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La suite des nombres de FIBONACCI. La suite des nombres de Fibonacci est une suite de nombres qui est en fait la somme des deux nombres précédents de la suite: 1 ; 1 ;. 2. ; 3. ; 5. ; 8. ; 13. ; 21. ; 34. ; 55. ; 89. ; 142. ; 231. Notre sujet était divisé en plusieurs parties :
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La suite des nombres de FIBONACCI
La suite des nombres de Fibonacci est une suite de nombres qui est en fait la somme des deux nombres précédents de la suite: 1 ; 1 ; 2 ; 3 ; 5 ; 8 ; 13 ; 21 ; 34 ; 55 ; 89 ; 142 ; 231
Notre sujet était divisé en plusieurs parties : • Étudier le reste des nombres de Fibonacci. • Nous allons ensuite parler du triangle de Pascal. • Nous avons en plus prouvé trois identités en rapport avec la suite. • Enfin, en étudiant de près la suite, nous avons découvert une propriété intéressante.
Les cas ou le reste de la division euclidienne entre Fn et Fm est zero Si l’ondivise un nombre de la suite par un autrenombre de la suite, on retrouvedans les restes des divisions euclidiennes la suite de Fibonacci.
Le Triangle de Pascal • Le triangle de Pascal est un outil mathématique créé de cette manière :
Pour retrouver les nombres de la suite de Fibonacci dans le triangle de Pascal, il faut faire la somme des chiffres de la diagonale ascendante du triangle.
Des identités: Nous avons prouvé les identités suivantes :
La récurrence La récurrence est une méthode pour montrer que des identités sont vraies pour tous les nombres. Cette méthode se fait en deux parties. - Tout d’abord on prouve que l’identité est vraie avec 1 Initialisation - Ensuite on prouve que pour tout nombre l’identité est vraie pour le nombre suivant Hérédité. Par exemple, si cela marche pour un nombre, cela marche pour le prochain. C’est-à-dire que, quand elle marche pour 1, elle marche pour 2 et si elle marche pour 8 elle marche pour 9 ...
Une identité basée sur la suite fibonacci • Pour l’identité suivante on a : • Pour n=1 on a : • car
Exemple pour bien comprendre Pour n = 5 on a donc :
Et × = 1×1 = 1 donc pour n=1 l’identité est vraie. On suppose que l’identité est vraie pour tout n appartenant à N : On suppose que cela marche pour n et on montre que c’est vraie pour n+1 ce qui revient à montrer que :
On calcule : = = = • =
Le chercheur, Qimh, nous a dit de nous pencher sur : Fn/Fn-1 Dès lors, nous avons remarqué un rapport qui se rapprochait de plus en plusde 1,618033989. Nous l’avons alors mis dans le convertisseur de Plouffe, et il nous a donné : Or, cela ne disait rien à de pauvres élèves de seconde tels que nous. Nous avons donc (avec un peu d’aide, je vous l’accorde) décidé de résoudre l’équation suivante :
Nombre d’or Nombre en bois (C’est en fait l’inverse du nombre d’or au signe près)