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BOURGOGNE Team 2 Groupe escargot BOUILLER k vin DARGENT Auguste VERNIER Nathalie

Bibliographie. Hypergammapathie polyclonale. Hypergammaglobulin

benjamin
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BOURGOGNE Team 2 Groupe escargot BOUILLER k vin DARGENT Auguste VERNIER Nathalie

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Presentation Transcript


    1. Bibliographie BOURGOGNE Team 2 Groupe escargot BOUILLER kévin DARGENT Auguste VERNIER Nathalie

    2. Bibliographie Hypergammapathie polyclonale

    3. Hypergammaglobulinémie = Production accrue d’Ig par les plasmocytes Soit monoclonale : MGUS, myelome, amylose, waldenstrom, sd lymphoproliferatif Soit polyclonale INTRODUCTION

    4. Electrophorèse des Protéines Plasmatiques. DIAGNOSTIC

    5. Patient de 72 ans Depuis 3 mois : Douleurs rachis dorsale d’augmentation progressive Asthénie Sueurs nocturnes Hypergammaglobulinémie polyclonale 33g/L Anémie (Hb=11,9) Diagnostic le plus probable ? Cas clinique

    6. Mais : Présence d’une hypergamma POLYCLONALE L’examen clinique retrouve des ADP superficielles multiples. TDM abdomino pelvien : Adénopathies inguinales et rétro péritonéales avec compression du corps de D10

    7. Biopsie adénopathie inguinale: ? LMNH

    8. CAUSES

    10. Patient de 28 ans, Douleurs abdominales, hyperthermie, ictère Arthralgies, purpura des membres inférieurs C4 abaissé, FR +, hypergamma polyclonale Diagnostic ? Cas clinique 1

    11. Patient de 28 ans, Douleurs abdominales, hyperthermie, ictère Arthralgies, purpura des membres inférieurs C4 abaissé, FR +, hypergamma polyclonale Diagnostic ? ==> Cryoglobulinémie compliquant une probable hépatite C Cas clinique 1

    12. 48% HEPATIQUE

    13. Hépatite auto immune (30%) : 80% hépatites auto immunes ont une hypergamma polyclonale, corrélé au degré d’activité de la maladie. Hépatite virale (18%) : 98% VHC Cirrhose biliaire primitive (17%) Hépatopathie alcoolique (12%) Cholangite sclérosante primitive (8%) Maladies hépatiques

    14. Homme de 53 ans Infiltration scléreuse (scleroderma-like) des membres, évolution rapidement progressive, extrémités et visage épargnés Début après un exercice physique inhabituel Limitation fonctionnelle des articulations Hyperéosinophilie sanguine Hypergammaglobulinémie polyclonale… (41g/l) Cas clinique 2

    16. Syndrome de Shulman ou fasciite à éosinophiles Référence: Diffuse fasciitis with hypergammaglobulinemia and eosinophilia: a new syndrome? J Rheumatol. 1974 Oct;11(5):569-70. Shulman LE

    17. 27% CONNECTIVITES

    18. Syndrome de Gougerot Sjogren +++(44%) Polyarthrite Rhumatoïde : 37% hypergamma polyclonale, corrélée à l’activité de la maladie Lupus : 58% Hypergamma, corrélé à l’activité de la maladie Connectivites mixtes Spondylarthrite ankylosante : Hypergamma = facteur de mauvais pronostic => Hypergammaglobulinémie polyclonale n’apporte pas d’aide diagnostique pour différencier les connectivites Connectivites

    19. Homme de 70 ans Eruption cutanée maculopapuleuse, prurigineuse, du tronc. AEG depuis 2 mois, rapidement progressive (amaigrissement ++) Adénopathies axillaires bilatérales Anémie, thrombopénie Hypergamma polyclonale Cas clinique 3

