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s'appuie sur les ingalits de la plante, mais elle a aussi tendance les accentuer en favorisant les espaces les plus aptes, les plus dmunis tant marginaliss.. mondialisation. mise en relation des diffrents ensembles gographiques. exploite toute une srie de diffrentiels l'chelle mondiale dans le but de les valoriser.
E N D
1. Un nouveau maillage mondial
2. s’appuie sur les inégalités de la planète, mais elle a aussi tendance à les accentuer en favorisant les espaces les plus aptes, les plus démunis étant marginalisés. Cette logique spatiale préexistait à la mondialisation et ce fut déjà le cas lors de la révolution industrielle ; désormais, c’est l’échelle qui a changé.
Selon la Banque mondiale :
Il y a un milliard d'hommes dans les pays développés, 3 milliards dans des pays qui progressent très vite et 2 milliards dans des pays qui ne progressent pas
Pour plus de 2 milliards d'hommes du Sud, la croissance est de 5 à 8% par an !
Cette logique spatiale préexistait à la mondialisation et ce fut déjà le cas lors de la révolution industrielle ; désormais, c’est l’échelle qui a changé.
Selon la Banque mondiale :
Il y a un milliard d'hommes dans les pays développés, 3 milliards dans des pays qui progressent très vite et 2 milliards dans des pays qui ne progressent pas
Pour plus de 2 milliards d'hommes du Sud, la croissance est de 5 à 8% par an !
3. A. LES CENTRES D’IMPULSION DE L’ECONOMIE MONDIALE : UNE ECONOMIE D’ARCHIPEL 1°) La Triade
4. a) Trois pôles majeurs : Amérique du N + Europe Occidentale et Japon + Corée S
5. b) Des périphéries de proximité intégrées :
6. c) Les pays du « Nord » 1.Les caractères spécifiques du centre
7. ðUn très haut niveau de développement Mode de calcul de l'IDH
1. espérance de vie à la naissance : 25ans - 85 ans ;2. niveau d'instruction formé par la somme de 2 indices :
alphabétisation des adultes : 0% - 100%taux de scolarisation : 0% - 100%
3. PIB réel par habitant : 100$ PPA - 40 000$ PPA (PPA = à Parité de Pouvoir d'Achat).
Exemple du calcul de l'IDH pour le Costa Rica :
- espérance de vie = 76,6 ans => (76,6-25)/(85-25)=0,86- taux d'alphabétisation des adultes =94,7% => 0,97- taux de scolarisation = 68% => 0,68- PIB/hab = 5919$ => (5919-100)/(40000-100)=0,14d'où IDH = (0,86+(0,97+0,68)+0,14 )/3=0,88
(d'après Pascal Boyries, cours de Terminales)
Mode de calcul de l'IDH
8. Les signes du développement
10. ð La capacité à produire et imposer des modèles au reste du monde : sports, culture et loisirs
11. ðDes valeurs démocratiques et libérales : le libéralisme politique + libéralisme économique Un peu de réflexionUn peu de réflexion
12. 2. Une situation hétérogène cependant 2.1. A l’échelle internationale
13. ?L’ensemble est nettement dominé par les EUA seule puissance globale ? 1er rang dans tous les domaines :
économique,
financier,
technique,
culturel,
diplomatique et
militaire
14. ? L’Europe et le Japon partenaires et concurrents mais pas les moyens de projeter leur vision politique du monde Le Japon :
127 millions d’habitants et 13.5 % du RNB mondial
15. L’Europe (UE):
460 millions d’habitants et 27 % du RNB mondial
16. ? Il existe en fait des Nords : Certains pays du Sud ont intégré le Nord ?Taiwan, Corée du Sud, Singapour Albanie et SingapourAlbanie et Singapour
17. 2.2. A l’échelle régionale ou locale Il existe aussi des périphéries dans le centre comme il existe des centres dans les périphéries
Quartiers nord de Marseille et friches de Saint-NazaireQuartiers nord de Marseille et friches de Saint-Nazaire
19. 2°) Les grandes métropoles mondiales Indianapolis, États-Unis douzième ville des États-Unis
Faire émerger les éléments constitutifs d’une grande métropoleIndianapolis, États-Unis douzième ville des États-Unis
Faire émerger les éléments constitutifs d’une grande métropole
20. a) Des pôles urbains de premier plan Qu’est ce qu’une métropole ?
