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Vorlesung: Romantik

Vorlesung: Romantik. Friedrich-Schiller-Universität Jena Wintersemester 2010/11 Dr. Olaf Müller. Vorlesung „Romantik“, Dr. Olaf Müller, 03.11.2010. Romantik vor der Romantik. Die Erfindung des „Préromantisme“ Rousseau und die Rousseaurezeption Sensibilité.

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Vorlesung: Romantik

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  1. Vorlesung:Romantik Friedrich-Schiller-Universität Jena Wintersemester 2010/11 Dr. Olaf Müller

  2. Vorlesung „Romantik“, Dr. Olaf Müller, 03.11.2010 Romantik vor der Romantik • Die Erfindung des „Préromantisme“ • Rousseau und die Rousseaurezeption • Sensibilité

  3. Vorlesung „Romantik“, Dr. Olaf Müller, 03.11.2010 Jean-Jacques Rousseau (1712-1778)

  4. Zusammenfassung der letzten Woche • Epochengrenzen: Anfänge • Mögliche Daten: Alphonse de Lamartine: Méditations poétiques (1820) • Victor Hugo: Hernani (1830)

  5. Anfänge, Definitionen • und noch 1846 Baudelaire im Salon de 1846: „Pour moi, le romantisme est l’expression la plus récente, la plus actuelle du beau“

  6. Um 1800 • Germaine de Staël: De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (1800) • François de Chateaubriand: Génie du Christianisme (1802) •  Historisierung literarischer Produktion, die nun nicht mehr an einem absoluten, aus der Antike abgeleiteten Ideal des Schönen gemessen wird

  7. Begriffsentwicklung „romantique / romantisme“ • Adjektiv „romantique“ existiert lange vor dem Substantiv „romantisme“ • (vgl. Hans Eichner: ‚Romantic‘ and its Cognates. The European History of a Word. Toronto 1972)

  8. Drei Stationen der Begriffsentwicklung • 1) als Adjektiv für „zum Roman oder zur Romanze gehörig“ (17. Jahrhundert) • 2) Ausdruck in visuellen Medien und Praktiken wie Landschaftsmalerei und Landschaftsarchitektur (ab dem 18.Jh. Ausgehend von England) • 3) literarhistorischer Ausdruck ab der Mitte des 18.Jahrhunderts

  9. Zu 1) • Im MA „enromancier“ , „romancar“ oder „romanzare“ für die Übersetzung populärer lateinischer Erzähltexte in die romanischen Volkssprachen • Daher „romanz“, „romant“ oder „romanzo“ als Gattungsbezeichnung für die so entstandenen Texte • Vor allem Ritterromane des Spätmittelalters

  10. Noch zu 1) • Adjektiv „romanesque“ im Sinne von „romanhaft“, „erfunden“ oder „unwahr“

  11. Zu 2) • Ausgehend von den in den Ritterromanen evozierten Landschaften, wird zunächst im Englischen „romantick“ zu einem Landschaftsbegriff • Shaftesbury 1709: „romantick way“als Synonym für Enthusiasmus, Schwärmerei, Melancholie oder poetische Ekstase, wie sie besonders bei Liebenden, Künstlern oder Dichtern zu beobachten seien

  12. Noch zu 2) • Besonders für englische Landschaftsgärten im Gegensatz zu den symmetrischen französischen Gartenanlagen • In diesem Sinn 1777 bei René-Louis de Girardin: De la composition des paysages, in dem es dann auch Rousseau kennenlernt und 1778 in den

  13. Rêveries • Rêveries du promeneur solitaire (1782 veröffentlicht) verwendet: • „Les rives du lac de Bienne sont plus sauvages et romantiques que celles du lac de Genève, parce que les rochers et les bois y bordent l’eau de plus près; mais elles ne sont pas moins riantes“.

  14. Transfer bei Schlegel • August Wilhelm Schlegel: Vorlesungen über dramatische Kunst und Literatur (1808) überträgt die Gartenmetapher auf den Gegensatz zwischen der klassischen französischen Tragödie und den als romantisch bezeichneten Dramen Shakespeares oder Calderóns

  15. Zu 3) • Mitte des 18. Jh. Unterscheidung zwischen „romantischer“, regelfreier Literatur (Tasso, Ariosto, Shakespeare, Milton) und antikisierender Literatur der französischen Klassik (so bei Herder: Vom gotischen Geschmack, 1766)

  16. Romantik und Liberalismus in Frankreich • Mme de Staël: De l‘Allemagne (1813/14) • Stendhal: Racine et Shakespeare (1823/25) • Hugo: Vorwort zu Hernani (1830): „Le romantisme, tant de fois mal défini, n’est, à tout prendre, et c’est là sa définition réelle, si l’on ne l’envisage que sous son côté militant, que le libéralisme en littérature“

