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LE CAPITAL INVESTISSEMENT EN TUNISIE AFS 2012 Jeudi 26 Avril 2012

LE CAPITAL INVESTISSEMENT EN TUNISIE AFS 2012 Jeudi 26 Avril 2012. ____________________________________________________________________________________________________________. SOMMAIRE LE CAPITAL INVESTISSEMENT INDICATEURS CLÉS RECOMMADATIONS & SYNTHESES.

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LE CAPITAL INVESTISSEMENT EN TUNISIE AFS 2012 Jeudi 26 Avril 2012

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  1. LE CAPITAL INVESTISSEMENT EN TUNISIEAFS 2012Jeudi 26 Avril 2012

  2. ________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________ • SOMMAIRE • LE CAPITAL INVESTISSEMENT • INDICATEURS CLÉS • RECOMMADATIONS & SYNTHESES LE NOUVEAU PAYSAGE DU CAPITAL INVESTISSEMENT EN TUNISIE

  3. ________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________ • Le Capital Investissement est un mode de financement en fonds propres d’entreprises non cotées quelque soit son stade de développement. • Phase d’intervention du capital investissement • Capital amorçage  • Consiste en l’apport de capitaux propres à des entreprises en cours de création et qui présentent un • fort potentiel de croissance. • Capital risque  • Prises de participation, temporaires et minoritaires dans des entreprises non cotées nouvelles ou en • phase de création afin de dégager ultérieurement des plus-values. • Capital développement  • Investissement en fonds propres d'une entreprise à fort potentiel ayant déjà atteint la maturité et • destiné à permettre une nouvelle phase de développement. • Capital transmission  • Financement (avec effet de levier) de la cession d'une entreprise non cotée établie de longue date, • souvent à l'occasion du départ à la retraite du dirigeant fondateur, ou encore d'un renouvellement • des cadres dirigeants. I. LE CAPITAL INVESTISSEMENT EN TUNISIE

  4. ________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________ • La nouvelle loi du Capital Investissement (99-100-octobre 2011) a apporté certaines améliorations • relatives aux dysfonctionnement de l’activité. • * Nouveau cadre juridique et fiscal • * Séparation du cadre d’exercice et fiscal • * Élargissement du champ d’activité • * Intégration maîtrisée des instruments de dettes • Les attentes des opérateurs sont importantes vis-à-vis du législateur et du gouvernement pour • booster l’industrie du Capital Investissement et la rendre une composante essentielle du • développement économique de la Tunisie. • Le Capital Investissement est un levier de croissance et de développement important pour la Tunisie. • Après la révolution du 14 janvier les SICAR et les FCPR continuent à investir et à créer de l’emploi • malgré le contexte économique et social assez délicat. • Le Capital Risque est le principal outil de création de société dans les régions et tous les opérateurs • Tunisiens (SICAR Bancaires, SICAR Régionales et Fonds) y ont contribué en 2011. I. LE CAPITAL INVESTISSEMENT EN TUNISIE

  5. ________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________ • Le rôle des SICARS et FCPR • Rôle macro-économique • Création d’entreprises • Développement et renforcement de la taille et de la compétitivité des entreprises existantes • Accompagnement et suivi financier et stratégique des entreprises et des promoteurs à fort • potentiel • Effets induits • Création et pérennisation des emplois • Renforcement et professionnalisation du management • Renforcement des pratiques de bonne gouvernance des entreprises • Contribution au développement et à la liquidité du marché de capitaux • Renforcement de la capitalisation du tissu économique tunisien • Réalisation de rendements et TRI supérieurs à ceux du marché afin de compenser les • investisseurs pour le caractère risqué de l’investissement en capital I. LE CAPITAL INVESTISSEMENT EN TUNISIE

  6. II. Indicateurs clés _________________________________________________________________________________________________________

  7. ________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________ Approbations totales sicar-fonds 2009-2011 II. Indicateurs statistiques clés Malgré le contexte économique national difficile, les approbations totales ont affiché sur la période 2010-2011 une amélioration en nombre (+3%) et en montant (+22%)

  8. II. Indicateurs statistiques clés ____________________________________________________________________________________________________________ Investissements total sicar-fonds 2009-2011 Le Capital Investissement en Tunisie a financé 2000 Entreprises jusqu’à fin 2011 pour un volume cumulé de participations brutes à hauteur de 1,2 Milliard de dinars

