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La réaction de l’organisme envers le non-soi Système immunitaire

La réaction de l’organisme envers le non-soi Système immunitaire. Système qui permet de maintenir l’intégrité de l’organisme S. Pontégnie-Istace. Immunité naturelle ou non spécifique Première ligne de défense Identique quel que soit l’agresseur Défenses mécaniques, chimiques et cellulaires.

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La réaction de l’organisme envers le non-soi Système immunitaire

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Presentation Transcript


  1. La réaction de l’organisme envers le non-soiSystème immunitaire Système qui permet de maintenir l’intégrité de l’organisme S. Pontégnie-Istace

  2. Immunité naturelle ou non spécifique Première ligne de défense Identique quel que soit l’agresseur Défenses mécaniques, chimiques et cellulaires Immunité acquise ou spécifique Deuxième ligne de défense Dirigée contre un agresseur précis et lui seul Nécessite une distinction entre le soi et le non-soi Deux types

  3. Immunité naturelle ou non spécifique • Défenses mécaniques • Peau et muqueuses • Défenses chimiques • Sécrétions externes • larmes, mucus, salive… • Défenses cellulaires • Macrophages et granulocytes • Exemple: réaction inflammatoire • Rougeur- douleur- chaleur- tumeur Coll.ADN Biologie Term D Hachette Lycées 1989 p 280

  4. Défenses mécaniques et chimiques Muqueuse ciliée des voies respiratoires Campbell Biologie DeBoeck Université 1995 p851

  5. Réaction inflammatoire Campbell ,Biologie, DeBoeck Université 1995 p854

  6. PhagocytoseMacrophage phagocytant un globule rouge Coll. Tavernier, Biologie Term D, Bordas 1983 p 408

  7. Phagocytose Campbell Biologie DeBoeck Université 1995 p892

  8. Phagocytose Coll. Tavernier, Biologie Term D, Bordas 1983 p 409

  9. Le soi : système HLA : human leucocyte antigen protéines membranaires déterminées génétiquement 4 types en deux groupes : Classe I A: 25 antigènes B: 50 antigènes C: 10 antigènes Classe II D: 45 antigènes Le non-soi antigène : tout ce qui déclenche une réponse immunitaire caractéristiques: grosses molécules libres ou fixées présentent un site antigénique ou épitope forme précise, stable et en surface exemple antigène HLA d ’une autre personne bactérie virus Immunité spécifique

  10. Responsables de maladies telles que des pneumonies, les bactéries du genre Streptococcus sont ici vues au microscope électronique à balayage, en fausses couleurs. Streptocoque "Streptocoque", Encyclopédie® Microsoft® Encarta 98.

  11. Les bactéries Neisseria meningitis, ou méningocoques, sont responsables de la méningite cérébrospinale. Il s'agit de diplocoques, du groupe des cocci (bactéries de forme arrondie), qui ont tendance à se grouper deux par deux. Microscopie électronique (fausses couleurs). Bactérie (méningocoque) "Bactérie (méningocoque)", Encyclopédie® Microsoft® Encarta 98.

  12. Les bactéries peuvent être cultivées en milieu liquide, dans un flacon —dans ce cas, elles se dispersent dans le milieu—, ou sur milieu solide, généralement une boîte de Petri, comme sur cette photographie. Ces boîtes contiennent une couche d'agar-agar sur lequel sont déposées des bactéries (on parle d'ensemencement de la boîte). Les bactéries issues des divisions successives des bactéries de départ restent «!sur place!», formant des colonies visibles à l'œil nu. Culture de bactéries "Culture de bactéries", Encyclopédie® Microsoft® Encarta 98

  13. Des affections telles que l'herpès, la rage, la grippe, le sida, la poliomyélite et la fièvre jaune sont d'origine virale. Parmi le million et demi de virus recensés, environ 250sont connus pour être responsables de maladies humaines et 100de maladies animales. Virus responsables de maladies humaines "Virus responsables de maladies humaines", Encyclopédie® Microsoft® Encarta 98.

  14. Demounem et al, Sciences de la Vie et de la Terre, Term S, Nathan 1994 p97

  15. Immunité humorale contre bactéries et microbes lymphocytes B différenciés en plasmocytes sécrétant des anticorps spécifiques de l ’antigène dans le sang Immunité cellulaire contre virus et microorganismes intracellulaires ou cellules cancéreuses lymphocytes T différenciés en cellules T tueuses ou cytotoxiques libérant des lymphokines telle que la perforine Immunité spécifique : deux types

  16. Protéines : Immunoglobulines 5 classes IgA IgG IgM IgE IgD Anticorps Demounem et al, Sciences de la Vie et de la Terre, Term S, Nathan 1994 p106

  17. Immunité spécifique 3 phases • induction • Présentation de l ’antigène par les macrophages • Reconnaissance et activationpar les lymphocytes T4 • amplification • Prolifération : clone • Différenciation • lymphocytes B en plasmocytes : immunité humorale • lymphocytes T8 en T cytolytiques : immunité cellulaire • expression • Libération d ’anticorps par les plasmocytes • Libération de lymphokines par les T cytolytiques

  18. Immunité non spécifique Phagocytose de l’antigène par les macrophages Digestion de l’antigène et présentation de l’épitope à la surface du macrophage Reconnaissance de l’antigène et activation des lymphocytes Immunité spécifique Humorale Prolifération des lymphocytes B et formation d’un clone spécifique de l’antigène Formation de lymphocytes B mémoire Différenciation en plasmocytes, grosses cellules sécrétrices d’anticorps Libération des anticorps spécifiques dans le sang et formation de complexes immuns Phagocytose et lyse des complexes immuns par les phagocytes Demounem et al, Sciences de la Vie et de la Terre, Term S, Nathan 1994 p113 Synthèse • Immunité cellulaire • Prolifération des lymphocytes T8 et formation d’un clone spécifique de l’antigène • Formation de lymphocytes T mémoire • Différenciation en T cytolytiques ou tueuses • Contact avec cellule-cible portant l’antigène • Libération des lymphokines comme la perforine • Lyse de la cellule et phagocytose par phagocytes

  19. Primaire Latence IgM Taux faible Secondaire Immédiate IgG plus spécifiques Taux élevé Réponses primaire et secondaire Coll Calamand, Biologie Géologie Term S, Hachette Education1994 p232

  20. Vaccination injection d ’antigènes rendus non pathogènes mais restant immunogènes protection active : réponse secondaire action préventive et de longue durée Sérothérapie injection d ’anticorps(sérum) protection passive action curative de courte durée Aides au système immunitaire

  21. Vaccination Coll Calamand, Biologie Géologie Term S, Hachette Education1994 p232

  22. Vaccins bactériens Vivants atténués: BCG(tuberculose) Tués : coqueluche, typhoïde, choléra Anatoxines: diphtérie, tétanos Polysaccharides: méningocoques A+C, pneumocoques Vaccins viraux: Vivants atténués: poliomyélite (buccal), rubéole, rougeole, oreillons, fièvre jaune, variole Inactivés complets: grippe, poliomyélite (injectable), rage Inactivés à fraction antigénique: hépatite B Calendrier des vaccinations

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