New york manhattanNew york manhattan
21. ð Concentration du pouvoir décisionnel.
Photo montage ParisPhoto montage Paris
22. ðLa métropole s’inscrit dans un réseau hiérarchisé Au cœur d’un réseau urbain hiérarchisé de villes de gabarits inférieurs Traffic on the 405. Los Angeles, California. View from the Getty Center.
Des espaces urbanisés complexes
ð Les métropoles urbaines juxtaposent richesse et pauvreté, puissance et exclusion en leur propre sein.
ð On y retrouve d’importantes inégalités de développement.
ð Ces contrastes et cette société à deux vitesses existent au Nord (banlieues défavorisées, quartiers dégradés) mais les déséquilibres sont particulièrement frappants dans les métropoles du sud (bidonvilles…)
Traffic on the 405. Los Angeles, California. View from the Getty Center.
Des espaces urbanisés complexes
ð Les métropoles urbaines juxtaposent richesse et pauvreté, puissance et exclusion en leur propre sein.
ð On y retrouve d’importantes inégalités de développement.
ð Ces contrastes et cette société à deux vitesses existent au Nord (banlieues défavorisées, quartiers dégradés) mais les déséquilibres sont particulièrement frappants dans les métropoles du sud (bidonvilles…)
24. b) L’archipel métropolitain mondial (AMM) et la polarisation de l’espace mondial
25. 1. 20 à 25 grandes villes au total, organisées en réseau Notion d’archipel : maldivesmaldives
26. ?A la tête de l’Archipel mondial : des villes mondiales de premier ordre : New York, Londres, Paris, Tokyo
27. ? Les autres métropoles majeures du Nord
28. ? Les autres grandes métropoles relais au Sud :
29. 2. Le centre décisionnel de ces métropoles est le CBD, Central Business District, § En plein centre de la ville, reconnaissable à ses gratte-ciel, à son urbanisme vertical
§ Il peut cependant se fractionner avec des développements périphériques sur les nœuds de communication du fait de la saturation et de la congestion du centre.
Los Angeles : le CBD et les ghettos
§ En plein centre de la ville, reconnaissable à ses gratte-ciel, à son urbanisme vertical
§ Il peut cependant se fractionner avec des développements périphériques sur les nœuds de communication du fait de la saturation et de la congestion du centre.
Los Angeles : le CBD et les ghettos
30. 3°) Les interfaces : espaces frontaliers et littoraux a) Les espaces frontaliers et régions transfrontalières
Ex : frontière entre les EUA et le Mexique avec les maquiladoras a MexicaliEx : frontière entre les EUA et le Mexique avec les maquiladoras a Mexicali
31. b) Les espaces littoraux sont très attractifs ?maritimisation et littoralisation des activités maritimisation et littoralisation des activités :
commerce
circulation des hommes
agriculture
ressources de la mer : pêche et aquaculture
tourisme
activité agricole qui peut être spécifique du fait du rôle tempérant sur le climat des masses océaniques
Photo de Yokohamamaritimisation et littoralisation des activités :
commerce
circulation des hommes
agriculture
ressources de la mer : pêche et aquaculture
tourisme
activité agricole qui peut être spécifique du fait du rôle tempérant sur le climat des masses océaniques
Photo de Yokohama
32. ð Localisation fréquente de zones franches. Cf. Zones Économiques Spéciales (Z.E.S.) en Chine, ou Île Maurice.
ð Localisation fréquente de zones franches, atout fiscal qui s’ajoute au bas coût de la main d’œuvre et à la situation d’ouverture. Cf. Zones Économiques Spéciales (Z.E.S.) en Chine, ou Île Maurice.
ZES de Shenzhen
RAS : région administrative spéciale
Une région administrative spéciale (RAS) est une subdivision politique de la République Populaire de Chine (RPC). Actuellement, la Chine possède deux RAS : Hong-Kong depuis 1997 et Macao depuis 1999.
L'article 31 de la Constitution de la République Populaire de Chine autorise le Congrès National Populaire à créer des RAS et à créer une loi de base qui donne à ces régions, avec une grande autonomie, un système politique (semi-démocratique) séparé et une économie capitaliste.