  17. Das 18. Jahrhundert aus der Sicht des 19. • Lorsque je relis la plupart des écrivains du dix-huitième siècle, je suis confondu, et du bruit qu’ils ont fait et de mes anciennes admirations. Soit que la langue ait avancé, soit qu’elle ait rétrogradé, soit que nous ayons marché vers la civilisation, ou battu en retraite vers la barbarie, il est certain que je trouve quelque chose d’usé, de passé, de grisaille, d’inanimé, de froid

  18. Chateaubriand: MOT • dans les auteurs qui firent les délices de ma jeunesse. Je trouve même dans les plus grands écrivains de l’âge voltairien des choses pauvres de sentiment, de pensée, de style. À qui m’en prendre de mon mécompte ? J’ai peur d’avoir été le premier coupable ; novateur né, j’aurai peut-être communiqué aux générations nouvelles la maladie dont j’étais atteint.

  19. Mémoires d‘outre-tombe, Forts. • La littérature du dix-huitième siècle, à part quelques beaux génies qui la dominent, cette littérature, placée entre la littérature classique du dix-septième siècle et la littérature romantique du dix-neuvième, sans manquer de naturel, manque de nature ; nouée à des arrangements de mots, elle n’est ni assez originale comme école nouvelle, ni assez pure comme école antique.

  20. Victor Hugo: Sur Lord Byron • Des esprits faux, habiles à déplacer toutes les questions, cherchent à accréditer parmi nous une erreur bien singulière. […] Ils continuent chaque jour de traiter la littérature qu’ils nomment classique comme si elle vivait encore, et celle qu’ils appellent romantique comme si elle allait périr. Ces doctes rhéteurs, qui vont proposant sans cesse de changer ce qui existe contre ce qui a existé, nous rappellent involontairement le Roland fou de l’Arioste qui

  21. Sur Lord Byron (1824), 2 • prie gravement un passant d’accepter une jument morte en échange d’un cheval vivant. Roland, il est vrai, convient que sa jument est morte, tout en ajoutant que c’est là son seul défaut. Mais les Rolands du prétendu genre classique ne sont pas encore à cette hauteur, en fait de jugement ou de bonne foi. Ils faut donc leur arracher ce qu’ils ne veulent pas accorder, et leur déclarer qu’il n’existe aujourd’hui qu’une

  22. Sur Lord Byron, 3 • littérature comme il n’existe qu’une société ; que les littératures antérieures, tout en laissant des monuments immortels, ont dû disparaître et ont disparu avec les générations dont elles ont exprimé les habitudes sociales et les émotions politiques.

  23. Sur Lord Byron, 4 • Qu’on ne s’y trompe pas: c’est en vain surtout qu’un petit nombre de petits esprits essaient de ramener les idées générales vers le désolant système littéraire du dernier siècle. Ce terrain, naturellement aride, est depuis long-temps desséché. D’ailleurs on ne recommence pas les madrigaux de Dorat après les guillotines de Robespierre, et ce n’est pas au siècle de Bonaparte qu’on peut continuer Voltaire. La littérature réelle de notre âge […] est défendue

  24. Sur Lord Byron, 5 • par ceux qui pensent avec leur âme, jugent avec leur esprit et sentent avec le cœur ; cette littérature n’a point l’allure molle et effrontée de la muse qui chanta le cardinal Dubois, flatta la Pompadour et outragea notre Jeanne d’Arc. […] Étrangère à tout ce qui n’est pas son but véritable, elle puise la poésie aux sources de la vérité. Son imagination se féconde par la croyance. Elle suit les progrès du temps, mais d’un pas grave et mesuré. Son caractère est

  25. Sur Lord Byron, 6 • sérieux, sa voix est mélodieuse et sonore. Elle est, en un mot, ce que doit être la commune pensée d’une grande nation après de grandes calamités : triste, fière et religieuse.

  26. Übergang Lumières-Romantisme • Paul Bénichou: Le sacre de l’écrivain (1973) „sacerdoce poétique“

  27. Literatur • Catherine Thomas: Le mythe du XVIIIe siècle au XIXe siècle (1830–1860) (2003) • Georges Gusdorf: Naissance de la conscience romantique au siècle des Lumières (1976) • Michel Delon: L’Idée d’énergie au tournant des Lumières (1770–1820) (1988)

  28. Rousseau: Rêveries • 1. Promenade, Anfang: • Me voici donc seul sur la terre, n’ayant plus de frère, de prochain, d’ami, de société que moi-même. Le plus sociable et le plus aimant des humains en a été proscrit par un accord unanime. Ils ont cherché dans les rafinemens de leur haine quel tourment pouvoit être le plus cruel à mon âme sensible, et ils ont brisé violemment tous les liens qui m’attachoient à eux. J’aurois aimé les hommes en dépit

  29. 1. Promenade, Anfang • d’eux-mêmes. Ils n’ont pu qu’en cessant de l’être se dérober à mon affection. Les voilà donc étrangers, inconnus, nuls enfin pour moi puis qu’ils l’ont voulu. Mais moi, détaché d’eux et de tout, que suis-je moi-même ? Voilà ce qui me reste à chercher.

