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ALTA NITSA. COUVERTURE + RAV ELIHAOU. JEUNES. Par les jeunes de l’A.T.I.S . Numéro :12 Michpatim Début : 17h12 Fin : 18h17. Juge: l'esprit ou la lettre ?
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ALTA NITSA COUVERTURE + RAV ELIHAOU JEUNES Par les jeunes de l’A.T.I.S Numéro :12 Michpatim Début: 17h12 Fin: 18h17 Juge: l'esprit ou la lettre ? La Paracha de Michpatim évoque le sujet essentiel qu'est le code civil et pénal de la Torah. Dès le début de la Paracha, le premier Passouk"Et voici les jugements que tu placeras devant eux" semble déjà prêter à confusion. En effet, cette expression « placer devant eux » semble déconcertante voire inappropriée car elle s'applique habituellement à des choses matérielles alors que les Michpatim sont des concepts théoriques. Les « Michpatim » ne se « placent » pas tels des objets, ils s'énoncent, se présentent ou se transmettent.. Dès lors, comment expliquer le choix des termes de la Torah dans ce premier Passouk ?! Rachi rapporte la GuémaraErouvin 54b qui explique que Moché a reçu l’ordre d’enseigner la Torah jusqu'à ce qu’elle soit parfaitement claire et en ordre dans l'esprit des Bné Israël. Il s'agit de placer les mots dans leur bouche de manière à leur faire comprendre les raisons de la loi et sa signification. On retrouve la métaphore de la « table dressée » et prête devant l’homme pour manger. Moché doit ainsi faire plus que répéter le chapitre ou la Halah’a sans se consacrer à leur faire comprendre la logique et le sens de chaque verset La locution " TaameiHadavarOupiroucho" signifie ainsi que tout doit être assimilé, « prêt à être servi » pour les Bné Israël. Comment expliquer l’inexplicable cependant ? Qu’est ce qu’Hachem demande au maître Moché ? Hachem demande à MochéRabénou une chose des plus extraordinaires : Toutes les lois sont pour l’homme est l’homme est supposé être sensé, faire preuve de réflexion. Par conséquent, si les Taamé et le Pirouch sont manquants, le sens s'en trouve perdu et tout cela est « inconsommable », inhumain.. Tout le talmud traitant du code civil et pénal est fondé sur des déductions logiques faites à partir du texte de la Torah, d’où sa complexité et la difficulté d'en comprendre l’entièreté. C'est cela, pourtant, qui donne en réalité une place incontestable à l’étudiant et au juge rabbinique, car, puisque la logique et le sens sont primordiaux à tout enseignement, cela signifie que l’Homme doit utiliser ses capacités intellectuelles et non pas se contenter de « mémoriser » bêtement des enseignements. La Torah donne une certaine liberté au juge pour mettre en pratique son jugement.
Pour quelle raison ? Elle place le juge en face de ses responsabilités et de sa décision. Le juge doit épouser le texte de la Tora en lui donnant un sens logique et une clarté de décision implacable car dictée par la rationalité de sa déduction. Lorsqu'on étudie ces lois de la Torah et leurs éclaircissements par les H’ah’amim dans le Talmud, le Rambam et même le Choulh’anArouh’ (traduction : table dressée), on remarque ains que chacun cherche la raison et la logique dans la loi. C'est de cette manière et suivant ce modus operandi que doit être étudié et approfondi chaque texte pour « passer à table », la « table dressée » de la loi.. RavEliyahou ילקוט יוסף 16. Il est interdit de profiter de la réparation d’un court-circuit effectuée pendant le Chabat. De même, est-il interdit de profiter d’une réparation de ce genre dans un immeuble en copropriété(s’il n’y a parmi les copropriétaires aucun malade grave dont l’état exige l’utilisation d’appareils électriques). Le cas échéant, il faudra retirer de la plaque chauffante tous les aliments dont la cuisson n’était pas achevée pour éviter que l’ouvrier qui rétablit le courant ne transgresse également l’interdiction de cuire. On retirera également tout aliment liquide. Tout ce qui était posé sur la plaque et n’était pas complètement cuit avant la panne et dont la réparation a achevé la cuisson, est interdit à la consommation pendant tout le Chabat. Mais si l’aliment était cuit et que la réparation a seulement permis son réchauffement, on pourra le consommer une fois refroidi. Il n’y a pas de différence si la réparation a été faite avant que l’aliment ait refroidi ou après: dans les deux cas, il faudra attendre qu’il ait refroidi pour le consommer. La hala’ha de la semaine est dédiée à la mémoire de RAV OVADIA YOSSEF Z’’L hnwm 13. Hillel disait aussi : « Celui qui veut se faire un nom en perd sa renommée. Celui qui n’ajoute plus rien est à son terme. Celui qui ne cherche pas à s’instruire est passible de mort. Celui qui instrumentalise la couronne de la Tora en périra. » La michna de la semaine est dédiée à la mémoire de CHALOM BEN AVRAHAM Z’’L