La RPC a proposé à la République de Chine de Taiwan un statut similaire s'ils acceptaient le gouvernement de la Chine continentale. La République de Chine a refusé l'offre.
Les RAS de Chine sont membres de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC), même si ce ne sont pas des états souverains, car ils ont leur propre politique de commerce extérieur.
Récupérée de « http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9gion_administrative_sp%C3%A9ciale »
ð Localisation fréquente de zones franches, atout fiscal qui s’ajoute au bas coût de la main d’œuvre et à la situation d’ouverture. Cf. Zones Économiques Spéciales (Z.E.S.) en Chine, ou Île Maurice.
ZES de Shenzhen
RAS : région administrative spéciale
Une région administrative spéciale (RAS) est une subdivision politique de la République Populaire de Chine (RPC). Actuellement, la Chine possède deux RAS : Hong-Kong depuis 1997 et Macao depuis 1999.
L'article 31 de la Constitution de la République Populaire de Chine autorise le Congrès National Populaire à créer des RAS et à créer une loi de base qui donne à ces régions, avec une grande autonomie, un système politique (semi-démocratique) séparé et une économie capitaliste.
La RPC a proposé à la République de Chine de Taiwan un statut similaire s'ils acceptaient le gouvernement de la Chine continentale. La République de Chine a refusé l'offre.
Les RAS de Chine sont membres de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC), même si ce ne sont pas des états souverains, car ils ont leur propre politique de commerce extérieur.
Récupérée de « http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9gion_administrative_sp%C3%A9ciale »
33. B. LES SUDS EN MARGE DU DEVELOPPEMENT 1°) Quelle définition pour le Sud ? Le développement associe donc progrès économique et progrès social, mais la croissance économique n’est pas forcément synonyme de développement.
Le développement associe donc progrès économique et progrès social, mais la croissance économique n’est pas forcément synonyme de développement.
34. Ü mesure du développement : ð l’IDH, Indice de Développement Humain PNUD : programme des Nations Unies Pour le DéveloppementPNUD : programme des Nations Unies Pour le Développement
36. ð L’ISDH, Indicateur sexospécifque de développement humain
- l'indicateur sexospécifique du développement humain (ISDH)
Introduits dans l'édition 1995 du Rapport mondial sur le développement humain, l'indicateur sexospécifique du développement humain (ISDH) et l'indicateur de la participation des femmes (IPF) sont eux aussi des instruments composites qui reflètent quant à eux les inégalités entre hommes et femmes en termes de développement humain. Tandis que l'ISDH évalue les avancées du développement humain de base corrigées des inégalités entre hommes et femmes, l'IPF mesure les inégalités entre hommes et femmes sur le plan des opportunités économiques et politiques.
- l'indicateur sexospécifique du développement humain (ISDH)
Introduits dans l'édition 1995 du Rapport mondial sur le développement humain, l'indicateur sexospécifique du développement humain (ISDH) et l'indicateur de la participation des femmes (IPF) sont eux aussi des instruments composites qui reflètent quant à eux les inégalités entre hommes et femmes en termes de développement humain. Tandis que l'ISDH évalue les avancées du développement humain de base corrigées des inégalités entre hommes et femmes, l'IPF mesure les inégalités entre hommes et femmes sur le plan des opportunités économiques et politiques.
37. ð L’IPH, Indicateur de la pauvreté humaine
Carte de 1995 !
- l'indicateur de la pauvreté humaine (IPH)
Par la suite, le Rapport mondial sur le développement humain 1997 a lancé le concept de pauvreté humaine, exprimé par une nouvelle mesure à plusieurs composantes, l'indicateur de la pauvreté humaine (IPH).
Si l'IDH jauge les avancées moyennes dans les composantes élémentaires du développement humain, l'IPH se concentre, lui, sur les déficits et les manques dans ces mêmes éléments.
L'indicateur de la pauvreté humaine mesure le dénuement au niveau de quatre grands aspects de la vie humaine : la capacité de vivre longtemps et en bonne santé, le savoir, les moyens économiques et la participation à la vie sociale. Ces éléments sont les mêmes pour tous les pays, qu'ils soient industrialisés ou en développement. Seuls les critères les mesurant varient, pour tenir compte des différences dans les réalités de ces pays et en raison des limites imposées par les données.
