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Registres, enqutes et vraie vie . Risque cumul d'vnements aprs atteinte d'un territoire vasculaire : les rsultats France du registre REACHLa vraie vie de la prise en charge aprs un SCA : l'information active des patientsLe souffle carotidien, marqueur clinique de la maladie ath
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1. Stratégie après SCA Le patient au cœur de la discussion
2. Registres, enquêtes et « vraie vie » Risque cumulé d’évènements après atteinte d’un territoire vasculaire : les résultats France du registre REACH
La « vraie vie » de la prise en charge après un SCA :
l’information « active » des patients
Le souffle carotidien, marqueur clinique de la maladie athéromateuse
l’observatoire DISCOVER : la recherche de l’extension de la maladie athéromateuse
3. Épisode initial : SCA
7. Harmoniser l’histogramme avec les autres histogrammes (cf slide précédente)Harmoniser l’histogramme avec les autres histogrammes (cf slide précédente)
11. Faut-il ausculter les carotides ? NON — The United States Preventive Services Task Force (USPSTF)
car risque d’escalade des examens complémentaires
la présence d'un souffle chez un patient totalement asymptomatique a une faible valeur prédictive du risque d’AVC (- de 20 %) et du degré de sténose (jusqu’à 32 % de carotides normales en cas de souffle (1)).
OUI — Pickett CA, Jackson JL, Hemann BA, Atwood JE
car il faut aller au delà de la « valeur diagnostique pour rechercher une sténose » et ne pas focaliser sur le risque vasculaire cérébral
le souffle carotidien est un meilleur marqueur de l'athérosclérose généralisée qu'un facteur prédictif d'AVC (2)
car en présence d’un souffle carotidien il faut avoir une attitude préventive plus agressive et rechercher la maladie athéromateuse
12. OR poolés des 4 études comparant les patients ayant un souffle carotidien vs sans souffle
13. Faut-il ausculter les carotides ? NON — The United States Preventive Services Task Force (USPSTF)
car risque d’escalade des examens complémentaires
la présence d'un souffle chez un patient totalement asymptomatique a une faible valeur prédictive du risque d’AVC (- de 20 %) et du degré de sténose (jusqu’à 32 % de carotides normales en cas de souffle (1)).
OUI — Pickett CA, Jackson JL, Hemann BA, Atwood JE
car il faut aller au delà de la « valeur diagnostique pour rechercher une sténose » et ne pas focaliser sur le risque vasculaire cérébral
le souffle carotidien est un meilleur marqueur de l'athérosclérose généralisée qu'un facteur prédictif d'AVC (2)
car en présence d’un souffle carotidien il faut avoir une attitude préventive plus agressive et rechercher la maladie athéromateuse
14. Souffle carotidien : marqueur clinique Le taux d'infarctus des patients ayant un souffle carotidien s'élève à 3,69 pour 100 patients-années alors qu'il n'est que de 1,86 pour 100 patients-années chez ceux sans souffle carotidien.
La présence d'un souffle carotidien est l'équivalent d'un risque coronarien de 3,7 % par an, soit 37% sur 10 ans.
La mortalité CV annuelle des patients ayant un souffle atteint 2,85 alors qu'elle n'est que de 1,11 pour 100 patients-années dans les 4 études évaluant le risque chez les patients sans souffle carotidien.
15. Discover Dans la « vraie vie » après SCA, plus de 50 % des patients ne bénéficient d’aucun examen complémentaire à la recherche d’une autre localisation de la maladie athéromateuse.
Discover * (1348 patients) :
seulement 49 % ont bénéficié d’au moins une exploration
avant 45 ans : 29,7 % ; entre 45 et 55 ans : 50,7% ; entre 55 et 65 ans : 46,4 % ; entre 65 et 75 ans : 59,3 % ; > 75 ans 44,5 %
17. Registre GRACE : Moins d'un patient sur 2 reçoit la prévention secondaire recommandée*, même s’ils sont polyartériels
% des patients ayant reçus les 4 traitements recommandés
18. Education du patient La force des outils de mise en application
20. Le « Contract discharge »
21. Conclusion Les patients ayant présenté un SCA ont souvent des atteintes concommitantes de type artériel périphérique ou maladie cérébrovasculaire.
Les registres et observatoires récents montrent que la survenue d’événements CV après SCA est beaucoup plus importante chez ces patients, spécifiquement s’ils associent les atteintes concommitantes.
Paradoxalement, ces patients ont des prises en charge thérapeutiques moindres que ceux sans atteinte d’autres sites associés.
L’optimisation de prise en charge passe par une information plus active du patient et une recherche plus systématique des autres localisations de la maladie athéromateuse chez un patient ayant une atteinte d’un territoire vasculaire.