Les 10 paroles : une fin ou un début ? Une des idées reçues les plus répandues, dans le judaïsme est celle consistant à faire des 10 paroles (« commandements ») les lois les plus importantes de la Torah. Or, accepter un tel postulat et le fait que ces lois soient supérieures aux autres mitsvotssoulève une question légitime : La Torah ne peut-elle être réduite à ces 10 paroles sans ajouts superflus ? Les lois des 10 Paroles ayant défini les règles de comportement, il aurait suffi d'y ajouter les règles fonctionnelles du Temple et des sacrifices pour être totalement exhaustif et basta ! Astaluego… …Que nenni ! La Torah a préféré faire suivre des lois (les 10 paroles) par d’autres lois (celles de michpatim). Plus encore, le terme « ואלה» qui signifie « et voici » qui est le premier mot de la Paracha induit une explication sous-jacente : Rachi justifie l'emploi de ce « et » inaugural pour induire que les lois suivantes se rajoutent aux premières qui sont les 10 paroles. Au même titre que les 10 paroles sont des lois à ne négliger en aucune sorte, les lois exposées dans cette sidra revêtent d’une importance comparable. Il n’y a donc pas de lois plus essentielles et chacune d’elles sont chères aux yeux d'HakadochBarou'h Hou. Par ailleurs, nous pouvons approfondir une loi figurant deux fois dans Michpatim : celle enjoignant qu’on ne doit ni oppresser (til’hatz), ni offenser (tonéh) l’étranger qui vit dans ton pays (Chémot 22:20 et 23:9). Car nous-mêmes, Bné Israël, avons été des étrangers (quoique esclaves par la suite) en terre d'Egypte. Cette explication laisse ainsi à penser que cette loi ne s’applique qu’en érets Israël, mais certainement pas en Galout, où le juif est lui aussi étranger et exilé de son pays. Or, étonnamment, Rachi précise qu’à chaque fois que le mot « Guèr » est employé, il signifie un homme qui n’est pas né dans ce pays-même mais vient d’un autre pays pour y habiter. Cela signifie que cette loi est beaucoup plus étendue qu'on ne pourrait la comprendre au premier abord et s'apparente à une condamnation sans équivoque de la xénophobie, que l'on soit autochtone ou non. Et l'on rencontre là une caisse de résonance avec un problème de société majeur aujourd’hui où chaque immigré est considéré comme un clandestin, un étranger, qu’il faut à tout prix exclure de son environnement avec comme leitmotiv le slogan frontiste « La France au français ». La Torah, selon cette interprétation pchatique du commentaire de Rachi, ne semble pas aussi catégorique à ce sujet. Esprits critiques, indignez-vous… A cela peut s’ajouter le verset dans kitetsé (Dévarim 23:8) qui nous impose d’aimer l’édomïte car il est notre frère, et l’égyptien car nous avons été étrangers dans son pays. La xénophobie : pas quelque chose de simple pour un bon juif J EliahouMenah’em . NETANEL ET 1 CHACUN QUIZZ Que fait un maître à son esclave si ce dernier veut rester plus de 6 ans ? à qui appartiennent les enfants d’un esclave si il les à eut lorsque qu’il était chez son maître ? quelles sont les 2 punitions possibles pour un meurtrier(volontaire ou non) ? quelles sont les 5 choses qu’un endommageur doit payer à l’endommagé ? Quel sort doit-on réserver aux sorcières ? Quelle Mitsva en rapport avec la terre d’Israël est mentionnée dans notre Paracha
REPONSES MR OUSSADON + QUIZZ OU ANNONCES Il lui perce l’oreille et l’esclave restera jusqu’au ‘’Yovel’’. ils appartiennent aux maître. -volontaire: la mort. –involontaire: l’exil dans une ville de refuge. 1: le dommage. 2: la douleur. 3: le chômage. 4: la honte. 5: les honoraires (frais du médecin). on doit (le ‘’Beitdin’’) les tuer. la mitsva de la ‘’Chmita’’. Envoyer nous les noms de proches, malades ou décédés, pour les marquer dans le numéro spécial de ‘’Vayikra n°18’’ pour leur RéfouaChéléma ou pour l’élévation de leur âme. Pour plus d’infos : altanitsa.e-monsite.com www.atis-nice.com www.mikve-nice.fr ou au 04 93 80 58 96 www.atis-nice.comaltanitsa.e-monsite.comwww.mikve-nice.fr Envoyez vos dons à l’A.T.I.S. pour soutenir ce journal qui est rédigé par les jeunes de l’A.T.I.S. À l’adresse: 1bis rue boissy d’anglas Pour plus d’infos : altanitsa.e-monsite.com www.atis-nice.com www.mikve-nice.fr ou au 07 61 34 82 32 04 93 80 58 96 Envoyez vos dons à l’A.T.I.S. pour soutenir ce journal qui est rédigé par les jeunes de l’A.T.I.S. À l’adresse: 1bis rue boissy d’anglas Jeudi: 20h00-21h00: Paracha de la semaine. De Lundi à Jeudi: 17h15-18h15: Guémara BERAHOT Lundi: 20h00-21h00:Guémara CHABAT BEROU’HIMS HABAÏMS CHIOURIMS