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La version 11 des GHM. Révision des CMA Suppression de la CM 24 Autres changements Diagnostics du RUM Algorithme de choix du DP des RSS multiRUM. La version 11 des GHM. Étude de l’effet CMA de chaque code au travers de 3 critères l’effet brut l’effet isolé sur la moyenne
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La version 11 des GHM COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Révision des CMA Suppression de la CM 24 Autres changements Diagnostics du RUM Algorithme de choix du DP des RSS multiRUM La version 11 des GHM COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Étude de l’effet CMA de chaque code au travers de 3 critères l’effet brut l’effet isolé sur la moyenne l’effet isolé sur la médiane (« effet Fetter ») La révision des CMA : méthodologie COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Critères pour retenir un DAS dans la liste des CMA augmentation de la durée supérieure à 1,5 jour augmentation d’au moins 25% la DMS standard 55% des RSA sont au-dessus de la médiane La révision des CMA : méthodologie COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Création de listes d’exclusion pour tous les codes de la CIM-10 par une méthode automatique Relecture médicale des listes automatiques ( 100 000 RSA) exclusions excessives : des séjours longs « sans CMA » exclusions omises : des séjours courts « avec CMA » Le nombre de couples d’exclusions (CMA–DP) est passé de 1 à 8,8 M Dans la version 11, certains GHM aussi excluent des CMA La révision des CMA : méthodologie COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Z43.0 Surveillance de trachéostomie V10 : – Nb RSA Nb j. en + 4798 29 354 475829351 2873 77 Effet brut E. isolé « Fetter » % en + V11 : CMA de niveau 4 Source : ATIH COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
J45.– Asthme V10 : CMA Nb RSA Nb j. en + 150193 2 31 411770-2 41947 37 Effet brut E. isolé « Fetter » % en + V11 : – Source : ATIH COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Exemples de CMA perdues : l’épilepsie généralisée idiopathique l’angine de poitrine, la sténose carotidienne les valvulopathies : I34, I35, I36 l’asthme, les BPCO en dehors de J44.0, la bronchite chronique SAI, les pneumoconioses la néphropathie et la cardionéphropathie hypertensives avec insuffisance rénale (et l’IR chronique N18.–) l’arrêt cardiaque SAI La révision des CMA : résultats COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Exemples de CMA nouvelles l’obésité avec IMC 40 kg/m2 les ulcérations chroniques de la peau les bronchites aigües les fractures des membres supérieurs et inférieurs les « autres prises en charge » (–.–8) de l’infarctus du myocarde l’hypotension artérielle La révision des CMA : résultats COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Les 4 niveaux de sévérité s’appliquent (sauf exceptions) à toutes les racines de GHM pour ne pas induire de sélection à l’égard des patients « lourds » Une condition d’accès rédhibitoire : la durée du séjour niveau 2 : au moins 3 jours niveau 3 : au moins 4 jours niveau 4 : au moins 5 jours Des équivalences selon l’âge et avec le décès La révision des CMA : les niveaux de sévérité COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Une condition d’accès rédhibitoire : la durée du séjour niveau 2 : au moins 3 jours niveau 3 : au moins 4 jours niveau 4 : au moins 5 jours Des équivalences selon l’âge et avec le décès La révision des CMA : les niveaux de sévérité COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Création de deux types de GHM pour les séjours courts lorsque l’activité médicale est réelle et les effectifs suffisants GHM de chirurgie ou de technique interventionnelle ambulatoire date de sortie = date d’entrée, 0 nuitée lettre J en 6e position du numéro du GHM GHM médicaux de très courte durée 0 jour, 0 et 1 jour ou 0 à 2 jours lettre T en 6e position du numéro du GHM La suppression de la CM 24 : conséquences COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
GHM de décès et de transfert précoce : les séjours sont classés dans la CMD de leur DP Ceux qui préexistaient ont été recrées dans la CMD de leur DP (décès : infarctus du myocarde, nouveau-nés ; transfert : brûlures) D’autres ont été créés : décès : CMD 1 (AVC / autres causes), CMD 4, CMD 5 (autres qu’infarctus) transfert : CMD 1 (AVC) La suppression de la CM 24 : conséquences COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Des GHM « Symptômes et autres recours aux soins » dans toutes les CMD pas de niveaux de sévérité (GHM Z) Mais un GHM T peut exister Autres changements COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Des GHM « explorations et surveillance » dans la plupart des CMD Pour diminuer le contenu de la CMD 23 des GHM de courte durée pas de niveaux de sévérité Les RSS sont classés Selon leur DP si le code est un diagnostic d’entrée dans la CMD Si le DP est codé Z08.– ou Z09.–, le DR oriente dans la CMD puis classement en GHM : selon l’acte classant sinon par le DP : GHM « explorations et surveillance » de la CMD Autres changements COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Autres changements • 90H03Z : appartenant à la CM 24, il disparaît avec elle • 90H02Z : effectif faible et paiement à la moyenne inadapté • classement du RSS dans le groupe médical du DP • le groupage est signalé par le code retour 222 • Les actes « mineurs reclassants dans un GHM médical » continuent d’exister (code retour 80) Les groupes Actes sans relation avec le diagnostic principal (90H02Z, 90H03Z) COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
L’algorithme de choix du DP des RSS multiRUM • Un procédé consistant à attribuer à chaque RUM des points de pénalité selon : • son rang • la durée du séjour dans l’UM • la nature du DP • les actes classants • Le DP est choisi dans le RUM ayant le score le plus faible COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