Pour les pays en développement, la pauvreté humaine est mesurée par l'IPH-1.
Le déficit de capacité à vivre longtemps et en bonne santé se mesure par le pourcentage des personnes risquant de décéder avant 40 ans, le déficit de savoir par l'analphabétisme et le déficit de moyens économiques par le pourcentage d'individus qui sont privés d'accès aux services de santé et à l'eau potable ainsi que par le pourcentage d'enfants de moins de cinq ans souffrant d'insuffisance pondérale modérée ou aiguë.
Ces éléments appellent deux observations.
- dans les pays en développement, l'aide publique pèse d'un plus grand poids dans les moyens économiques que le revenu privé. Dans le même temps, plus des quatre cinquièmes du revenu privé sont consacrés à l'alimentation. Ainsi, dans ces pays, le manque d'accès aux services de santé et à l'eau potable, associé à la malnutrition, traduisent le déficit de moyens économiques de manière plus concrète que d'autres critères.
- en l'absence d'un outil de mesure acceptable et des données nécessaires, l'indicateur de la pauvreté humaine ne peut pas restituer le déficit de participation à la vie sociale dans les pays en développement.
Dans les pays industrialisés, la pauvreté humaine est mesurée par l'IPH-2.
Le déficit de capacité à vivre longtemps et en bonne santé se mesure par le pourcentage des personnes risquant de décéder avant 60 ans, le déficit de savoir par l'illettrisme, le déficit de moyens économiques par la pauvreté monétaire (le revenu privé constituant la première source de moyens économiques) et le déficit de participation à la vie sociale par le chômage de longue durée.
Carte de 1995 !
- l'indicateur de la pauvreté humaine (IPH)
Par la suite, le Rapport mondial sur le développement humain 1997 a lancé le concept de pauvreté humaine, exprimé par une nouvelle mesure à plusieurs composantes, l'indicateur de la pauvreté humaine (IPH).
Si l'IDH jauge les avancées moyennes dans les composantes élémentaires du développement humain, l'IPH se concentre, lui, sur les déficits et les manques dans ces mêmes éléments.
L'indicateur de la pauvreté humaine mesure le dénuement au niveau de quatre grands aspects de la vie humaine : la capacité de vivre longtemps et en bonne santé, le savoir, les moyens économiques et la participation à la vie sociale. Ces éléments sont les mêmes pour tous les pays, qu'ils soient industrialisés ou en développement. Seuls les critères les mesurant varient, pour tenir compte des différences dans les réalités de ces pays et en raison des limites imposées par les données.
Pour les pays en développement, la pauvreté humaine est mesurée par l'IPH-1.
Le déficit de capacité à vivre longtemps et en bonne santé se mesure par le pourcentage des personnes risquant de décéder avant 40 ans, le déficit de savoir par l'analphabétisme et le déficit de moyens économiques par le pourcentage d'individus qui sont privés d'accès aux services de santé et à l'eau potable ainsi que par le pourcentage d'enfants de moins de cinq ans souffrant d'insuffisance pondérale modérée ou aiguë.
Ces éléments appellent deux observations.
- dans les pays en développement, l'aide publique pèse d'un plus grand poids dans les moyens économiques que le revenu privé. Dans le même temps, plus des quatre cinquièmes du revenu privé sont consacrés à l'alimentation. Ainsi, dans ces pays, le manque d'accès aux services de santé et à l'eau potable, associé à la malnutrition, traduisent le déficit de moyens économiques de manière plus concrète que d'autres critères.
- en l'absence d'un outil de mesure acceptable et des données nécessaires, l'indicateur de la pauvreté humaine ne peut pas restituer le déficit de participation à la vie sociale dans les pays en développement.
Dans les pays industrialisés, la pauvreté humaine est mesurée par l'IPH-2.
Le déficit de capacité à vivre longtemps et en bonne santé se mesure par le pourcentage des personnes risquant de décéder avant 60 ans, le déficit de savoir par l'illettrisme, le déficit de moyens économiques par la pauvreté monétaire (le revenu privé constituant la première source de moyens économiques) et le déficit de participation à la vie sociale par le chômage de longue durée.
