E N D
1. ACADEMIE DE DIJON Le Budget
outil de pilotage
7. Conseil d ’administration : sorte de pouvoir législatif en Conseil d ’administration : sorte de pouvoir législatif en
8. PRINCIPES BUDGETAIRES : le principe d’annualité
le principe d’unité
le principe d’universalité
le principe de spécialité
le principe de sincérité
9. PRINCIPES BUDGETAIRES : Le principe d’annualité :
11. PRINCIPES BUDGETAIRES : Le principe d’unité :
12. PRINCIPES BUDGETAIRES : Le principe d’universalité :
14. PRINCIPES BUDGETAIRES : Le principe de spécialité :
15. Le principe de spécialité :
16. PRINCIPES BUDGETAIRES : Le principe de sincérité :
17. Le principe de sincérité :
22. LA PREPARATION
26. LA NOTIFICATION
27. LA NOTIFICATION DE LA COLLECTIVITE LES DOTATIONS :
28. LA NOTIFICATION DE LA COLLECTIVITE LES ORIENTATIONS BUDGETAIRES
29. LA NOTIFICATION DE L ’ETAT http://mode.in.ac-dijon.fr/
Programme 0141 Enseignement scolaire du second degré :
30. LA NOTIFICATION DE L ’ETAT Programme 0141 Enseignement scolaire du second degré :
31. LA NOTIFICATION DE L ’ETAT Programme 0230 Vie de l ’élève :
32. LA NOTIFICATION DE L ’ETAT Opérations spécifiques :
33. LA CONSTRUCTION
34. LA CONSTRUCTION : Estimation des recettes
Les dépenses obligatoires
Les dépenses souhaitables
Les arbitrages
Les crédits d ’enseignement
50. STRUCTUREdu BUDGET
51. LES DIFFERENTES SECTIONS : Fonctionnement
Investissement
53. LES CHAPITRESOU PROGRAMMES Le service général
Les services spéciaux
59. LE SERVICEA COMPTABLITE DISTINCTE (SACD) GRETA
Divers
62. L’ E.P.C.P. (ETAT PREVISIONNEL A LA COMMANDE PUBLIQUE)
63. Son élaboration :
64. Pour les fournitures et services : il s ’agit d ’estimer la valeur totale des fournitures et des services considérés comme homogènes soit en raison de leurs caractéristiques propres, soit parce qu ’ils constituent une unité fonctionnelle. Cette notion recouvre la satisfaction d ’un besoin concourant à la réalisation d ’un même projet.Pour les travaux : il s ’agit de prendre en compte la valeur globale des travaux se rapportant à une opération sur un ou plusieurs ouvrages.Les dépenses seront retracées par famille selon une classification propre à l ’établissement qui devra pouvoir justifier de ses choix. La classification (subdivisions excessives) ne devra en aucun cas servir à soustraire les marchés aux règles de publicité et de mise en concurrence.
65. L ’EPCP annexé au budget retracera toutes les intentions de marché classées par catégories homogènes ou par unités fonctionnelles pour les achats de fournitures et de services, par opération pour les travaux, en fonction des procédures d’achat retenues :Procédure adaptée - Groupement de commandes - Centrale d ’achats - Appel d’offres...
73. LA LEGALISATION
74. LA LEGALISATION : Le Conseil d ’Administration
Les Autorités de contrôle
L’Etat Prévisionnel de la Commande Publique (EPCP)
78. ETUDE DE CAS 1
79. Estimation recettes :
Bourses nationales : 16500 €
Caisse de solidarité : 60,00
Contribution Formation Continue : 1900 €
Contribution groupement de commande : 200 €
Contribution SACD : 7 350 €
Dégradations manuels scolaires : 350 €
Dotation globalisée Etat prg 141 : 13 620 €
Dotation globalisée Etat prg 230 : 4 600 €
80. Estimation recettes :
Location gymnase associations : 2600 €
Location appartement : 1700 €
Notification CG fonctionnement : 11 509,26 €
Notification CG équipement : 14 996,46 €
Notification CG instal. sportives : 25 189,14 €
Objets confectionnés : 5 250 €
Produits financiers : 4 000 €
Remises de principe : 1100 €
Reversements téléphone : 300 €
81. ETUDE DE CAS 2
83. Pourquoi
84. Pour Qui Pour les Equipes Educatives :
formation adaptée aux réformes
activités participatives avec le monde professionnel
aides participatives des collectivités territoriales
une mobilisation de la communauté éducative, enseignement général, technologique et professionnel
86. Comment Pour obtenir le label, les établissements doivent remplir les critères suivant :
-Offre de formation construite autour d’un ensemble cohérent de métiers,
-Accueil de publics de statuts différents,
-Une gamme de diplômes allant du CAP à l’enseignement supérieur,
-Validation des acquis de l’expérience,
-Partenariats avec les collectivités territoriales, les milieux professionnels et universitaires,
-Des actions visant à améliorer l’orientation des collégiens et les conditions de leur accueil,
87. -Ouverture européenne ou échanges avec des pays étrangers,
- offre de services d’hébergement,
Dispositif d’aide à l’insertion professionnelle ou des publics sortant de formation,
88. Le label « lycée des métiers » est délivré sur décision du recteur de l’académie. Il permet d’identifier des pôles de compétences en matière de formation professionnelle, de certification ou d’accompagnement, d’information ou de services techniques aux entreprises.
