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Métro de Montréal. Ligne verte. Station Angrignon. Station Angrignon Cette station magnifique occupe une superficie de 50 000 mètres carrés dans le parc Angrignon , y compris un grand terminus pour les autobus desservant le Sud-Ouest , l'Ouest, et le Rive-Sud de Montréal.
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Métro de Montréal Ligneverte
Station Angrignon Station Angrignon Cette station magnifique occupe une superficie de 50 000 mètres carrés dans le parc Angrignon, y compris un grand terminus pour les autobus desservant le Sud-Ouest, l'Ouest, et le Rive-Sud de Montréal. La beauté d'Angrignon reste dans la lumière. Aussitôt qu'un train entre dans la station, les ombres du tunnel sont anéanties par un éclat foudroyant de lumière, d'un bout à l'autre des quais, même plus brillant qu'à la station voisine Jolicoeur. La présence du parc est ressentie partout dans la station. À chaque bout du quai, la lumière du soleil pénètre par de vastes vitrages. Une côte de verdure avec de petits arbres descend jusqu'au niveau des quais, Angrignon étant donc la seule station dont le quai n'est pas complètement souterrain. Cette petite pente met le parc bien en évidence sur les quais même. Les fenêtres équilibrent aussi les ténèbres qui règnent souvent aux bouts des quais.
C’est le début ou la fin de la ligneverteD’oùl’importance des lignesd’autobus
Station Monk Origine du nom de la station Monk Plusieurs membres de la famille Monk occupèrent un poste dans la magistrature ou participèrent à la vie politique, mais le plus connu demeure Sir James Monk (1745-1826). Nommé procureur général de la province de Québec en 1776, il devint juge subrogé à la Cour de Vice-amirauté (1778-1788), puis juge en chef du district judiciaire de Montréal (1793-1820). Nous croyons toutefois que le choix de ce toponyme s’explique par le fait qu’en 1899 les avocats Frederick D. Monk, Joseph-Ulric Émard et d’autres associés achetèrent la terre Davidson en vue d’en faire le lotissement. On ouvrit une voie au travers de cette terre et on lui donna d’abord le nom de Rue Davidson, changé en 1911 pour celui de Boulevard Monk.
Station Jolicoeur Origine du nom de la station Jolicoeur La voie, dont diverses sections avaient porté les noms de Du Bois, Marie-Anne, Clovis et Wedgewood, fut renommée Rue Jolicoeur en 1914. J.-Moïse Jolicoeur fut le curé fondateur de la paroisse de Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours, en 1906.
Station Verdun Origine du nom de la station Verdun Nous devons remonter jusqu’au XVIIe siècle pour trouver l’origine du nom Verdun qui désigne aujourd’hui une municipalité, une avenue et une station de métro. Ce territoire connut au fil du temps plusieurs appellations : Côte-des-Argoulets, Côte-du-Sault-Saint-Louis, Pointe-Saint-Louis, Fief ou Côte-de-Verdun et Côte-de-la-Rivière-Saint-Pierre. Le 26 décembre 1671, le Séminaire concéda en fief noble un domaine à cet endroit à Zacharie Dupuis, major de l’île, déjà mis en possession quoique sans contrat. Le major Dupuis, natif de la localité de Saverdun, au sud de la France, nomma sa concession Fief-de-Verdun en souvenir de son lieu d’origine.
Station De l’Église Origine du nom de la station De l'Église L’avenue qui a donné son nom à cette station est une des plus anciennes voies de ce secteur. Son tracé figure sur une carte de 1834 mais aucun nom ne l’identifie. Elle est alors le seul lien entre la côte Saint-Paul (l’actuelle rue Saint-Patrick) et le chemin de la Rivière-Saint-Pierre (l’actuel boulevard LaSalle). Une carte de 1879 identifie l’actuelle avenue de l’Église comme le chemin de la Côte-Saint-Paul. Nous ignorons en quelle année le nom d’Avenue de l’Église lui fut attribué, mais ce changement fait suite à la construction de la première église Saint-Paul.