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Risques et information Parallèle entre l’aide humanitaire d’urgence

Risques et information Parallèle entre l’aide humanitaire d’urgence et la prévention des risques industriels. Plan. Introduction Contexte de l’aide d’urgence Information et système d’information en aide d’urgence Travail collaboratif et aide d’urgence : l’expérience « Groove » Conclusion.

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Risques et information Parallèle entre l’aide humanitaire d’urgence

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Presentation Transcript


  1. Risques et information Parallèle entre l’aide humanitaire d’urgence et la prévention des risques industriels

  2. Plan • Introduction • Contexte de l’aide d’urgence • Information et système d’information en aide d’urgence • Travail collaboratif et aide d’urgence : l’expérience « Groove » • Conclusion

  3. Risques majeurs • Risques technologiques • Risque industriel • Risque nucléaire • Risque biologique • Rupture de barrage • Risques naturels • Avalanche • Feu de forêt • Inondation • Mouvement de terrain • Cyclone • Tempête • Séisme et éruption volcanique • Épidémies/pandémies • Risques de transports collectifs • Personnes • Matières dangereuses Risques liés aux conflits Urgences complexes • Risques de la vie quotidienne • Accidents domestiques • Accidents de la route... Risques d’origine humaine Risques d’origine naturelle Risques : typologie générale

  4. Retour d’expérience : trois messages forts • L’information (circulation, traitement) est au cœur des problématiques de risques. • Les stratégies d’action vis-à-vis des risques doivent être globales (structurelles et pas seulement conjoncturelles), programmées (anticipation – réponse – sortie de crise, i.e. : prévention – intervention – réhabilitation) et adaptées. • La dimension complexe et multivariable du risque impose un travail coordonné d’équipe (partage de l’information, répartition des responsabilités et des tâches) dans un environnement sous fortes contraintes (obligation de délais et de résultats), donc une approche projet (travail collaboratif).

  5. Aide d’urgence : définitions Emergency ”An extraordinary situation in which people are unable to meet their basic survival needs, or there are serious and immediate threats to human life and well-being” (FAO's Emergency Activities, Technical Handbook Series) • Complex emergency • ”A humanitarian crisis in a country, region or society where there is a total or considerable breakdown of authority resulting from internal or external conflict and which requires an international response that goes beyond the mandate or capacity of any single agency and/or the ongoing UN country programme” (UN-IASC). • Common characteristics include (relief agencies perspective): • many civilian casualties, and populations besieged or displaced; • serious political or conflict-related impediments to delivery of assistance; • inability of people to pursue normal social, political or economic activities; • high security risks for relief workers; and • international and cross-border operations affected by political differences.

  6. Aide d’urgence Aide totale 1970 1987 1996 En dépenses 3,5 % 9,5 % En volume 10 % 41 % (Source IFPRI) Aide d’urgence : quelques chiffres • In 2000, WFP fed 83 million people in 83 countries, including most of the world's refugees and internally displaced people (Horn of Africa Drought 2000: 16 million lives threatened) • In 2000, WFP food aid reached 43 million people caught up in the ever-widening net of humanitarian disasters • In the 1990s, the share of global aid budgets devoted to disaster relief and humanitarian aid climbed by more than 500 percent.

  7. OCHA, système UN • Grosses ONGs Appel à donations • Gouvernements • Agences internationales • ONGs Dons en espèces • Bailleurs de fonds • (ECHO, USAid, etc...) • Collecte • lancement de l’appel d’offre • réponses à l’appel d’offre • adjudication • achat Dons en nature Achats WFP, EURONAID Mobilisation : (Transport / stockage) • Fabricants • Courtiers • transitaires • centres de stockage • agences de contrôle • EURONAID • . . . UNHCR EDP Camps de réfugiés ONGs Distribution Aide d’urgence: chaîne d’approvisionnement alimentaire

  8. Aide d’urgence : camps de réfugiés et EDP

  9. Aide d’urgence : distribution alimentaire

  10. De l’insécurité alimentaire à la malnutrition

  11. RESOURCES Different levels of Information supports Media Public audience Donors Informative Vertical (sup.) Suppliers MOBILIZING Headquarters UN agencies, ONGs ORGANIZING Institutional Vertical (inf.) IMPLEMENTING Horizontal Implementing partners OPERATING Operational Individual Beneficiaries RESULTS Tracking system Mobilisation de l’aide alimentaire : différents niveaux de support et de suivi de l’information

  12. évaluation de l’impact et des besoins • secours • prévention • préparation & mitigation • alerte précoce Prévention et systèmes d’alerte rapide Urgence Information Développement Réhabilitation • rétablissement et développement durables • réhabilitation • reconstruction Place des systèmes d’information dans les différentes phases de l’urgence

  13. évaluer définir extraire collecter actualiser / adapter agir SITUATION D’URGENCE observer archiver analyser agir mettre en forme diffuser Chaîne de traitement de l’information en aide d’urgence