  30. Nächste Woche: De la littérature und Génie • Zur Vorbereitung: Kapitel „Du vague des passions“ aus Chateaubriands Génie du Christianisme

  31. 10.11.2010 • La littérature du dix-huitième siècle, à part quelques beaux génies qui la dominent, cette littérature, placée entre la littérature classique du dix-septième siècle et la littérature romantique du dix-neuvième, sans manquer de naturel, manque de nature ; nouée à des arrangements de mots, elle n’est ni assez originale comme école nouvelle, ni assez pure comme école antique. • FDC: MOT I, Buch 11, Kap. 2.

  32. Hugo, Nachruf auf Lord Byron (1824) • Étrangère à tout ce qui n’est pas son but véritable, elle puise la poésie aux sources de la vérité. Son imagination se féconde par la croyance. Elle suit les progrès du temps, mais d’un pas grave et mesuré. Son caractère et sérieux, sa voix est mélodieuse et sonore. Elle est, en un mot, ce que doit être la commune pensée d’une grande nation après de grandes calamités : triste, fière et religieuse.

  33. Wdh.: Blicke der Romantiker auf das 18. Jahrhundert • „J’ai peur d’avoir été le premier coupable ; novateur né, j’aurai peut-être communiqué aux générations nouvelles la maladie dont j’étais atteint ». • FDC: MOT Teil 1, Buch 4, Kap. 12

  34. Germaine de Staël (1766-1817) • 1788 Lettres sur les ouvrages et le caractère de Jean-Jacques Rousseau • 1795 Essai sur les fictions • 1800 De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales

  35. Louis de Fontanes (1757-1821) • Ab 1800 Chefredakteur des regierungsnahen Mercure de France • Juni 1800: lange Rezension zu De la littérature • November 1800: 2. Ausgabe von De la littérature (mit Reaktionen auf Fontanes) • Dez. 1800: Chateaubriands Rezension der 2. Ausgabe, wiederum im Mercure de France, als „Lettre à M. de Fontanes“

  36. „perfectibilité“ • Das „système de perfectibilité“ sei vor allem anzuwenden auf die „progrès des idées, et non aux merveilles de l’imagination. On peut marquer un terme aux progrès des arts; il n’en est point aux dévouvertes de la pensée“. • (De la littérature)

  37. De la littérature, Lateinische Literatur unter Augustus • Ce qui manque aux anciens dans la peinture de l’amour, est précisément ce qui leur manque en idées morales et philosophiques. Lorsque je parlerai de la littérature des modernes, et en particulier de celle du dix-huitième siècle, où l’amour a été peint dans Tancrède, la nouvelle Héloïse, Werther et les poètes anglais, &c, je montrerai comment le talent exprime avec d’autant plus de force et de chaleur les affections sensibles, que la réflexion et la philosophie ont élevé plus haut la pensée.

  38. De la littérature, Hauptteile • 1) „De la littérature chez les anciens et chez les modernes“ • 2) „De l’état actuel des lumières en France, et de leurs progrès futurs“

  39. De la littérature, Teil 2 • (Kap. 2) Du goût, de l’urbanité des mœurs, et de leur influence littéraire et politique. • (Kap. 4) Des Femmes qui cultivent les Lettres • (Kap. 7) Du style des Ecrivains et de celui des Magistrats • oder (Kap. 8) De l’Eloquence

  40. „De l’invasion des Peuples du Nord, de l’établissement de la Religion Chrétienne et de la renaissance des Lettres“ • L’invasion des barbares fut sans doute un grand malheur pour les nations contemporaines de cette révolution; mais les lumières se propagèrent par cette événement même. Les habitans énervés du midi, se mêlant avec les hommes du nord, empruntèrent d’eux une sorte d’énergie, et leur donnèrent une sort de souplesse, qui devoit servir à compléter les facultés intellectuelles.

