOLOGIE. IFSI 1 ère année Dr Th.Fosse 21/01/2013. Infection associée aux soins (IAS). Infection qui survient : au cours ou au décours d’une prise en charge diagnostique, thérapeutique, palliative, préventive ou éducative (établissement, cabinet ou domicile..)

zahur
Download Presentation

SYNTHESE HYGIENE-INFECTIOLOGIE

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. SYNTHESE HYGIENE-INFECTIOLOGIE IFSI 1ère année Dr Th.Fosse 21/01/2013

  2. Infection associée aux soins (IAS) • Infection qui survient : • au cours ou au décours d’une prise en charge diagnostique, thérapeutique, palliative, préventive ou éducative (établissement, cabinet ou domicile..) • ni présente ni en incubation au début de cette prise en charge (exemple grippe ou bronchiolite) • Délai supérieur à la période d’ incubation (1 à 8j en moyenne). Evaluationplausibilité de l’ association entre type de soins et survenue de l’infection.

  3. INFECTIONS ASSOCIEES A L’ENVIRONNEMENT DE SOINS • Présence physique dans la structure • Origine environnementale mais aussi à caractère épidémique INFECTIONS ASSOCIEES AUX ACTES DE SOINS • Soins au sens large incluant nursing et hébergement • Par un professionnel de santé ou personne encadrée ou soins auto-dispensés • Quelque soit le lieu où le soin est dispensé

  4. Infections liées aux soins: modes de transmission • Manuportage direct ou indirect (colonisation patient et son environnement par germes potentiellement responsables IAS). L’hygiène des mains « un geste qui sauve à portée de mains » (SF2H). • Transmission par voie respiratoire (patient présentant une infection respiratoire, personnel en incubation/symptomatique/non vacciné) • Grands principes prévention: précautions standards ± mesures complémentaires à intégrer dans la pratique des soins

  5. Environnement de soins

  6. Infections liées aux dispositifs ou actes invasifs • Sondes urinaires (procédure mise en place, indication, durée..) • Cathéters périphériques et centraux (procédure pose, durée, maintenance..) • Infections post-opératoires (préparation cutanées, antibioprophylaxie..) • Importance check-listes(respect application procédures de prévention) et traçabilité dispositifs invasifs (dates, durée, incidents..)

  7. Situations cliniques: bactéries • Infection sur cathéter périphérique à J6 après la pose Staphylococcus aureus sensibleà la méticilline (SASM à différentier du SARM Cf. infra) • Questions: • 1 Mesures de préventions effectives? • 2 Origine souche? • 3 Prise en charge thérapeutique de l’infection • 4 Signalement au responsable du signalement (évitabilité? Mesures pour éviter de nouveaux cas)

  8. PROGRAMME NATIONAL DE PREVENTION DES IN de 2009 à 2013 Exigence : fin 2012, 100% des E.S. utilisent ➯check-listpose et maintenance des S.A.D. ➯ check-listpose et maintenance des V. V. P. Eté 2012 : groupe de travail ARS pour élaborer une check list S.A.D. CHECK-LIST - Outil d’aide à l’observance

  9. CHECK-LIST « POSE D’UN CATHETER VEINEUX PERIPHERIQUE »

  10. Transmission par les mains des soignants! Avant et après lavage des mains! The Hands Give It Away Curtis J. et al. N Engl J Med 2009 Hygiène PCEM2 septembre 2011- TF

  11. Flore des mains • Flore transitoire • très variable, récupérée lors de l’activité professionnelle, constituée de germes potentiellement pathogènes (entérocoques, entérobactéries, S. aureus..), n’est pas toujours éliminée par le lavage des mains. Efficacité +++ Solutions hydro-alcooliques • Flore résidente • propre à l’individu, composée en grande partie de staphylocoque (S. epidermidis en particulier..), de corynébactéries aérobies ou anaérobies en surface et en profondeur.

  12. QUIZZ 6 Vous venez de poser un CVP, après avoir quitté la chambre, vous réalisez : Ports de Gants Hygiène des mains

  13. Correction 6 Vous venez de posez un CVP, après avoir quitté la chambre, vous réalisez en premier : Ports de Gants Hygiène des mains

  14. Situations cliniques: bactéries • Infection urinaire sur sonde (J8) à Klebsiella pneumoniae multirésistante aux antibiotiques (plasmide de résistance béta-lactamase à spectre étendue BLSE). • Questions: • 1 Mesures de préventions effectives? • 2 Origine souche multirésistante? • 3 Colonisation ou infection? • 4 Prévention transmission croisée?

