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L’aide à la gestion des connaissances Sommaire du chapitre. Les problématiques de la gestion des connaissances Les outils de gestion des connaissances. LA PROBLEMATIQUE DE LA GESTION DES CONNAISSANCES.
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L’aide à la gestion des connaissancesSommaire du chapitre • Les problématiques de la gestion des connaissances • Les outils de gestion des connaissances
LA PROBLEMATIQUE DE LA GESTION DES CONNAISSANCES • La gestion des connaissances est un ensemble d’activités permettant d’acquérir, de conserver, de diffuser des connaissances tacites et explicites et d’en faciliter l’application par les membres de l’organisation : apprentissage organisationnel, mémoire organisationnelle, réutilisation...
Figure 5.3. La « spirale de création de la connaissance » (I. Nonaka)
LES OUTILS DE LA GESTION DES CONNAISSANCES • Les systèmes de gestion de connaissances (SGC) sont conçus pour faciliter les processus de création, de stockage, de transfert et d’application des connaissances : • systèmes de gestion documentaire, avec les problèmes de modélisation des connaissances • systèmes de retours d’expériences, une des réalisations les plus significatives • recours aux récits d’apprentissage, pour faciliter l’apprentissage organisationnel • systèmes de formation en ligne (e-Formation ou e-Learning) • systèmes de veille stratégique
Les différents SGC en fonction des phases du processus (M. Alavi et D. Leidner)
Figure 5.6. Les deux modèles de base des systèmes d’aide à la gestion des connaissances
Figure 5.8. Principe de la capitalisation des retours d’expérience
Figure 5.9. Système de capitalisation de connaissances en soudage (Van Craynest et al.)
Figure 5.10. Exemple de fiche de retour d’expérience (voir Craeynet et al.)
Figure 5.11. Architecture logique du système Rex (J.Y. Prax, 2000)
Figure 5.13. Cycle d’apprentissage fondé sur la narration (E. Soulier)
Des dispositifs de gestion des savoirs • six difficultés principales pouvant expliquer ce faible développement : • le manque d’engagement des dirigeants • les difficultés d’évaluation du rendement des projets • le manque de motivation des utilisateurs potentiels (absence de système d’incitation) • le passage difficile d’une culture du cloisonnement et de la circulation verticale de l’information à une culture du partage et de la confiance • le caractère contextuel des connaissances mémorisées : une connaissance produite dans un contexte n’est pas exploitable en l’état dans un autre contexte • le risque de routinisation associé à la capitalisation des connaissances ; la réutilisation des connaissances encourage la passivité des utilisateurs et limite la recherche d’innovations