  41. „De l’invasion des Peuples du Nord, de l’établissement de la Religion Chrétienne et de la renaissance des Lettres“ (II) • La religion chrétienne dominoit les peuples du nord, en se saisissant de leur disposition à la mélancholie, de leur penchant pour les images sombres, de leur occupation continuelle et profonde du souvenir et de la destinée des morts. […] Les dogmes de la religion chrétienne, l’esprit exalté de ses premiers sectaires, favorisoient et dirigeoient la tristesse passionnée des habitans d’un climat nébuleux […]

  42. „De l’invasion des Peuples du Nord, de l’établissement de la Religion Chrétienne et de la renaissance des Lettres“ (III) • Des ces têtes ardentes, aisément crédules, aisément fanatiques, germèrent toutes les superstitions et tous les crimes dont la raison a gémi. La religion leur fut moins utile qu’aux peuples du nord, parce qu’ils étoient beaucoup plus corrompus, et qu’il est plus facile de civiliser un peuple ignorant, que de relever de sa dégradation un peuple dépravé.

  43. „De l’invasion des Peuples du Nord, de l’établissement de la Religion Chrétienne et de la renaissance des Lettres“ (IV) • La religion chrétienne a été le lien des peuples du nord et du midi; ella a fondu, pour ainsi dire, dans une opinion commune des mœurs opposées; et rapprochant des ennemis, elle en a fait des nations, dans lesquelles les hommes énergiques fortifioient le caractère des hommes éclairés, et les hommes éclairés développoient l’esprit des hommes énergiques.

  44. La littérature du Nord (I) • La poésie mélancolique est la poésie plus d’accord avec la philosophie. La tristesse fait pénétrer bien plus avant dans le caractère et la destinée de l’homme, que toute autre disposition de l’ame. Les poètes anglais qui ont succédé aux Bardes Ecossais, ont ajouté à leurs tableaux les réflexions et les idées que ces tableaux même devoient faire naître; mais ils ont conservé l’imagination du nord, celle qui se plaît au bord de la mer, au bruit des vents, dans les

  45. La littérature du Nord (II) • bruyères sauvages; celle enfin qui porte vers l’avenir, vers un autre monde, l’ame fatiguée de sa destinée. L’imagination des hommes du nord s’élance au-delà de cette terre dont ils habitoient les confins; elle s’élance à travers les nuages qui bordent leur horizon, et semblent représenter l’obscur passage de la vie à l’éternité.

  46. La littérature du Nord (III) • Toutes mes impressions, toutes mes idées me portent de préférence vers la littérature du nord. • La poésie du nord convient beaucoup plus que celle du midi à l’esprit d’un peuple libre. […] L’indépendance étoit le premier et l’unique bonheur des peuples septentrionaux. Une certaine fierté d’ame, un détachement de la vie, que font naître, et l’âpreté du sol, et la tristesse du ciel, devoient rendre la servitude insupportable.

  47. La littérature du Nord (IV) • Les émotions causées par les poésies ossianiques peuvent se reproduire dans toutes les nations, parce que leurs moyens d’émouvoir sont tous pris dans la nature; mais il faut un talent prodigieux pour introduire, sans affectation, la mythologie grecque dans la poésie française. Rien ne doit être, en général, si froid et si recherché que des dogmes religieux transportés dans un pays où ils ne sont reçus que comme des métaphores ingénieuses. La poésie du nord est rarement allégorique; aucun de ses effets n’a besoin de superstitions locales pour frapper l’imagination.

  48. Fontanes, Rezension zu De la littérature (Juni 1800) • Jusqu’ici, tous ceux qui aiment [les beaux-arts] avaient tourné leurs regards vers la Grèce comme vers leur patrie naturelle. L’imagination des poëtes, ainsi que celle des artistes, aimait à parcourir les ruines d’Athènes, et cherchait l’inspiration autour des tombeaux d’Homère et de Sophocle. On nous apprend aujourd’hui que ce n’est point dans le climat le plus favorisé de la nature, che le peuple le plus sensible, dans la plus belle de toutes les languesm que l’esprit humain a créé le plus de prodiges.

  49. Fontanes, Rez. (Forts.) • C’est dans les montagnes de l’ancienne Calédonie, c’est dans les forêts habitées par les descendants d’Arminius, que se trouvera désormais le modèle du beau, et de je ne sais quel nouveau genre supérieur à tous les autres, qu’on appelle mélancolique et sombre.

  50. Fontanes, Rez. (Forts. II) • Ossian m’attendrit sans doute, quand il me conduit au tombeau de ses pères; mais il faut qu’une divinité veille autour des tombeaux pour leur donner plus d’intérêt et les rendre sacrés. […] Ainsi, l’idée d’un Dieu peut seule féconder les arts, comme elle anime le spectacle de la nature. C’est une grande erreur de croire, avec madame de Staël, que les peuples du Nord sont plus sensibles et plus mélancoliques que les peuples du Midi. […] Les poésies les plus mélancoliques ont été composées, il y a plus de trois mille ans, par l’Arabe Job, qui

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