110 likes | 215 Views
Le Conseil québécois du Sentier Transcanadien. Historique. Créé dans le prolongement des fêtes du 125è anniversaire du Canada et, mise en place de la Fondation du sentier transcanadien (privée sans but lucratif) 1992
E N D
Le Conseil québécois du Sentier Transcanadien CQSTC, dans le Cadre du Forum québécois du loisir, tenu le 8 avril 2005 à Montréal
Historique • Créé dans le prolongement des fêtes du 125è anniversaire du Canada et, mise en place de la Fondation du sentier transcanadien (privée sans but lucratif) 1992 • La fondation s’est associée à un partenaire dans chacune des provinces et chacun des territoires • L’objectif était de développer un sentier à usages partagés de plus de 18,500 kilomètres touchant les 3 océans • Au Québec, le conseil québécois du sentier transcanadien a été créé en 1996. Son objectif est passé de 950 à 2000 kilomètres de sentier • Plus de 14 millions $ ont été recueillis grâce à son programme de levée de fonds (vente symbolique des mètres du Sentier) pour l’ensemble du pays. CQSTC, dans le Cadre duForum québécois du loisir, tenu le 8 avril 2005 à Montréal
Le Conseil québécois du Sentier Transcanadien • Corporation privée sans but lucratif • Formé des organisations suivantes • Fédération des clubs de motoneigistes du Québec • Québec à cheval • Fédération de la marche du Québec • Vélo Québec • S’appuie sur un réseau de partenaires régionaux (12 régions) et d’une quarantaine de gestionnaires de sentiers • Mandataire reconnu de la Fondation du Sentier Transcanadien CQSTC, dans le Cadre duForum québécois du loisir, tenu le 8 avril 2005 à Montréal
Le tracé au Québec CQSTC, dans le Cadre duForum québécois du loisir, tenu le 8 avril 2005 à Montréal
Le Sentier transcanadien au Québec (Phase 1) Kilométrage total potentiel : 1469 Kilomètres enregistrés : 1356 (92.3%) Kilomètres en service : 1291.9 (87.9%) Kilomètres hors route : 1123.6 (76.5%) CQSTC, dans le Cadre duForum québécois du loisir, tenu le 8 avril 2005 à Montréal
Sa mission et son rôle • Planifier le tracé du Sentier Transcanadien au Québec • Assurer les liens physiques avec les provinces de l’Ontario et du Nouveau-Brunswick (colonne vertébrale d’Est en Ouest) • Contribuer à son financement notamment par le programme de levée de fonds de la FSTC (financement complémentaire d’environ 10% des coûts totaux) • Soutenir le développement des sentiers selon les politiques, principes et concepts de la FSTC • Supporter les gestionnaires dans le développement des sentiers, leur promotion et leurs opérations CQSTC, dans le Cadre duForum québécois du loisir, tenu le 8 avril 2005 à Montréal
Ses particularités • La permanence des sentiers • La disponibilité sur une base annuelle • Des sentiers à usages partagés en toute sécurité • Des sentiers sur emprises propres • Des sentiers à proximité des populations et accessibles au plus grand nombre • Les 5 activités de base reconnues (idéalement 3) • Vélo • Randonnée pédestre et marche • Randonnée équestre • Ski de fond • Motoneige CQSTC, dans le Cadre duForum québécois du loisir, tenu le 8 avril 2005 à Montréal
De plus, au Québec • L’insertion des sentiers dans la planification régionale des corridors verts (reconnaissance par les intervenants locaux et régionaux) • Des normes de qualité reconnues par les organismes provinciaux des activités de base : • L’aménagement des tronçons • La sécurité • La signalisation et le balisage • La surveillance • Les services d’appoint CQSTC, dans le Cadre duForum québécois du loisir, tenu le 8 avril 2005 à Montréal
Bien sûr, quelques contraintes • Topographie et géographie du territoire, distances et éloignement • La compatibilité des usages et la qualité de la pratique • La négociation des droits de passage - Absence de politique facilitante • Réglementations et lois (Transports, environnement, forêts, etc.) • Diversité des réalités agricoles, forestières, villageoises et urbaines • Capacité d’accueil de certains des sentiers (notamment en zones urbaines) • Le financement CQSTC, dans le Cadre duForum québécois du loisir, tenu le 8 avril 2005 à Montréal
Quelques conditions à la réussite • Une volonté politique des acteurs, • La reconnaissance des sentiers comme source et forteresse d’un développement durable, • Une vision locale, pluri municipale, régionale et québécoise du développement des sentiers récréatifs, • Une concertation des intervenants de tous les niveaux(représentants des activités, élus, organismes régionaux et nationaux, ministères, etc.) • Une compréhension et une harmonisation des besoins en matière d’infrastructures (sentiers) et de services en fonction des besoins des clientèles récréatives (population locale et régionale) et touristiques, • Une prise en charge à la base CQSTC, dans le Cadre duForum québécois du loisir, tenu le 8 avril 2005 à Montréal
Quelques-uns de nos défis : • La permanence de nos sentiers • Le financement de la construction, de l’entretien et des opérations du Sentier • Compléter l’enregistrement des sentiers de la phase # 1 et entreprendre la phase # 2 • La promotion du Sentier et la mise en valeur de ses composantes • Développer une vision positive et constructive du droit à l’accès au territoire dans le respect du droit de propriété et se doter des outils pour la mettre en oeuvre • Développement d’un sentiment d’appartenance à nos sentiers • Place à la relève • L’accessibilité économique au loisir de plein air CQSTC, dans le Cadre duForum québécois du loisir, tenu le 8 avril 2005 à Montréal