150 likes | 306 Views
Economie Générale. Exposé sous Thème: Les investissements directs étrangers au Maroc Madak abdelhak encadre par : D r . larbi houdani. Réalisé par :.
E N D
Economie Générale • Exposé sous Thème: • Les investissements directs étrangers au Maroc • Madakabdelhak • encadre par: • Dr.larbihoudani Réalisé par:
Dernier rapport sur les IDE et les pays méditerranéens en 2010 publié par l’observatoire des investissements et partenariats en méditerranée ANIMA- MIPO • Les perspectives sont prometteuses en dépit du • ralentissement à court terme en Tunisie et en Egypte à • cette période transitoire. • La prudence des investisseurs intéressés par les • opportunités qu’offrent les pays de la région en raison de • demande interne et du créneau de la production. Rapport d’observatoire méditerranéen des investissements IDE en 2010 ANIMA- MIPO
La stabilité du Maroc confirmée par agences de notation • et l’ouverture vers de nouveaux secteurs (BTP, offshoring, • télécommunication, énergies renouvelables, …) qui sont • au même niveau que le tourisme. • L’impact social est assez faible en raison d’une valeur • ajoutée locale réduite ou d’une concurrence déloyale • pour les petites entreprises. • En 2010 plus de 175 000 emplois directs (contre 93 000 en • 2009) qui ont été crées par les IDE et plus prés de 585 000 • emplois indirects.
L’années 2010 été stable pour les IDE au Maroc selon AMDI • (Agence Marocaine de développement et des • Investissements) avec un hausse de prés de 16% sur les 10 • mois de 2010 par rapport à 2009 ; soit un volume de 1.8MM • d’euros. • L’année 2010 été transitoire dans la région MENA et s’est • propagée en début 2011. • Etude de l’OCDE et du forum économique mondial • La région de MENA à taux de chômage élevé supérieur à • 40% touche en particulier les jeunes. • Ce qui explique le faible impact de l’IDE sur la création • d’emplois, le secteur privé qui est insuffisamment • développé et l’existence d’une inadéquation généralisée • entre les compétences de la main d’œuvre et les besoins • des entreprises.
Prés de deux tiers de l’IDE dans la région MENA se • trouvent dans le secteur des hydrocarbures qui crée peu • d’emplois par rapport aux niveaux d’investissement. • Il faut s’orienter vers les secteurs à forte intensité de • main d’œuvre, comme l’industrie manufacturière, le • tourisme et les énergies renouvelables. • L’IDE peut faire croître l’emploi si les politiques ciblées • ont pour but d’assurer le développement des compétences • correspondant aux besoins des entreprises ; d’agir sur • les dispositifs trop rigides de réglementation du marché • du travail ; d’amener un plus grand nombre de femmes à • exercer une activité professionnelle ; de développer les • liens commerciaux entre les investisseurs étrangers et les • fournisseurs locaux ; de viser les secteurs à forte valeur • ajoutée et de s’attaquer à la corruption et encourager • une conduite responsable des activités commerciales.
L’étude recommande d’articuler les réformes • gouvernementales autour de quatre axes prioritaires: • Faire baisser le niveau élevé du chômage. • Favoriser le développement du secteur privé. • Réduire la part du secteur public dans l’économie • Combattre la corruption.
IDE au Maroc • 3.1 Flux de l’IDE au Maroc • Exemple : Le roi a inauguré le 9 février 2012, l’usine Renault- Nissan à Tanger moyennant un investissement global de 1.1 MM d’euros (environ12 MM DH). • Selon Ahmed Fassi - Fihri directeur de l’AMDI: • Le recul des recettes d’IDE de 31% en 2011 s’explique par • l’entrée de France Telecom en 2010 dans le capital de • Méditelpour un montant de 8 MM DH, ainsi par • l’augmentation de la part de crédit mutuel dans le capital • de BMCE Bank pour 2.2 MM DH.
En comparant 2010 à 2011 la baisse n’est que de 11% • résultat acceptable vu le contexte économique et • politique régional. La baisse constatée au Maroc est • nettement moins importante que chez les pays • concurrents. • Ce qui permet de mitiger cette contre-performance • concerne l’évolution des flux nets dans le royaume : • L’analyse du solde des recettes des IDE et des dépenses • (désinvestissement) le montant de ces flux est 19 MM DH, • soit une hausse de +76% par rapport à l’exercice • précédent alors qu’au pays voisins on a enregistré des • baisses allant a -96%
L’avenir dépendra de la capacité de l’économie mondiale • à sortir de la récession. • Selon la commission interministérielle des investissements • certains projets validés en 2011 dont le montant total • 93 MM DH devraient se concrétiser en 2012. Dans le même • sens le démarrage du projet Renault et l’installation • effective du canadien Bombardier en 2012 entraineront • l’arrivée d’autres équipementiers automobiles et • aéronautiques étrangers. • A noter d’autres secteurs stratégiques pour le Maroc : les • énergies renouvelables en particulier la station solaire de • Ouarzazate et les parcs éoliens mis en place par l’ONE.
3.2 Répartition sectorielle L’immobilier est le secteur qui a le plus drainé d’investissements, du moins jusqu’à fin juin 2011(derniers chiffres disponibles), avec pas moins de 4,8 milliards de DH, soit 51% du total des IDE. Il est suivi de l’industrie (17%) et du tourisme (13%). Les activités immobilières et les industries manufacturières attirent plus de 67% des IDE au premier semestre 2011, les deux secteurs d’activités réalisent respectivement une hausse de 10 et 13,7%, relève la commission investissement de l’AMDI.
MERCI POUR VOTRE ATTENTION Contacter le site : http://wikicope.wikispaces.com