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La maladie carieuse Aspects épidémiologiques dans la carie dentaire. Corrélations épidémiologiques dans la carie dentaire.
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La maladie carieuse Aspects épidémiologiques dans la carie dentaire. Corrélations épidémiologiques dans la carie dentaire.
Bien qu`elle soit connue des temps révolu et décrite dans les traités médicaux de l`antiqué, la définition de la maladie s`est résumé pendant des siècles à la description succinte de certains symptômes, don’t l`étiologie était soutenue par des superstitions et des suppositions empiriques; A commencer avec le XIX ème siècle, l`orientation de la recherche du domaine de la cariologie, dans le but de préciser les facteurs étiologiques a peu à peu conduit à la définition claire de la carie dentaire. Tout au long du temps la définition de la carie dentaire a subi des modifications évoluant de son identification avec l`un des symptômes qui apparaissent dans l`évolution de la lésion, la cavité carieuse, au concept de “maladie carieuse”, terme qui décrit aujourd`hui unr pathologie complexe et très variée, d`étiologie spécifique.
Eldeton J.L. a considèrè que les processus carieux représentent d`une manière fondamentale une manifestation d`un déséquilibre entre les ions de calcium et de phosphates dans les tissus dentaires et la salive, médié par les microorganismes de la plaque bactérienne et influencé par certains facteurs nommés déterminants écologiques. • Lundeen Th.O définit comme une maladie infectieuse des dents qui provoque la dissolution et la distribution localisée des tissus calcifiés. • Bowen W.H. soutient que la lésion carieuse n`apparît pas en l`absence de la plaque bacérienne ou des carbohydrates, fermentables, de sortequ`il la considère une maladie diéto-bactérienne.
La carie dentaire est un processus psyhologique dynamique, réversible, épisodique et asincrone, qui dans les stades nom-cavitaires (dans l`émail, voire dans la dentine), a la capacité de guérir à l`aide des mesures preventives et thérapeutiques. Au XIX-ème siècle, Black liait l`existence de la carie au principal symptôme, à savoir l`apparition de la cavité, déterminée par des facteurs extremes ou internes, avec l`existence de la lésion cavitaire et du ramolissement tissulaire. • Aujourd`hui, la maladie carieuse est envisagée comme une maladie infectieuse, multifactorielle, diéto-bactérienne, transmissible, qui a comme principal symptôme la carie dentaire. C`est un processus dynaque caractérisé par la perturbation de l`équilibre entre la phénomènes de démineralisation-reminéralisation dans les tissus dentaires- la plaque bactérienne- le fluide oral. La carie dentaire est aujour`hui considérée une maladie infectieuse, favorisée par un comme résultat la déminéralisation des tissus durs dentaires, qui se manifeste par des lésions situées sur des sièges spécifiques. -
Caractéristiques • C`est une lésion unique- l`émail et acellulaure et avasculaure de sorte qu`il ne présente aucune réaction inflammatoire à l`invasion microbienne initiale et ne souffre nul processus de réparation cellulaire ou régénération, mais un phénomène de cicatrisation physico-chimique aux constituants organiques et anorganiques de la salive, la plaque bactérienne et la lésion elle-même, en se développant une couche de surface approximativement intègre. C`est une maladie bio-sociale qui a subi initialement une polarisation sociale et gégraphique orientée vers les classes aisées et les pays développés et qui pendant le temps s`est inversée vers la population pauvre et les pays sous-développés. • Un l`intégration morphologique et fonctionnelle des unités odontales dans l`économie de l`organisme, le terme correct est de maladie carieuse, la carie dentaire, en étant considérée un symptôme.
C`est une maladie infectieuse et transmissible, épisodique et asynchrone en fonction de la plaque bactérienne. Elle agit aussi bien sur les dents vitales que sur les dents dévitales. La carie dentaire n`affecte pas les dents incluses. Dans les étapes précoces des lésions lorsque celles-ci se maintiennent stériles, c`est une maladie reversible voire guérissable. C`est une afféction aux implications pécuniaires majeures; aux SUA par exemple, on dépense environ 300 millions dplars par an. L`étiologie en est plurifactorielle, en étant le résultat de l`interraction entre différents facteurs denommés déterminanats écologiques qui modulent le métabolisme des biofilms bactériens sur les surfaces dentaires qui peuvent induire les phénomènew de dé-ou reminéralisation.