39. a) Des expressions multiples et imparfaites
40. b) Des conditions sociodémographiques difficiles 1. Les indicateurs clés : mortalité infantile, espérance de vie, analphabétisme
41. ðUne mortalité infantile élevée : Sierra Leone 165 pour 1000
42. ? Sous-alimentation et malnutrition 840 millions de victimes, 14 % de la population mondiale, 33 % des Africains, 16 % des Asiatiques Mother holds malnourished child - Darfur - Sudan
Photo : Peter Holdsworth
Mother holds malnourished child - Darfur - Sudan
Photo : Peter Holdsworth
43. ? Misère sociale et insécurités : Sous emploi et chômage
Violences
Assujettissement et aliénation des femmes
Fragmentation des familles
Travail, abandons ou ventes d’enfants L’expérience de l’injustice, l’absence de protection de toute nature
ú La violence : prostitution, drogue, criminalité, bandes d’enfants, enrôlement d’enfants dans des milices ou de pseudo armées
ú Misère psychologique : l’expérience quotidienne de la dépendance, de la honte, de l’humiliation,
L’expérience de l’injustice, l’absence de protection de toute nature
ú La violence : prostitution, drogue, criminalité, bandes d’enfants, enrôlement d’enfants dans des milices ou de pseudo armées
ú Misère psychologique : l’expérience quotidienne de la dépendance, de la honte, de l’humiliation,
44. 2. Car une transition démographique souvent inachevée 2.1. Une démographie de phase 2 de transition démographique
45. 2.2. Des situations et des évolutions variables
46. Plus de la moitié de la population a moins de 20 ans et plus des 2/3 moins de 30 ans
47. c) Retards et dépendance économique 1. Des faiblesses structurelles
48. ?l’industrie
49. 2. Domination et dépendances détérioration des termes de l’échange Les termes de l’échange :instabilité plutôt que détérioration
Les termes de l’échange :instabilité plutôt que détérioration
50. Les intérêts de la dette : un gigantesque transfert financier du Sud vers le Nord ? Endettement auprès des organismes internationaux :
51. 3. Les Causes 3.1. Les causes externes :
Je ne vais pas vous tenir le discours attendu : l’avocat du diableJe ne vais pas vous tenir le discours attendu : l’avocat du diable
52. ? La colonisation ?
53. ? La mondialisation ?
54. 3.2. Les causes internes : ?l’échec des gouvernants : ® Remarque : Pas de causes d’ordre naturel (conditions climatiques, géologiques, pédologiques ou autres, car ce sont toujours les hommes qui sont responsables et qui parviennent avec plus ou moins de succès à maîtriser leur milieu… ces conditions peuvent être contraignantes, elles ne sont jamais déterminantes.)
Tunisie et Maroc beaucoup plus avancés aujourd’hui que l’Algérie : c’est la faute du FLN qui dirige depuis plus de 40 ans le pays, des dirigeants corrompus et de leurs choix catastrophiques (agriculture sacrifiée, priorité à l’industrie lourde, selon un modèle soviétique dont on sait à quoi il a mené…)
® Remarque : Pas de causes d’ordre naturel (conditions climatiques, géologiques, pédologiques ou autres, car ce sont toujours les hommes qui sont responsables et qui parviennent avec plus ou moins de succès à maîtriser leur milieu… ces conditions peuvent être contraignantes, elles ne sont jamais déterminantes.)
Tunisie et Maroc beaucoup plus avancés aujourd’hui que l’Algérie : c’est la faute du FLN qui dirige depuis plus de 40 ans le pays, des dirigeants corrompus et de leurs choix catastrophiques (agriculture sacrifiée, priorité à l’industrie lourde, selon un modèle soviétique dont on sait à quoi il a mené…)
55. ? Les guerres et autres conflits « ethniques » :
56. ? Le poids des traditionalismes sociaux et religieux Balayeuses des rues à Bombay: une activité réservée aux intouchables.