L’algorithme de choix du DP des RSS multiRUM • Le rang : ajout de 100 points à chaque RUM par rapport au RUM précédent • La durée de séjour : pénalisation des RUM de 0 et 1 jour • La nature du DP : pénalisation des codes R et Z et des codes imprécis (Manuel des GHM, annexe 12) COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
L’algorithme de choix du DP des RSS multiRUM • Les actes classants : une pénalisation négative décroissante • acte classant opératoire non mineur • acte classant non opératoire thérapeutique • acte classant non opératoire diagnostique Manuel des GHM, annexe 12 COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
L’algorithme de choix du DP des RSS multiRUM • Le choix du RUM avec le score le plus faible est rectifié dans deux cas : • DP Z51.5, Z50.2, Z50.3 • DP de lésion traumatique « S » • Le DP est alors celui du RUM dont la durée est la plus longue COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Les diagnostics et les actes dans le RUM COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Le DP est le problème de santé qui a motivé l’admission du patient dans l’unité médicale (UM), déterminé à la sortie de l’UM : le DP reste rétrospectif Le DP est déterminé à la fin du séjour du patient, en tenant compte de l'ensemble des informations médicales, y compris les résultats d'examens parvenus après la sortie Pour déterminer le DP il faut savoir pourquoi le patient est venu et connaître la conclusion du séjour Le diagnostic principal COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Le DP ne peut jamais être un problème de santé inexistant lors de l’admission dans l’UM et apparu au cours du séjour dans celle-ci Le DP ne peut pas être une affection apparue ou diagnostiquée pendant le séjour, sans relation avec le problème de santé qui a motivé l’admission Le DP est déterminé selon le guide des situations cliniques et en tenant compte des règles propres à la CIM-10 Le diagnostic principal COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
L’affection ayant motivé le séjour n’apparaîtra plus comme une « complication » du DAS Quelle que soit l’importance de l’effort de soins mobilisé par une complication ou une autre affection apparue pendant le séjour, y compris si elle est plus « lourde » que l’affection ayant motivé l’admission, elle est un DAS La nouvelle définition du DP privilégie les motifs des séjours par rapport à l’aléatoire des complications et affections intercurrentes Les niveaux de sévérité des CMA sont conçus pour prendre justement en compte le DAS, quelle que soit son importance Le diagnostic principal COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Lorsque la CIM-10 offre la possibilité de coder une affection à la fois en termes étiologiques (code dague†) et de manifestation (code astérisque *) les deux codes doivent être enregistrés dans le RUM À partir de la version 11 des groupes homogènes de malades, lorsque cette possibilité intéresse le DP ou le DR, le code à enregistrer est celui qui correspond le plus précisément à la prise en charge Le double codage † / * COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Diagnostic associé significatif Diagnostic associé conventionnel Les diagnostics associés COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Une affection, un symptôme ou tout autre motif de recours aux soins coexistant avec le DP (DP-DR) et constituant : un problème de santé distinct supplémentaire (une autre affection) ou une complication du DP ou une complication du traitement du DP Un DA est significatif s’il est pris en charge pour sa propre part à titre diagnostique ou thérapeutique ou s’il majore l’effort de prise en charge d’une autre affection Le diagnostic associé significatif COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Prise en charge diagnostique : mise en oeuvre des moyens nécessaires au diagnostic d’une affection nouvelle (par exemple, une affection aigüe intercurrente) ou au « bilan » d’une affection préexistante Exemples consultation auprès du malade d’un médecin ou d’un auxiliaire médical spécialisé réalisation d’investigations médicotechniques (biologie, imagerie…) Le diagnostic associé significatif COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Prise en charge thérapeutique : réalisation d’un traitement médicamenteux, quelles que soient la posologie et la voie d’administration, y compris la poursuite d’un traitement suivi à domicile acte médicotechnique (traitement chirurgical, perendoscopique, par voie endo-vasculaire...) acte d’auxiliaire médical : soins d’escarre, prescriptions ou préparations diététiques, kinésithérapie… Le diagnostic associé significatif COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Le diagnostic associé significatif Une maladie chronique en cours de traitement, dont le traitement est poursuivi pendant le séjour, est naturellement un DAS. Le contraire supposerait qu’elle n’ait pas été surveillée ou que son traitement ait été interrompu pendant le séjour COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Majoration de l’effort de soins d’une autre affection : augmentation imposée par une affection A de l’effort de soins relatif à une affection B (enregistrée comme DP, DR ou DAS) par rapport à ce qu’il aurait dû être en l’absence de A Les informations attestant de la majoration de l’effort – de la dispensation de soins supplémentaires du fait de B – doivent figurer dans le dossier médical du patient Le diagnostic associé significatif COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Double codage † / * Codes Séquelles de… IVG, IMG : Z64.0, O28.– Antepartum et accouchement : Z35.–, Z37.– Z75.80 Violence routière : facteurs favorisants Chapitre XX de la CIM-10 Mort-nés : cause de la mort Le diagnostic associé conventionnels COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009
Les informations propres à étayer le contenu du RUM doivent être présentes dans le dossier médical du patient et vérifiables lors des contrôles externes « Le contenu du RUM doit être conforme au dossier médical du patient » (arrêté PMSI-MCO) Le contenu (minimal) du dossier médical est défini par l’article R. 1112-2 du code de la santé publique Les diagnostics du RUM COTRIM Île-de-France – 11 juin 2009