  15. CHECK LIST SONDAGE URINAIRE A DEMEURE Identité du patient : Identité du patient : Service : POSE : Identité de l’opérateur : Fonction : Date de pose : …………..……………. Date d’ablation :…..……………….... 1er sondage (homme) : □ oui □ non Lieu de pose: …………………………………………………………………………………. Mode d’emploi de la Check List au verso Avant la pose Vérification de l’identité du patient : □ Oui □ Non Prescription médicale conforme : □ Oui □ Non Information du patient □ Oui □ Non ou de sa famille : □ Na Vérification du matériel et des produits : Système clos □ Oui □ Non Type de sonde : □ Latex siliconé ≤ 8 jours □ Silicone 100 % ≥ 8 jours □ Autres : …………………. Charrières N° :……………………. Vérification des produits adaptés pour la préparation cutanéo-muqueuse □ Oui □ Non Pose de la sonde Le soignant : Hygiène des mains par friction avec un PHA : □ oui □ non Port de gants stériles pour l’introduction de la sonde dans le méat : □ oui □ non Le patient : Détersion + désinfection □ oui □ non cutanéo-muqueuse : Le matériel : Connexion du sac et de la sonde □ oui □ non avant la pose (système clos): Test de gonflage du ballonnet □ oui □ non Lubrification de la sonde □ oui □ non Ecoulement d’urine □ oui □ non Vérification positionnement de la sonde □ oui □ non Fixation adaptée : De la sonde : □ oui □ non Du collecteur : □ oui □ non Position déclive sans contact avec le sol □ oui □ non Surveillance journalière Signes cliniques (fièvre ….) Vérification de la diurèse Soins : Toilette au savon doux, Manipulation aseptique du dispositif Surveillancetechnique : Vérification de l’absence de fuites Fixation de la sonde et du sac collecteur Maintien du système clos Pertinence du maintien de la sonde Inscrire la date dans la case correspondant au jour de la semaine à chaque surveillance du dispositif Logo établissement Commentaires : ARLIN PACA ARS PACA Groupe de travail check-list PACA

  16. Mode d’emploi Check List : Texte court* Pose de la sonde urinaire : Avant la pose : • Modalités de remplissage de la Check List : • Date de pose : à renseigner à chaque fois qu'une sonde urinaire est posée chez un patient, en cas de remplacement ou changement de la sonde une nouvelle Check List est réalisée. • Lieu de pose : à renseigner par le secteur où est mis en place le dispositif. • Destiné à tous professionnels amenés à mettre en place ce dispositif , concerne exclusivement le sondage urinaire à demeure chez l’adulte, sont exclus les sondages urinaires intermittents ou itératifs, les auto sondages et les hétéro sondages. Surveillance: • Signes cliniques • Prise et relevé de la température • Vérification de la diurèse • Toilette quotidienne au savon doux • Et systématique après chaque selle • Manipulation aseptique du dispositif : • Friction des mains avec un PHA avant et après tout contact avec le dispositif. • Port des gants à usage unique dès qu’il y a contact avec le système de drainage. • Utilisation de compresse imprégnée d’antiseptique pour toute manipulation du système. • Maintien stricte du système clos : l’interruption du système clos nécessite le retrait du système complet avec mise en place d’un nouveau dispositif stérile. • Fixation de la sonde et du collecteur : • vérifier la fixation, l’absence de coude, la présence d’un support de sac. • Veiller à l’hydratation du patient . • Pertinence du maintien de la sonde. • Réévaluer chaque jour le maintien de la sonde • Sonde retirée dès que possible. * Il existe une version plus complète de ce mode d’emploi La réponse NON à l’un des items entraîne l’arrêt du soin et/ou oblige à renseigner la rubrique « commentaires » Ne jamais déconnecter le collecteur de la sonde pendant toute la durée du sondage. En cas de déconnexion du système : reposer un dispositif stérile complet 1. Vérifier l’identité du patient selon les protocoles d’identito vigilance de l’établissement 2. Vérifier la conformité de la prescription médicale : date, type de sondage, indications. 3. L’absence de contre indication est vérifiée par le médecin • Informer le patient ou sa famille de la mise en place de ce dispositif. 5. Choix et vérification du matériel : • Le système clos : • Système pré-connecté : sonde et collecteur stériles assemblés par le fabriquant. - Système NON pré-connecté : la connexion sonde / collecteur se réalise avec des gants stériles avant d’introduire la sonde dans le méat. • Type de sonde : Selon la durée d’implantation : • Privilégier une sonde 100% siliconée pour les sondages de longue durée (≥ 8 jours). • Utiliser une sonde en latex (attention au patient allergique) enduit de silicone (≤8 jours) pour les sondages de courte durée (sans oublier de la changer au bout de 8 jours). Selon l’indication de la pose : Sonde droite, sonde béquillée, sonde double voie…. • Charrières : tenir compte de l’anatomie du patient • Produits adaptés : - Gamme iodée : toilette de la région périnéale, de l’appareil génital et du méat urinaire avec la bétadine  moussante suivie d’une désinfection du méat urinaire avec la bétadine  dermique. - Gamme chlorée : toilette de la région périnéale, de l’appareil génital et du méat urinaire avec un savon codex liquide en unidose suivie d’une désinfection du méat urinaire avec du Dakin  . 1.Le soignant : - Hygiène des mains par friction avec un produit hydro alcoolique (PHA) au plus près du soin et avant le port des gants. - Port de gant stérile pour la désinfection du méat urinaire et l’introduction de la sonde dans le méat. 2. Le patient : Avant la pose de la sonde, il est indispensable de réaliser : • Une toilette cutanéo muqueuse avec un savon liquide, un gant et une serviette propre ou à usage unique, puis : • Une désinfection de la muqueuse avec une compresse stérile imbibée d’un antiseptique de la même gamme. 2. Le matériel : utiliser un système pré connecté ou le monter soi même • Effectuer le test du ballonnet pour vérifier sa résistance avant l’introduction de la sonde dans le méat. • Lubrifier la sonde  : 2 possibilités - sonde pré lubrifiée (lubrifiant activé en appliquant de l’eau stérile à l’aide d’une compresse sur la sonde) - ou appliquer un lubrifiant stérile en uni-dose. 3 La Technique du sondage • Introduire la sonde jusqu’à l’apparition d’urine dans le collecteur, * Si par erreur, l’orifice vaginal est cathétérisé, changer impérativement la totalité du système (sonde et sac collecteur) avant le deuxième essai. • S’assurer du bon positionnement dans la vessie en continuant à monter la sonde de quelques centimètres. • Gonfler le ballonnet à l’eau stérile en respectant la quantité inscrite sur le dispositif. • Tirer la sonde jusqu’à sentir une butée. Fixation de la sonde immédiatement après la pose à l’aide d’un adhésif - chez la femme : fixation sur la cuisse - chez l’homme : fixation sur l’abdomen ou sur la cuisse si le patient est valide Fixation du sac collecteur : - Sur un support de manière visible et accessible, en position déclive et sans toucher le sol.