C`est une maladie localisée sur des sièges spécifiques de certaines surfaces dentaires où la plaque bactérienne peut s`accumuler facilement- dénommées zones de stagnation ou de retention ( niches écologiques). Celles-ci représentent des milieux uniques qui par les conditions qu`ils offrent peuvent influencer certains paramètres: • la composition et le status métabolique de la plaque bactérienne qui peut induire un milieu catiogène dans la présenc e constante de la zacharose, en s`instalant ainsi la démineralisation. • La grosseur de la plaque bactérienne qui influence la diffussion de la salive, du substratum nutritif et des agents anti-carie dans la couche la plus interne à la surface de la dent. Le diamètre des biofilms bactériens dépend de la nature adhésive des bactéries et des produits extracellulaires, de certains facteurs anatomiques, de l`hygiène orale et de la mobilités des tissus mous. • L`accès différent du substratum nutritif, de la salive et des agents anticarie (le temps de clearance) sur des différents sièges en fonction de flux salivaire; • La proximité des galnds salivaires majeures; • Des facteurs anatomiques: la forme de l`arcade, la position de la dent, la morphologie denatire, les dents en eruption, physiologique (naturelle), pathologique (couronnes d`eveloppe, brackets, restaurations défectueuses).
C`est un processus dynamique où la maladie représente un déséquilibre entre la perte et le gain de de minéraux par lesquels s`installe dans le temps une perte mette qui mène à une cavité. Les dents sont soumises à des cycles de déminéralisation ( le pH est moindre que le pH critique) suivie par la reminéralisation alors que le pH augmente. Ces cycles conduisent à une fluctuation du contenu minéral le long d`un jour même. Pendant des mois ou même des années, la perte en minéraux s`étend jusqu`à un point où la couche de surface est affaible (non-soutenue) et sous l`influence des forces extremes la cavité apparaît. Même ces lésions peuvent être arrêtées et elles restent ainsi, étant considérées finalement plus résistantes à l`attaque c ariogène ultérieure que l`émail sain; si ces lésions n`affectent pas l`esthètique on peut seulement monitoriser ces pertes de substances, sans les restaurer, surtout lorsqu`on a des preuves cliniques que la maladie a guéri.
CLASSIFICATIONS DES CARIES DENTAIRES SELON L’ASPECT CLINIQUE Cavitaire (ireversible) solution de continuité à la surface de l’émail avec installation d’une cavité Non-cavitaire (reversible) reversible par le processus de réminéralisation (naturelle ou thérapeutique)
SELON LE TYPE DE LÉSION récurrentes marginales
La cariechronique la carie guéri La carie aiguë
CLASSIFICATIONS D`aprè tissus affecté Dentine Indemne?? L`émail
SELON LE TYPE DE CAVITÉ (BLACK) CLASSIFICATIONS DES CARIES DENTAIRES CLASSE I (fosettes et fissures) : Elle regroupe toutes les cavités de caries siégeant au niveau des dépressions anatomiques de toutes les dents• Les sillons occlusales des molaires et prémolaires• Les fossettes vestibulaire des molaires inférieures• Les fossettes palatines des molaires supérieures
Cingulum des dents antérieures Molaires et prémolaires
SELON LE TYPE DE CAVITÉ (BLACK) Face proximales d'une prémolaire CLASSE II - Elle intéresse les cavités de caries situées sur les faces proximales des molaires et des prémolaires.
SELON LE TYPE DE CAVITÉ (BLACK) Des caries proximales des dents antérieures sans atteinte du bord incisif. CLASSE III - sont des cavités carieusses situées sur les faces proximales des incisives et des canines sans destruction de l'angle incisive.
SELON LE TYPE DE CAVITÉ (BLACK) - caries proximales des dents antérieures avec atteinte du bord incisif CLASSE IV - Surfaces proximales des dents frontales affectant l’angle incisal
SELON LE TYPE DE CAVITÉ (BLACK) CLASSE V – intéresse les cavités carieusses au niveau du tiers gingival (=cervical) de toutes les dents du coté vestibulaire et du coté lingual.
SELON LE TYPE DE CAVITÉ (BLACK) CLASSE VI – des caries des bords incisifs et du sommet des cuspides.