  9. III. Indicateurs statistiques clés ____________________________________________________________________________________________________________ Nombre d’emplois créés/Operateur 2009-2011 Total: 8 515 Total: 10 113 Total: 13 035 2009 2010 2011 L’investissement direct en Capital Risque a crée en 2011 plus que 10 000 postes d’emplois, soit une progression nette de 19% par rapport à 2010

  10. II. Indicateurs statistiques clés ____________________________________________________________________________________________________________ Investissements total/Operateur/Champs d’intervention 2011 En 2011, l’effort d’investissement se concentre toujours en nombre et en montant sur la création (respec 67% et 39%) et le développement des entreprises (respec 33% et 61%)

  11. II. Indicateurs statistiques clés ____________________________________________________________________________________________________________ Structure du volume des investissements/operateur 2009-2011 2009 2010 2011 • A partir de 2009, les SICAR Bancaires représentent plus de 2/3 de l’activité du capital • Investissement. • En 2011, les SICAR de Groupes ont gagné plus de 20 pts pour atteindre une part de • marché de 36% avec un montant de 45,85 Million de dinars.

  12. II. Indicateurs statistiques clés ____________________________________________________________________________________________________________ Ressources disponibles des operateurs 2009-2011 Evolution des Ressources des Opérateurs (En MDT) Cumul2008 2009 2010 2011 Cumul2011 • Les Ressources mobilisées (Fonds et Capital) Continuent de progresser selon un taux • soutenu sur les trois dernières années (TCMA de 19%) pour atteindre en 2011 un • montant 1,37 Milliard de dinars.

  13. Analyse des investissements cumulés par cadre juridique à fin 2010 Répartition Capital Développ. Répartition Capital Risque • En termes d’investissements cumulés à fin 2010, le capital risque et le capital Développement ont représenté 91% de l’activité des opérateurs du CI. Ces deux cadres ont été financés pratiquement à raison de 50% secteur Privé et 50% secteur Public. • Les SICAR Bancaires ont investi davantage en Développement qu’en création: Elles ont représenté, en cumulé, 50% de l’activité capital risque et 81% de l‘activité capital développement. • La focalisation des SICAR Régionales sur le capital risque en termes d’investissement: Elles ont représenté 16% de l’activité capital risque versus 4% seulement de l’activité capital développement. • Les FCPR et Fonds d’amorçage ont représenté 5% de l’activité capital risque et 8% de l’activité développement. • Les SICAR de groupe ont financé 29% des investissements en capital risque versus 7% en termes de développement.

  14. Analyse des investissements cumulés par cadre de financement à fin 2010 Cumul 2010 Répartition des Participations dans les ZDR • Les investissements dans les ZDR, affichant une allure ascendante entre 2008 et 2010, ont représenté 35% du total investissement cumulé à fin 2010. • Une faible participation dans l’ innovation avec seulement 4% du total investi. • Les investissements dans les PME et FOPRODI représentent ensemble 25% du total investi. • La répartition des investissements cumulés au 31/12/2010, affiche une nette prépondérance des SICAR bancaires avec 83%.

  15. Les investissements dans les ZDR et dans l’Innovation -64% Investissements annuels en ZDR entre 2008 et 2010 Investissements annuels en innovation entre 2008 et 2010 +53% +23% +113% Structure des montants investis en ZDR par opérateur en 2010 Structure des montants investis en Innovation par opérateur en 2010 • Une nette évolution des montants investis en ZDR entre 2008 et 2010 (23% en 2009 et 53% en 2010). • Une évolution des montants investis en Innovation de 114% en 2009 puis une régression de 64% en 2010 .

  16. Indicateurs statistiques clés _____________________________________________________________________________________________________ Investissements sicar et fonds en Innovation cumul 2007-2010 Les opérateurs du Capital Investissement ont financé 50 projets NTIC sur la période cumul 2007-2010, soit 2,80% du total projets pour un montant de 43 315 M.D, soit 4% du total investi. Le financement de l’innovation a été effectué à hauteur de 92 % par le secteur Privé et 8% par le secteur Public

  17. Indicateurs statistiques clés ___________________________________________________________________________________________________ Structure des investissements en Innovation/operateur cumul 2007-2010

  18. II. Indicateurs statistiques clés ____________________________________________________________________________________________________________ Nombre de projets &Ticket moyen/Operateur 2009-2011 Évolution du nombre des investissements par opérateur entre 2009 et 2011 Analyse des Tickets moyens par opérateur (en MD) 2009-2011 T.M 2010: 665 m.D T.M 2009: 831 m.D T.M 2011: 583 m.D Total: 257 Total: 251 Total: 218 2009 2010 2011 • Le Ticket Moyen sur les trois dernières années tourne autour de 700 m.D. • Les SICAR Régionales présentent les tickets les plus faibles avec une moyenne à • hauteur de 185 m.D.