Plus de 160 millions d’Indiens, soit un sixième de la population, connaissent une situation similaire. Aujourd’hui encore, le système des castes, vieux de 2000 ans et sacralisé par la théologie hindoue, définit la place des individus en fonction de leur naissance. Si le terme «intouchable» a été aboli en 1950 par la Constitution, les dalits (les «brisés»), comme on les appelle aujourd’hui, continuent à subir la discrimination. L’accès à la terre leur est refusé, ils doivent accepter les emplois les plus dégradants et les violations de leurs droits élémentaires par la police ou les membres des castes supérieures, qui jouissent de la protection de l’Etat.
Tout individu appartient à l’un des quatre ordres — les varnas — de sa naissance jusqu’à sa mort, même si le rang particulier de sa caste peut varier suivant les régions et les époques. Par ordre de préséance viennent d’abord les brahmanes (les prêtres et les lettrés), puis les kshatriya (les princes et les guerriers), les vaishya (les commerçants) et les shudra (les paysans et les travailleurs manuels). Les intouchables constituent une cinquième catégorie, extérieure au système des varnas, parce qu’ils accomplissent des tâches «rituellement impures».
Balayeuses des rues à Bombay: une activité réservée aux intouchables.
Plus de 160 millions d’Indiens, soit un sixième de la population, connaissent une situation similaire. Aujourd’hui encore, le système des castes, vieux de 2000 ans et sacralisé par la théologie hindoue, définit la place des individus en fonction de leur naissance. Si le terme «intouchable» a été aboli en 1950 par la Constitution, les dalits (les «brisés»), comme on les appelle aujourd’hui, continuent à subir la discrimination. L’accès à la terre leur est refusé, ils doivent accepter les emplois les plus dégradants et les violations de leurs droits élémentaires par la police ou les membres des castes supérieures, qui jouissent de la protection de l’Etat.
Tout individu appartient à l’un des quatre ordres — les varnas — de sa naissance jusqu’à sa mort, même si le rang particulier de sa caste peut varier suivant les régions et les époques. Par ordre de préséance viennent d’abord les brahmanes (les prêtres et les lettrés), puis les kshatriya (les princes et les guerriers), les vaishya (les commerçants) et les shudra (les paysans et les travailleurs manuels). Les intouchables constituent une cinquième catégorie, extérieure au système des varnas, parce qu’ils accomplissent des tâches «rituellement impures».
57. 2°) Les Suds : une différenciation croissante des situations a) Les P(ays)(les) M(oins) A(vancés) :
58. ð 3 critères Taux d’alphabétisation <20%
59. b) Les pays intermédiaires ou PED
60. c) Les pays émergents 1. Les NPI
61. 2. Des pays qui progressent et s’intègrent dans la mondialisation
62. 3. Les pays pétroliers à haut revenu et faible population du Golfe Persique Rente pétrolière
Développement du tourisme ou des services financiers
Une société encore sous-développée (forte fécondité, très fortes inégalités sociales, situation d’infériorité des femmes)
Abu Dhabi,United Arab Emirates
Koweit City the Green Island (the first man-made Island in the area)DubaïAbu Dhabi,United Arab Emirates
Koweit City the Green Island (the first man-made Island in the area)Dubaï
63. 4. Les deux géants en devenir, Chine et Inde 4.1. Des éléments de la puissance : Chinese premier Wen Jiabao (L) shakes hands with Indian Prime Minister Manmohan Singh after signing an agreement in New Delhi April 11, 2005. Wen and Singh were due to agree on a roadmap to settle a decades-old border dispute on Monday, as the nuclear rivals aim to build a new "bridge of friendship". [Reuters]Chinese premier Wen Jiabao (L) shakes hands with Indian Prime Minister Manmohan Singh after signing an agreement in New Delhi April 11, 2005. Wen and Singh were due to agree on a roadmap to settle a decades-old border dispute on Monday, as the nuclear rivals aim to build a new "bridge of friendship". [Reuters]
64. 4.2. La Chine : « L’Empire du Milieu »
65. Forte croissance des provinces littorales taux de croissance depuis 10 ans (environ 10 % par an en moyenne…), un RNB multiplié par 6 en 20 ans
66. Énorme capacité à tirer profit de la mondialisation ?D’abord pays atelier : produits de grande consommation (TV, machines à laver, jouet, habillement, chaussures)
BUILDING THEIR LIVES: Yantang's men move to Shanghai and go into hard labour to make more moneyFritz Hoffmann/Network Photographers for TIME A Scene Along Zhong Yuan Road
Beijing Fu Sheng Machinery Co.Beijing, China
Assembles complete units of reciprocating and screw air compressors Land area: 20,000 m2 Building area: 8,800 m2 Opened in 2004
Established in 1993, the Beijing Fu Sheng Machinery Co. serves the northern regions of China. The successful deployment of the high tension 6,000V ~ 10,000V multi-machine joint control automation system, used by large enterprises including renowned Feng Mai Power Generation Plant, Beijing Ta Tang Kao Cheng Power Generation Plant and Shanghai Pao Kang, has earned us the excellent reputation of providing technologically advanced machinery. Beijing Fu Sheng is the first company to earn the safety certification in China, as well as the outstanding exporter award in the Beijing area. The current facility began operation in 2004
WATER DIVERSION December 30, 2003, construction begins on the central section of China’s ambitious south-to-north water diversion project to ease the severe water shortage around the nation’s capital. The central section of the project, expected to attract investment of 92 billion yuan ($11.1 billion) in its first phase, aims to divert water from the Yangtze River to Beijing by 2010.