  14. Un serveur et ses clientsL'information est disponible uniquement sur le serveur. Pour la consulter, tous les visiteurs (clients) se connectent sur la même machine. Système peer-to-peerTout utilisateur peut se connecter et récupérer des fichiers sur tous les ordinateurs des autres utilisateurs. Chaque utilisateur est donc à la fois client et serveur. Deux alternatives : l’approche « client/serveur » vs. l’approche « peer to peer »

  15. FAO present workflow for disseminating information on emergencies through Internet: top/down portal to knowledge FAO headquarters / regional & liaison offices dynamic interface FAO website / warehouse dynamic interface dynamic interface Others FAO-related organizations Media, public audience FAO members, UN agencies, donors dynamic interface Field-based implementing partners NGOs, companies, educational & research centers Approche « client/serveur » : exemple du système WAICENT (FAO) (1/2)

  16. Suggested extension of worflow : dynamic interface as an interactive loop for disseminating/sharing information on emergencies FAO Others headquarters / regional & liaison offices media, public audience FAO website / warehouse Field-based implementing partners FAO-related organizations NGOs, companies, educational & FAO members, UN agencies, donors present worflow research centers suggested extension of worflow expected increase of interactivity secured dynamic interface Approche « client/serveur » : exemple du système WAICENT (FAO) (2/2)

  17. Cinq challengesposés par l’utilisation d’architectures clients/serveurspour la gestion de crises en environnements austères(d’après R. Kirkpatrick, Groove) • Accessibilité : les serveurs sont parfois difficiles à atteindre • Réactivité : les quartiers généraux peuvent être lents à réagir • Adaptabilité : la flexibilité vaut souvent mieux que la planification • Interactivité : les équipes se forment spontanément • Indépendance : les serveurs ne sont pas de “véritables terrains neutres”

  18. Approche « peer to peer » : présentation de la plateforme Groove(http:///www.groove.net) Voir la démo d’interactivité à distance(cliquer sur « watch a demo »)

  19. Approche « peer to peer » : application de Groove à des environnements austères (situations de crise) • Caractéristiques de la plateforme Groove : • collaborative • sécurisée • distribuée • asynchrone (mais aussi synchrone) • adaptée à des “environnements austères” • plateforme intégrée

  20. Utilisation de Groove lors de la dernière guerre d’Irak : chargement de la plateforme avant intervention

  21. Environnement Groove de gestion des crises humanitaires Caractéristiques de base des formulaires types • Caractéristiques de base: • Héritage automatique des valeurs de champs entre les formulaires parents et les formulaires enfants. • Champ d’identification (ID) unique et auto généré. • Listes de champs à saisir par l’utilisateur. • Identificateur de dernière modification en fin de fiche d’enregistrement, incluant l’heure GMT. • Déclenchement d’alertes quand certaines conditions sont réunies (ex. Fonctions vitales d’un patient à des niveaux critiques). • Système d’impression masquant les sections vides de façon à soulager les imprimantes.

  22. Quelques exemples de formulaires disponibles • Bulletins d’alerte • Fiches d’incidents • Blessés • Populations déplacées • Evaluation globale rapide • Evaluation médicale rapide • Evaluation sanitaire de l’eau • Atteintes aux droits de l’homme • Fiches contacts • Fiches organisations • Ressources des organisations • Disponibilités médicales • Fiches de demande produits • Logistique médicale • Echange de documents

  23. Fiche contact

  24. Echange de documents (ex. rapports médicaux)

  25. Blessés (1/3) Déclaration

  26. Blessés (2/3) Demande d’évacuation

  27. Blessés (3/3) Transport

  28. Formulaire inter-agences d’évaluation globale rapide

  29. CONCLUSION • Aujourd’hui, la technique existe et n’est plus un facteur limitant • Désormais, le problème est plus d’ordre organisationnel et politique, au sens de l’existence ou non d’une volonté collective et individuelle de partager l’information • La technique redonne ainsi à l’homme une place centrale dans les mécanismes d’information, d’échange, d’apprentissage et de décision

  30. « L’information n’existe pas en soi ; elle est toujours liée à des valeurs, intérêts, et à une représentation de la société qui varie dans le temps et dans l’espace, ainsi qu’à des rapports de pouvoir. Il ne suffit pas d’échanger des informations pour se comprendre. Or, le récepteur de l’information n’est pas plus neutre que l’information n’est universelle. La communication n’est pas une simple transmission d’information. Passer de l’information à la communication, c’est sortir de la technique et de ses performances pour aborder la réalité et sa diversité. C’est cela l’enjeu du XXIème siècle : passer d’une problématique des systèmes d’information à l’obligation de construire une cohabitation culturelle. Le réseau reste une problématique : il relie des communautés et des individus qui ont quelque chose en commun, alors que la cohabitation culturelle reconnaît la nécessité de gérer l’altérité. » d’après Dominique Wolton

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