  19. Délais de récupération des investissements dépassant la moyenne théorique -32% Évolution annuelle des désinvestissements (MD) Évolution des Investissements bruts (MD) +12% +91% Désinvestissements/Investissements bruts de l’année Cumul 2007 2008 2009 2010 Cumul 2010 Investissements (MD) Dotation nette (MD) • Le TCMA des désinvestissements sur les 3 dernières années est de 11% largement inférieur à celui des investissements qui est de 20%. • Le délais de récupération (désinvestissements/investissements bruts cumulés) a été ramené à 11.2 ans (soit une amélioration de 7 ans) en 2008, il a augmenté ensuite à 21.5 en 2010.

  20. Principaux enseignements • Les ressources mobilisées (fonds et capital) continuent de progresser selon un taux soutenu (TCMA sur les trois dernières années de 19%) pour atteindre 1,37 milliards TND en 2011 • Le Capital Investissement en Tunisie a financé jusqu’à fin 2011 plus de 2.000 entreprises pour un volume cumulé de participations brutes de plus de 1,192 Milliard de dinars. Si le nombre d’entreprises soutenues est en stagnation,les montants investis sont en recul en 2010 et en 2011. • Un recul dans le volume des investissements en 2011 lié à la détérioration du climat des affaires. • L’effort d’investissement se concentre toujours sur la création et le développement des entreprises (91% des investissements). A l’inverse, les opérations de transmission et de retournement sont quasi absentes. • Les investissements dans les ZDR représentent environ 35% des investissements cumulés à fin 2010. • Les investissements dans l’innovation ne représentent que 4% des investissements cumulés à fin 2010. • Les opérations de désinvestissements sont en repli . Ceci implique que les conditions de sortie demeurent très difficiles.

  21. Recommandations et synthèses • Le champ d’action du RICTIC est cantonné aux technologies de l’information, et l’on peut penser que des projets innovants impliquant d’autres technologies (par exemple les biotechnologies) mériteraient d’être éligibles à ce type d’intervention. • Le traitement fiscal du financement de l’innovation au même titre que celui des projets en zone de développement régional ‘est dire dégrèvement fiscal 100% sans minimum d’impôt et intégration dans les ratio d’emplois de 75% des sicars • L’instauration du capital de proximité qui est composé d’une part de fonds d’investissement ( Sicars FCPR et autres) et qui peut avoir un caractère régional, d’autre part d’épargne de « business angels » prêts à s’investir dans des projets réalisés par des promoteurs proches, ou au moins connus. Il joue, dans beaucoup de pays, un rôle essentiel dans les créations d’entreprise, particulièrement les entreprises innovantes. • Les « business angels », sont des personnes « fortunées », qui ont souvent une expérience de management d’entreprise et le goût du risque, ils recherchent des investissements rentables, mais le profit n’est pas leur seule motivation. Aux USA la contribution des Business Angels est identique à celle des venture Capital

  22. Recommandations et synthèses • Ces mécanismes commence à peine à exister, en Tunisie ; dans l’optique d’une politique volontariste de création d’entreprises innovantes, il paraît nécessaire de poser les premiers jalons qui en permettront un développement progressif. • Pour réussir un projet innovant il faut réunir les 5 conditions fondamentales à savoir : investissement privé-public; concurrence, réglementation souple, libre accès à l’information et service universel • L'investissement initial n'est pas très important; les ressources nécessaires iront là où existeront de bons plans d'entreprise et des opportunités d'investissement . Il y a des capitaux qui ne demandent qu'à être investis dans des projets innovants qui feront tomber considérablement le coût de l'accès à l'information et aux connaissances . L’innovation peut aider nos entreprises à surmonter certains obstacles qui entravent leur développement. • Le prix des technologies avancées chute devant la concurrence. Nos entreprises peuvent entrer dans l'ère de l'innovation à un point plus élevé sur la courbe de l'apprentissage et à un point plus bas sur la courbe des coûts.

  23. Merci de votre attention67, rue Alain SAVARY-immeuble B. 3èmeétage-Cité des jardins -1002 TunisTél : +216 893 870- Fax : +216 893 885 - E-mail : associationsicar@gnet.tn

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