  17. Incidence des BMR au CHU de Nice Surveillance multicentrique BMR CCLIN SARM (Staphylococcus aureus résistant à la méticilline/oxacilline), PARC (Pseudomonas aeruginosa résistant À la ceftazidime, ERC (Entérobactérie résistante au céfotaxime/Ceftazidime), BLSE (Béta-lactamase à spectre Étendu) – SARM et ERC BLSE+ sont des BMR à fort potentiel de diffusion épidémique.

  18. Patients EBLSE colonisés/infectés au CHU de Nice

  19. Echanges génétiques chez les bactéries • Matériel génétique • Un chromosome • Plasmides ou petits chromosomes (facultatif) • Transposons ou fragments d’ADN capables de s’insérer sur les plasmides ou chromosomes • Echanges génétiques très fréquents horizontaux entre bactéries de la même espèce, entre genres voire familles différentes. • Confère une grande adaptabilité aux bactéries (environnement, antibiotiques..)

  20. Quizz 5 Ports de Gants

  21. Correction 5 Ports de Gants

  22. Situations cliniques: bactéries • Pneumopathie à Pseudomonas aeruginosa résistant à la ceftazidime chez patient de réanimation après 15j de ventilation. • Questions: • 1 Mesures de préventions effectives? • 2 Origine souche? • 3 Prise en charge thérapeutique de l’infection • 4 Enquête environnementale si nécessaire

  23. P.aeruginosa responsable infections pulmonaires, urinaires et liées aux dispositifs invasifs. Rôle imprtant environnement et biofilm. P.aeruginosa en ME biofilm cathéter

  24. INFECTIONS LIÉES À L’ENVIRONNEMENT Legionella, Pseudomonas aeruginosa, Aspergillus fumigatus, Acinetobacter baumanii • eau • air • locaux • alimentation • linge • dispositifs médicaux • déchets

  25. Quizz 8 Port de surblouses, lunettes, masques

  26. Correction 8 Port de surblouses, lunettes, masques

  27. Formation / Information Légionellose -KIT FORMATION- Free Powerpoint Templates

  28. Prévention de la Légionellose • Dans le cadre du Plan Régional Santé Environnement PACA (PRSE), le Service Hygiène s’engage dans une démarche préventive afin de diminuer / limiter la concentration des légionelles dans les réseaux d’eau sanitaire et ainsi réduire le risque d’exposition des patients et améliorer leur sécurité. • Cette présentation a été réalisée suite à un questionnaire envoyé dans le CHUN concernant le sujet Legionella afin d’évaluer les connaissances de chacun. Elle se présente sous la forme d’un mini-questionnaire pour rappeler les principaux points et la base de ce qu’il y a à savoir sur cette prévention. • Nous vous remercions pour votre participation!