.BUILDING THEIR LIVES: Yantang's men move to Shanghai and go into hard labour to make more moneyFritz Hoffmann/Network Photographers for TIME A Scene Along Zhong Yuan Road
Beijing Fu Sheng Machinery Co.Beijing, China
Assembles complete units of reciprocating and screw air compressors Land area: 20,000 m2 Building area: 8,800 m2 Opened in 2004
Established in 1993, the Beijing Fu Sheng Machinery Co. serves the northern regions of China. The successful deployment of the high tension 6,000V ~ 10,000V multi-machine joint control automation system, used by large enterprises including renowned Feng Mai Power Generation Plant, Beijing Ta Tang Kao Cheng Power Generation Plant and Shanghai Pao Kang, has earned us the excellent reputation of providing technologically advanced machinery. Beijing Fu Sheng is the first company to earn the safety certification in China, as well as the outstanding exporter award in the Beijing area. The current facility began operation in 2004
WATER DIVERSION December 30, 2003, construction begins on the central section of China’s ambitious south-to-north water diversion project to ease the severe water shortage around the nation’s capital. The central section of the project, expected to attract investment of 92 billion yuan ($11.1 billion) in its first phase, aims to divert water from the Yangtze River to Beijing by 2010.
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67. 4.3. Inde : ? Industrie diversifiée avec des secteurs de pointe
69. Conclusion Le processus de la mondialisation est donc un phénomène majeur de notre temps qui suscite les controverses et déchaîne même parfois les passions.
C’est un processus irréversible et lourd de conséquences, mais il n’est pas le seul phénomène à contribuer à l’organisation de l’espace mondial. Les aires de civilisation et les dynamiques culturelles sont multiples, de nouvelles logiques voient le jour face aux enjeux de l’avenir, comme par exemple la notion de développement durable, soucieuse à la fois de justice et de repect de l’environnement. Parallèlement à la mondialisation d’autres logiques d’organisation de l’espace mondial existent donc et quelle que soit l’importance de l’impact de la mondialisation, l’uniformisation des cultures ne constitue pas une menace véritablement crédible. L’un des débats contemporains n’est-il d’ailleurs pas d’opposer choc des civilisations et métissage des cultures ?
Le processus de la mondialisation est donc un phénomène majeur de notre temps qui suscite les controverses et déchaîne même parfois les passions.
C’est un processus irréversible et lourd de conséquences, mais il n’est pas le seul phénomène à contribuer à l’organisation de l’espace mondial. Les aires de civilisation et les dynamiques culturelles sont multiples, de nouvelles logiques voient le jour face aux enjeux de l’avenir, comme par exemple la notion de développement durable, soucieuse à la fois de justice et de repect de l’environnement. Parallèlement à la mondialisation d’autres logiques d’organisation de l’espace mondial existent donc et quelle que soit l’importance de l’impact de la mondialisation, l’uniformisation des cultures ne constitue pas une menace véritablement crédible. L’un des débats contemporains n’est-il d’ailleurs pas d’opposer choc des civilisations et métissage des cultures ?