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Étendue du problème 1,2 52 à 64 % des patients en médecine familiale ont des difficultés de sommeil 10 à 14 % souffrent d’insomnie sévère qui interfère avec le fonctionnement diurne Aspects essentiels de l’insomnie 3,4 Difficulté à initier ou à maintenir le sommeil
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Étendue du problème1,2 • 52 à 64 % des patients en médecine familiale ont des difficultés de sommeil • 10 à 14 % souffrent d’insomnie sévère qui interfère avec le fonctionnement diurne • Aspects essentiels de l’insomnie3,4 • Difficulté à initier ou à maintenir le sommeil • Sommeil non réparateur malgré un environnement propice • Souffrance ou perturbation du fonctionnement diurne • L’insomnie « chronique » est une insomnie qui dure depuis plus d’un mois3 Qu’est-ce que l’insomnie chronique ? Simon GE, VonKorff M. Am J Psychiatry. 1997;154(10):1417-1423. Terzano MG et coll. Sleep Med. 2004;5(1):67-75. American Academy of Sleep Medicine. ICSD-2; Diagnostic and coding manual. 2005. American Psychiatric Association. DSM-5 Development.
S’informer auprès des patients sur leur sommeil • Identifier l’insomnie • Reconnaître l’insomnie comorbide Diagnostic de l’insomniechronique
Thérapie cognitivo-comportementale de l’insomnie (TCC-I) • Traitement de première intention1-3 • Une série de stratégies afin que les processus biologiques liés au sommeil puissent s’accomplir sans interférence • Efficace chez les adultes, y compris les patients âgés et les patients atteints d’affections comorbides4 • Effets bénéfiques durables (jusqu’à 2 ans)5 Traitementde l’insomniechronique Association médicalecanadienne. Guideline for Adult Primary Insomnia: Diagnosis to Management. (En anglaisseulement) Schutte-Rodin S et coll. J Clin Sleep Med. 2008;4(5):487-504. Wilson SJ et coll. J Psychopharmacol. 2010;24(11):1577-1600. Morin CM et coll. Sleep. 2006;29(11):1398-1414. Morin CM et coll. JAMA. 1999;281(11):991-999.
Stratégiesfondéessur la TCC-I et justification de leurutilisation • .
Modification de l’heure du coucher en fonction de l’efficacité du sommeil Après que le patient ait restreint le temps qu’il passe dans son lit à sa fenêtre de sommeil initiale pendant 1 semaine, l’heure du coucher est modifiée sur la base de l’efficacité du sommeil.
Agonistes des récepteurs des benzodiazépines (BDZ) • BDZ traditionnelles • Sédatifs-hypnotiques non benzodiazépiniques : zopiclone, zolpidem, zaléplon* et eszopiclone* • Débat concernant la durée de la thérapie • Innocuité • Potentiel d’abus et de dépendance • Moins élevé avec les sédatifs-hypnotiques non benzodiazépiniques que les BDZ1-3 • Précaution pour les deux classes de médicaments Pharmacothérapie * Non disponible au Canada Roth T, Roehrs T. Sleep Med Clin. 2010;5:529-539. Wilson SJ et coll. J Psychopharmacol. 2010;24(11):1577-1600. Hajak G et coll, Addiction. 2003;98(10):1371-1378.
Antidépresseurs sédatifs • Recherches peu nombreuses sur l’efficacité et l’innocuité de ces médicaments chez les patients non déprimés • Présentent plus de risques en général que les agonistes des récepteurs des BDZ1 • Taux plus élevés d’arrêt du traitement2 • Aides au sommeil en vente libre • Peu de données probantes sur les bénéfices pour l’insomnie chronique3 • Mélatonine • La libération prolongée peut être utile et sûre; cependant, il y a peu d’études à long terme et la mélatonine n’est pas commercialisée dans cette forme au Canada • La libération immédiate ne s’est généralement pas avérée utile pour l’insomnie chronique • Le rameltéon s’est montré prometteur,4 mais il n’est pas disponible au Canada Pharmacothérapie (suite) National Institutes of Health. Sleep. 2005;28(9):1049-1057. Wilson SJ et coll. J Psychopharmacol. 2010;24(11):1577-1600. MendelsonWB et coll. Sleep Med Rev. 2004;8(1):7-17. Mayer G et coll. Sleep. 2009;32(3):351-360.
Réduction progressive de la dose des agonistes des récepteurs des BDZ afin de prévenir l’insomnie de rebond • Le retrait est plus efficace lorsqu’il est associé à la TCC-I1 Retrait graduel des hypnotiques Morin CM et coll. Am J Psychiatry. 2004;161(2):332-342.