La demande de délivrance du label présentée par l’établissement doit comporter l’accord de leur conseil d’administration.
89. COMMUNICATION et PILOTAGE du BUDJET Depuis pl. années, les constats convergent mettant en lumière la complexification, l’alourdissement des tâches des PD qui rendent le service plus difficile.
Gestion des ressources humaines, répartition du budget, complexité des structures d’établissement, …….
90. Francois Dubet a utilisé une expression assez humoristique ; il souligne que jusque dans les années soixante –dix, le CE n’était qu’un « notable avec une bonne secrétaire, et rien d’autre ».
Dans toutes les enquêtes qui ont pu être consacrées au métier, le poids de la communication revient toujours comme essentiel.
95. Tous pour un budget ?Tout le monde s’accorde aujourd’hui à reconnaître le rôle fondamental que la communication a pris dans nos établissements plus particulièrement pour l’élaboration du budget ou d’un budget
96. Faire des choix! Mais de nombreuses questions se posent :
- pourquoi faire ?
- en direction de qui ?
- comment ?
- avec quelles ressources ?
- sur quelles valeurs ?
97. De la rigueur, une pédagogie
- une volonté affichée
- un mode de management
- des choix politiques forts
- rendre lisible les objectifs des choix de répartition
- de fédérer à l’interne
- de renvoyer une image forte à l’extérieur
98. LES LIMITES - la transparence
- les résistances aux changements
- les habitudes
- le désintérêt
99. Politique de l’établissement
100. LA PREPARATION : Les projets culturels :
101. LA PREPARATION : La concertation :
104. L ’EXECUTION
111. LES DEPENSES
114. LES RECETTES
117. QUALITE FINANCIERE EN EPLE
« La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. »
Art. 15 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789
118. définition Le contrôle interne relève d’une démarche qualité :
Stratégie de prévention et de maîtrise des risques
Risque : tout évènement qui ne permet pas d’atteindre l’objectif général de qualité
Objectif :
Comptes réguliers et sincères
Image fidèle du patrimoine et de la situation financière
119. définition
Un ensemble de procédures destinées à faire progresser la qualité et la sécurité des opérations financières
Une démarche qui associe étroitement tous les personnels: de l’ordonnateur au comptable
Un principe d’assurance raisonnable (et non d’assurance absolue) Amélioration de l’outil = Doit on y ajouter des thèmes, des onglets, doit on et comment le pondérer.
Amélioration de l’outil = Doit on y ajouter des thèmes, des onglets, doit on et comment le pondérer.
120. contexte La gestion publique est en mutation - LOLF
L’audit des procédures se substitue progressivement au contrôle des actes
Les contrôles par sondages ciblés remplacent les contrôles exhaustifs
La nécessité pour les autorités publiques de s’assurer de la qualité des comptes - Certification Amélioration de l’outil = Doit on y ajouter des thèmes, des onglets, doit on et comment le pondérer.
Amélioration de l’outil = Doit on y ajouter des thèmes, des onglets, doit on et comment le pondérer.
121. contexte Un déploiement récent mais rapide dans la sphère publique :
Le MEN est engagé dans la démarche
Les EPN et les Universités le sont également
Ainsi que le réseau du Trésor Public
Sous l’impulsion de la Cour des Comptes
Amélioration de l’outil = Doit on y ajouter des thèmes, des onglets, doit on et comment le pondérer.
Amélioration de l’outil = Doit on y ajouter des thèmes, des onglets, doit on et comment le pondérer.
122. objectifs Un contrôle interne de qualité permet de :
faire avec l’objectif d’établir des comptes annuels
faire sans erreurs ni gaspillage avec l’objectif de sauvegarder le patrimoine
faire mieux avec l’objectif d’ améliorer les performances
123. démarche
Ces objectifs sont-ils tous atteints
dans tous les EPLE ?
La qualité administrative et financière est reconnue comme globalement satisfaisante Amélioration de l’outil = Doit on y ajouter des thèmes, des onglets, doit on et comment le pondérer.
Amélioration de l’outil = Doit on y ajouter des thèmes, des onglets, doit on et comment le pondérer.