D1 Leziune în smalţ clinic detectabilă cu suprafeţe necavitare Lesion dans l`émail detectable clinique avec des surfaces necavitaire. D2 Leziune cavitară limitată în smalţ Lesion cavitaire en l`émail. D3 Leziune clinic detectabilă în dentină (cu sau fără cavitaţia dentinei) Lesion dans la dentine detectable clinique. D4 Leziuni în pulpă Lesion dans la pulpe. CLASSIFICATIONSOMS
Siège Minimale Moyen Large Étandu Fissurales (1) 11 12 13 14 Proximales (2) 21 22 23 24 Cervicales (3) 31 32 33 34 Classification des caries dentaires selon le siège et la dimension (Mount)
Degré 1: Tache blanchenon-cavitaire ou une lésion carieuse légèrement modifiée de couleur en émail et aucune lésion détectable sur Rx. Degré 2 Cavitation superficielle à l`entrée en fissure, une cretaine perte de substances minérales dans la surface de l`émail qui enteure la fissure et/ ou une lésion carieuse en émail détectable sur Rx. Degré 3 Perte modérée de minéraux avec une cavitation limitée à l`entrée en fissure, et/ou une lésion en 1/3 externe de la dentine détectable sur Rx. Degré 4 Perte considérable de minéraux avec une cavitation limitée à l`entrée en fissure et/ou une lésion en 1/3 moyenne de la dentine détectable sur Rx. Degré 5 Cavitation avancée et/ou une lésion en 1/3 interne de la dentine, détectable sur Rx La classifications des caries fissurales ( inspection et examen RX)
D1 Lésion en ½ externe de l`émail D2 Lésion en ½ interne de l`émail D4 Lésions dans la dentine Classification des caries aproximales détectables sur Rx ( Swedish Board of Health and Welfare)
Classification des caries aproximales détectables sur Rx (Poulsen et Grondhal) normale Rx en émail Rx en émail, la JAD Rx en émail et en ½ externe à dentine Rx en émail et en ½ interne à dentine
Classification des caries aproximales détectables sur Rx (Poulsen şi Grondhal
Degré I incipientes ·La texture de surface: molle, peut être pénétrée avec une sonde dentaire; nul défaut de surface; Pigmentation variable, du marron clair au marron foncé Degré II superficielles ·La texture de surface: molle, irrégulière, âpre peut être pénétrée avec une sonde dentaire. Défaut de surface(sous 0,5mm en profondeur); pigmentation variable, du marron clair au brun Degré III cavitation ·La texture de surface: molle, peut être pénétrée avec une sonde dentaire; lésion pénétrante, la cavitation presente ( peste 0,5 mm en profondeur), sans implication pulpaire Degré IV pulpaire ·Pigmentation variable, du marron clair au brun; lésion pénétrante profonde à implication pulpaire ou des canaux radiculaires; pigmentation variable, du marron au marron foncé. Classification des caries radiculaires(Billing)
I (Active) Toute zone bien délimitée qui présente une décoloration jaunâtre ou merron clair. Le plus souvent elle est couverte de PB visible et /ou présente une consistance molle ou similaire à celle de la peau au sondage avec pression modéré II (arrêtée en évolution) Toute surface qui présente une zone bien délimitée de couleur marron foncé ou noire. La surface de la lésion est lisse et brillante, dure la palpation avec pression modérée. Classification des caries radiculaires(Nyvald şi Fejerskov)
Dégre 1 Tache blanche, non-cavitaire ou une lésion légèrement modifiée de couleur et/ou une lésion détectable Rx dans la moilié externe de l`émail Dégre II Cavitation superficielle et/ou une lésion en ½ interne de l`émail Dégre III Cavité petite et/ou lésion Rx en 1/3 externe de la dentine Dégre IV Cavité substantielle et/ou lésion Rx en 1/3 moyenne de la dentine Dégre V Cavité avancé et/ou lésion Rx en 1/3 interne de la dentine Classification des caries secondaires sur les surfaces aproximales (Système norvégien )
Selon le moule de l`activité • Arrêtées en évolution: - lésions non-actives, réminéralisées ou chroniques; • Progressives: lésions actives • La distinction entre les 2 types n`est pas toujours claire, car elles peuvent être entièrement ou partiellement, rapidement progressive, lentement progressives ou arrêtées en évolution en fonction de la balance écologique entre le biofilm qui couvre le siège et le milieu oral. Malgré les difficultés dans le diagnostic, ces distinctions sont très importantes pour le clinicien puisque si la lésion n`est pas active. Il n`est pas nécessaire d`entre prendre des actions ultérieures afin d`empêcher sa progression. Si une lésion est considérée comme active il faudra influencer les activités métaboliques et s`il est possible la balance écologique dans le biofilm, en faveur de l`arrêt de l`évolution. • Des confusions peuvent aussi apparaître: le premier signe de la carie dentaire en émail visible à l`oeil sur est souvent nommé tache blancheou carie initiale ou incipiente. Mais un t-b peut être présent depuis plusieurs années dans un stade arrêté en évolution et il ne serait pas juste de la décrire comme un stade incipient. Donc, une lésion initiale apparaît comme une modification blanche, opaque (t-b) mais ce n`est pas tout t-b qui est un stade incipient.
