260 likes | 371 Views
La conscientisation de jeunes de l’ARVM par rapport aux faits génocidaires. Grandjean Geoffrey Aspirant du Fonds de la Recherche Scientifique – F.N.R.S. Université de Liège 5 Juin 2009. Introduction. Le 16 février 2009 : 4GA Le 2 mars 2009 : 6G Qu’en avez-vous pensé ? Pourquoi ?.
E N D
La conscientisation de jeunes de l’ARVM par rapport aux faits génocidaires Grandjean Geoffrey Aspirant du Fonds de la Recherche Scientifique – F.N.R.S. Université de Liège 5 Juin 2009
Introduction • Le 16 février 2009 : 4GA • Le 2 mars 2009 : 6G • Qu’en avez-vous pensé ? • Pourquoi ?
De la Mémoire à la conscientisation • Mémoire et oubli (Tzvetan Todorov) • Que reste-t-il de la transmission des faits génocidaires ? • Pour y répondre : comment des jeunes raisonnent sur cette question ? • Un processus de conscientisation se met en place : il aboutit à l’adoption ou non de certains comportements ou certaines attitudes, notamment politiques, par ces jeunes
Présentation de profils • Des indicateurs vont permettre de déceler la présence ou non d’une conscientisation : • Le choc • La relativité • La facétie • Le souvenir • D’abord 4GA et ensuite 6G (Attention, seulement cinq élèves ont été sélectionnés).
Une absence de conscientisation parmi les élèves de quatrième ?
Le choc • Traumatisme ou non présent chez le jeune suite à ce qu’il a vu ou entendu concernant les faits génocidaires. • Émotion bien présente.
La relativité • Manière dont les jeunes lient certains faits historiques et actuels avec les faits génocidaires et la manière dont ils les hiérarchisent. • Les élèves de quatrième n’ont pas encore toutes les clés en main pour établir des parallèles avec d’autres faits historiques. Par contre, ils peuvent le faire avec l’actualité. C’est ainsi le cas de GA10. Par contre, PI11 semble plus réservé et plus enclin à voir dans les faits génocidaires une certaine spécificité n’établissant pas ainsi certains parallèles. • Guantanamo et meurtre à Termonde
La facétie • Facétie (ou plaisanterie) avec laquelle ces jeunes parlent des faits génocidaires. • Les élèves de cette classe de quatrième parlent de ces faits avec beaucoup d’humour et de légèreté. • Facétie limitée • Peut-être de la timidité
Le souvenir • La manière dont les jeunes abordent la question du souvenir et de la transmission des faits génocidaires à d’autres personnes. • Faible « psychologisation de la mémoire » (Pierre Nora) et canaux traditionnels de transmission du passé : témoignages, livres, films…
Tableau récapitulatif Faible conscientisation Forte conscientisation
Merci pour votre attention ! Vous avez des questions ?