    20. Biopsie ganglionnaire: ==> Lymphadénopathie angio-immunoblastique (LAI) =>Sécrétion d’IL6 par le clone lymphocytaire induisant l’hypergammaglobulinémie Hum Pathol. 1993 Pathogenic significance of interleukin-6 in angioimmunoblastic lymphadenopathy-type T-cell lymphoma. Hsu SM et al

    21. 4% HEMATOLOGIQUE

    22. Sd lymphoproliferatif : Lymphomes B et T Sd myélodysplasique : 33% ont une hyper gammapolyclonale 66% pour la Leucémie myélomonocytaire chronique (LMMC) Autres : Thalassémie majeure, Purpura thrombopénique idiopathique… Maladies hématologiques

    23. Homme de 74 ans (grec) Douleur abdominale, AEG (-15kg en 2 mois), sans fièvre Hépatosplénomégalie Bicytopénie (Hb 9,4g/dl, Pq 84G/l) Hypergamma polyclonale… 61g/dL Cytolyse hépatique 2-3N Cas clinique 4

    24. Hypertension portale Sérologies virales négatives ANA + a 1/640 Ac anti muscle lisse, spécificité anti actine, p-ANCA positifs ==> Hépatite auto immune?

    25. Biopsie ostéomedullaire: ==> Macrophages infectés par Leishmania spp. ==> Leishmaniose viscérale ou Kala-Azar « Polyclonal hypergammaglobulinemia and high smooth-muscle autoantibody titers with specificity against filamentous actin: consider visceral leishmaniasis, not just autoimmune hepatitis. » Makaritsis KP « Une hypergammaglobulinémie considérable… » F. Herrera, S. Duband, M. Koenig, P. Cathébras

    26. 6% Infections

    27. Virale : HIV Gamma globulines augmentent parallèlement aux volume des ADP Augmentation régulière jusqu’au diagnostique de SIDA Puis décroissance en 8 à 16 mois. Autres virus : hépatites virales, varicelle Infections bactériennes compliquées : abcès rénal Tuberculose Endocardite infectieuse subaigüe Parasites : leishmaniose, toxocarose Infections

    28. Tumeurs solides

    29. Carcinome hépato cellulaire Carcinome ovarien Carcinome épidermoïde pulmonaire Limités à quelques case report. Cancers

    30. AUTRES ETIOLOGIES

    31. Autres étiologies… Sarcoïdose MICI Thyroïdite auto-immune Pancréatite auto-immune Le syndrome Hyper IgG4

    32. Evoquer le diagnostic devant : Une atteinte rénale Une néphropathie tubulo-interstitielle de cause indéterminée Une atteinte rénale pseudo-tumorale Une fibrose rétro-péritonéale chez un homme (sexe ratio 4:1), d’âge moyen à âgé (50-70 ans) associée à d’autres atteintes d’organes : Pancréatite autoimmune ou pancréatite sclérosante lymphoplasmocytaire +++ Maladie de Mikulicz (atteinte inflammatoire des glandes salivaires et lacrymales), Adénopathies, Une cholangite sclérosante, une cholécystite sclérosante, une pneumopathie interstitielle, des pseudo-tumeurs inflammatoires, prostatite. Au niveau biologie une hypergammaglobulinémie polyclonale (sans composé monoclonal) une possible hypocomplémentémie Sd hyper IGG4

    33. L’histologie des organes atteints montre: Une infiltration par des lymphocytes T et des plasmocytes Des plasmocytes polyclonaux IgG4 positif (immunoréactivité avec Ac anti IgG4) Une fibrose importante non spécifique, ± des lésions de veinite oblitérante, +/- qq PN éosinophiles Le diagnostic repose sur : Le dosage sous classe d’IgG avec IgG4 > 1.35 g/L Un immuno-marquage de la biopsie avec un Ac anti-IgG4 (avec rapport plasmocytes IgG4+/plasmocytes IgG+>50% ou >10 plasmo IgG4+ par champ de fort grossissement) Une sensibilité aux corticoïdes 1) Syndrome d’hyper-IgG4 : étude rétrospective d’une série de 6 observations M Ebbo (1); A Benyamine (2); F Bernard (3); L Daniel (4); P Seve (5); L Sailler (6); J Serratrice (2); B Granel (3); H Rousset (7); P Weiller (2); N Schleinitz (1); J Harlé (1); 2) Kamisawa T. IgG4-related sclerosing disease. World J Gastroenterol 2008; 14 : 3948-55 Sd hyper IGG4