124. démarche Mais suite aux observations des corps de contrôle, la démarche de contrôle interne vise à :
Améliorer la communication mutuelle entre ordonnateur, comptable et autorités de contrôle
Éviter les enregistrements comptables irréguliers
Réduire les dysfonctionnements
125. démarche Les zones à risques :
Méconnaissance de la réglementation (marchés publics, voyages scolaires, ateliers, …)
Insuffisance de formalisation des procédures, ou de respect des procédures formalisées
Chèques et numéraire
126. démarche Les facteurs de risques :
Confiance parfois excessive accordée aux agents dans la gestion des opérations
Absence de séparation des tâches (et donc l’absence de contrôles mutuels)
Défaut de vérification
127. démarche La qualité comptable : une attente des corps de contrôle
Auditeurs des trésoreries générales : l’audit s’appuie sur la description par elle-même de l’entité auditée
Chambres régionales et Cour des Comptes
128. démarche La qualité comptable concerne près de 8 000 EPLE
Donc 8 000 ordonnateurs
Et 2 560 comptables publics MEN et leurs équipes
La maîtrise du risque est l’affaire de tous les intervenants
Donc pas seulement des « financiers »
Car le CIC consiste à fiabiliser tout le processus débouchant sur une prise en charge comptable
129. A quoi sert ?
Mesurer les risques sur la comptabilité budgétaire et générale par un auto diagnostic
Ne pas confondre % de risque élevé et inefficacité du service
Définir un plan d’actions après analyse des risques
Mettre en place les procédures permettant de maîtriser ces risques
C’est un outil de management et d’anticipation des audits du Trésor public
Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
130. De quoi se compose-t-il ?
D’un guide méthodologique
D’un questionnaire d’auto diagnostic
D’exemples d’organigramme fonctionnel et de plans d’actions
De fiches de procédures adaptables
Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
131. Le questionnaire d’auto diagnostic
Tableur à 12 onglets qui correspondent :
aux cycles de l’activité comptable,
à des procédures spécifiques aux EPLE
à l’organigramme fonctionnel
A l’intérieur de chaque onglet les réponses à une liste d’item (certains pondérés) permettent d’évaluer le risque lié au cycle considéré
Tous les EPLE ne sont pas nécessairement concernés par tous les cycles ni par tous les items d’un cycle. C’est donc un outil qui doit être adapté à chaque situation.
Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
133.
Pour quels utilisateurs ?
Ordonnateurs et gestionnaires
Comptables
En liaison étroite avec leurs équipes
Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
134.
Un outil personnalisable
Chaque équipe, de l’ordonnateur au comptable, doit :
se l’approprier
l’adapter à sa structure et à ses préoccupations
le faire vivre dans la durée
Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
135. Quelques exemples
En comptabilité budgétaire :
les voyages
les objets confectionnés
les fonds sociaux
les marchés
les rémunérations
…
En comptabilité générale :
la caisse
les régies
le recouvrement
… Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
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136.
A l’issue de l’auto diagnostic
Les risques sont hiérarchisés
La cartographie des risques est établie
document de synthèse qui permet d’avoir une vision globale et consolidée des risques existants
De cette cartographie découlera le plan d’actions Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
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137. Plan d’actions
Décline l’ensemble des risques attachés à chaque processus
Fixe les actions à mener pour les couvrir
Arrête un calendrier de contrôle et un suivi des contrôles effectués
L’approche par les risques permet de déterminer les actions à entreprendre en fonction de :
Leur gravité (impacts en termes d’enjeux financiers, humains, d’image…)
Leur fréquence
Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
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138. Plan d’actions
Quelles questions se poser pour élaborer le plan
d’actions :
La correction est-elle urgente ?
De quels moyens dispose le service pour mener à bien cette action ?
Les mesures sont-elles pertinentes et de nature à corriger les risques ?
Est-il possible d’envisager des étapes intermédiaires?
Quel planning ?
Quels agents sont impliquées dans cette action ?
Quel suivi de la mise en place du dispositif est à réaliser ?
Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
139. Fiches de procédures
140. Fiches de procédures DESCRIPTION
Quel est le fait générateur ?
Qui instruit ? Comment ?
Quels délais ?
Quels contrôles ?
Quelles procédures en cas d’erreur ?
Quels justificatifs à l’appui ?
Quel mode de conservation ?
…
Fiches de procédures disponibles sur l’intranet de la DAF …à adapter à votre organisation
141. Fiches de procédures
En comptabilité générale : (caisse – régie…)
Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
Communication, pilotage animation DAF A3 : intranet – « club qualité »
Validation des outils = DAF A3 ou DGCP valident les principes et l’outil général. Chaque plan d’action local sera validé par le rectorat ou la TG (ou l’EPLE – CA)
142. Conclusion Organiser Documenter Tracer
Fiabiliser Sécuriser Maîtriser
Le dispositif de contrôle interne comptable ne peut se limiter à un ensemble de manuels, de procédures et de documents
Son organisation et sa mise en œuvre reposent sur la sensibilisation et l’implication de tous
144. ETUDE DE CAS 3