  29. Question 1: La température de prolifération A: 45°C – 70°C B: 25°C – 45°C C: 5°C – 25°C

  30. Question 1: La température de prolifération Plus on augmente la température au delà de 50°C, plus les bactéries meurent B: 25°C – 45°C Les bactéries survivent mais ne meurent pas : elles ne sont pas encore actives

  31. Question 2 : Les niveaux d’intervention (Différents paliers de concentration en légionelles que l’on peut retrouver suite aux prélèvements d’eau chaude sanitaire) Connaissez-vous le seuil limite réglementaire? A : < 250 UFC / L d’eau B : 1000 UFC / L d’eau C : 100.000 UFC / L d’eau

  32. Question 2 : Les niveaux d’intervention • Niveau 1  Niveau cible : < 1000 UFC / L d’eau ou 250 UFC / L d’eau pour les patients immunodéprimés • Niveau de qualité qui vise à assurer et à maintenir des conditions normales de fonctionnement dans le contexte d’un environnement maîtrisé • Niveau 2  Niveau d’alerte: entre 1000 et 100.000 UFC / L d’eau • Vérifier les résultats observés et s’assurer que le processus et/ou l’environnement sont toujours maîtrisés. Délais d’analyse : les premières mesures correctives peuvent être prises • Niveau 3  Niveau d’action : > 100.000 UFC / d’eau • Niveau devant impérativement déclencher, une réaction immédiate avec analyse des causes du dysfonctionnement et mise en œuvre d’actions correctives

  33. Question 4 : Les facteurs de prolifération A : Tartre B : Corrosion D : Biofilm C : Tuyaux en PVC

  34. Question 4 : Les facteurs de prolifération A : Tartre B : Corrosion D : Biofilm Le tartre et la corrosion favorisent la prolifération de Legionella ainsi que le biofilm qui est une accumulation de micro-organismes à la surface des tuyaux et qui est dû à la nature des canalisations. De plus, une température entre 25°C et 45°C, la nature de certaines canalisations (en plomb ou en polyéthylène) et une stagnation de l’eau (bras morts) dans les réseaux participent à la multiplication.

  35. Question 5 : Les modes de contamination A : Sang B : Transmission interhumaine C: Inhalation microgouttelettes D : Ingestion d’eau contaminée

  36. Question 5 : Les modes de contamination C: Inhalation microgouttelettes Appelées aussi aérosols, d’un diamètre inférieur à 5 micromètres. La légionellose ne se transmet par voie interhumaine, et l’ingestion d’eau contaminée n’est pas considérée comme une cause réelle de la maladie (cas rare). Pour les patients immunodéprimés, un renforcement de la surveillance est nécessaire car ces patients sont plus à risques, et un dépistage existe.

  37. Question 6 : Les moyens de prévention A: Purges B : Port du masque C : Pose de filtres D : Port de gants

  38. Question 6 : Les moyens de prévention A: Purges C : Pose de filtres Il est nécessaire de réaliser des purges dans toutes les unités de soins et poser des filtres terminaux dans les chambres des patients à risques et/ou immunodéprimés ou en cas de résultats non conformes et assurer la traçabilité sur des fiches spécifiques, avec l’aide des protocoles présents. De plus les filtres doivent être changer régulièrement (généralement tous les mois) d’où une traçabilité indispensable.

  39. Situations cliniques: Virus • Infections respiratoires aiguës virales • Virus des gastro-entérites • Hépatite A • Virus pédiatriques : VRS et Rotavirus • Intérêt de la vaccination contre la grippe, rougeole, coqueluche. • Epidémies nosocomiales de rougeole

  40. Infections respiratoires aigues

  41. Infections respiratoires et gastro-enterites virales • Vaccination anti-grippale, rougeole et coqueluche • Port du masque en particulier pour le personnel non vacciné • Hygiène des mains • Signalement précoce épidémies • Mise en place rapide mesures de réduction de la transmission cutanée et respiratoire dans les établissements de santé et établissements médico-sociaux

  42. FACTEURS DE SURCOUT • Prolongation de la durée de séjour (souvent plus d’une semaine) +++ • Antibiothérapie et coût prise en charge supplémentaire • Aggravation sévérité de la pathologie initiale du patient (réintervention, morbidité avec séquelles fonctionnelles..). • Future prise en charge du surcoût par l’établissement ?

  43. Tableau de bord de lutte contre les infections nosocomiales avec livret d'accueil patient. www.platines.sante.gouv.fr/

More Related