    34. RESUME

    35. Hépatiques (53%) : Hepatites auto immunes, virale (VHC) Connectivites (27%) : sd gougerot sjogren Hématologiques (4%) Cancers non hématologique (8%) Infections (sauf hépatites virales) (8%) + autres causes : sarcoidose, sd hyper IgG4… Retrospective Cohort Study of 148 Patients With Polyclonal Gammopathy A. DISPENZIERI et al. Mayo Clin Proc. 2001;76:476-487 5 pathologies principales

    36. Diagnostics selon classe Ig prédominante

    37. Augmentation polyclonale des IgG : - Connectivites : LED, Gougerot Sjögren, Polyathrite rhumatoïde, sarcoïdose. - Auto-immune : Hépatite auto-immune. - Infection : En particuliers parasitaires : Paludisme, Leishmaniose, Filariose. Lors de l'infection, la réponse humorale varie en fonction du stade évolutif, de la nature du germe et de ses antigènes (caractère thymo-dépendant ou thymo-indépendant) IgM sont les premières à être synthétisées. Viennent ensuite les IgG. En période d'état, une hypersynthèse des trois classes d'Ig (IgM, IgG, IgA) est généralement observée. Augmentation polyclonale prédominante d'une seule classe d'Ig

    38. Augmentation polyclonale des IgM : - Cirrhose biliaire primitive - Maladies des agglutinines froides - Maladies infectieuses bactériennes ou virales en phase aiguë. - Maladies parasitaires : Paludisme, Toxoplasmose, Trypanosomiase. Augmentation polyclonale prédominante d'une seule classe d'Ig

    39. Augmentation polyclonale des IgA : - Atteintes hépatiques : cirrhose éthylique. - Maladies infectieuses : en particulier à tropisme respiratoire (tuberculose). - Vascularites nécrosantes - Atteintes digestives : Colite inflammatoire, maladie coeliaque. - Maladie cancéreuse : ORL, bronchique, digestif. Augmentation polyclonale prédominante d'une seule classe d'Ig

    40. PHYSIOPATHOGENIE

    41. Stimulation démontrée des plasmocytes des organes lymphoïdes L’hypergamma représente la somme des Ig produites par les différents clones Lien entre la cirrhose et cette activation? Physiopathogénie: cirrhose et gamapathie

    42. Rôle de « filtre » du foie (C de Küpfer) Modèles animaux montrant une augmentation de la concentration d’Ag bactériens dans les organes lymphoïdes secondaires et la baisse de leur « capture » Elévation prouvée des taux d’anticorps dirigés contres des bactéries digestives. Première hypothèse: Lc stimulés par des antigènes bactériens normalement filtrés par le foie

    43. Taux d’Ig similaire chez des rats cirrhotiques stériles et normaux (Bauer et al.) Augmentation des taux d’Ac immunisants contre la rougeole et la rubéole. Augmentation des réactions vaccinales corrélées au degré de cirrhose Cirrhosis and hypergammaglobulinemia John D. Stobo 1979 Digestive disease and science Deuxième hypothèse: état « d’hyperactivation immunologique »

    44. EVOLUTION

    45. 4% précède le diagnostic 28% découvert en même temps 68% suit le diagnostic Les bandes oliglonales observées lors des hypergammapolyclonales n’ont jamais eu d’évolution vers la monoclonalité Evolution

    46. SURVIE

    47. SURVIE

    48. Conclusion Grande hétérogénéité étiologique, 5 grandes familles de causes. Pas de CAT standardisée possible. Orientation par le contexte clinique et biologique Possible orientation par la classe d’Ig concernée Physiopathologie non élucidée…

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