Épidémiologie… • L`épidémiologie représente l`étude de l`état de santé, de et des déterminants de ceux-ci sur différentes populations ou groupes populationnels. • L`épidémiologie a comme méthodes de travail la récoltation; l`enregistrement, l`analyse et l`évaluatuion des données obtenues. • L` investigations épidémiologiquesaucaries dentairesInvestigaţiile epidemiologice ale cariei într-o populaţie au ca mijloace de evaluare la prévalenceet l`incidence.
PRÉVALENCE • La prévalence représente le nombre de imbolnaviri qui existe dans une population d`un certain moment donné. Elle représente un repère statique qui ne montre pas les modifications ayant lieu dans le temps et quis`éveluent par des études transversales. La mesuration de la prévalence se fait avec certains indices don’t le plus utilisés sont DMFT et DMFS ( CAO, CAOS) introduits par Kleim et Palmer en 1930. Au cas de l`indice DMF la notion d`index n`est pas très correcte, parce que ce terme implique l`utilisation des mêmescritériums d`évaluation. Les valeurs du système DMF dérivent d`une variété de critériums de diagnostic de sorte qu`elles puissent être différentes d`une étude à une autre sans qu`elles soient pour emtant nécessairement équivalentes. La plupart des études nationales épidémiologiques de surveillance de la prévalence des caries comprennent seulement des lésions carieuses à cavitation visible, mais il y a aussi des pays-Suède- où l`on prend aussi en considération les lésions dentinaires, non-cavitaires qui ne sont visibles que sur la radiographie.
Les limites DMF= La Composante D • Le processus carieuse apparaît comme une interraction entre le biofilm et la surface et la sou-surface dentaire. La lésion carieuse est la manifestation de l`etape d`évolution à un moment donné. L`iceberg conceptualise la totalité des processus dans la carie dentaire, en groupant les lésions dans des stades de plus en plus avancés l`un au-dessus de l`autre dans une structure piramidale, en commençant des déminéralisations incipientes à la base, jusqu`aux lésions dentinaires cavitaires stabilisées qui pénètrent dans la pulpe au sommet (à la cime). Cependant, à un certain moment, une lésion peut exister sseulement à un certain niveau, bien qu`antérieurement elle soit passé par les niveaux inféreiurs. Cliniquement, les lésions détectables sont gradées du niveau D1 jusqu`au niveau D4 les lignes horisontales (ou le niveau de l`eau) illustre l`impact du changement du seuil de diagnostic dans l`appréciation de ce que les examinateurs considèrent représenter un tissu dentaire sain ou malade.
Les limites DMF= La Composante D Niveau de diagnostique a caries dentaire dans l`étudie épidémiologique
Les flèches de grande illustrent combien du processus carieux a été classifié d`une manière erronée comme étant sain alors que le seul D3 est utilisé sans discernement . Lorsque dans les études épidémiologiques on n`utilise que le seul D3, une partie importante de la population est faussement classifée comme étant indemne aux caries. La situation s`est compliquée davantage lorsqu`aux EU et d`autres pays le niveau D3 n`a été reconnu qu`au moment où cliniquement on observait une cavité ouverte qui affectait l`émail et la dentine. Il faut cependant rappeler que les lésions dentinaires non-cavitaitres décélables cliniquement représentent une proportion importante de ce stade. Elles doivent être érises en calcul en ayant un impact significatif surtout sur les valeurs finales chez les enfants et les adolescents. Ces lésions dentinaires, qui sont souvent égales en dimension à ce qu`on voit dans les cavités ouvertes peuventêtre cliniquement visibles comme une modification de couleur qui s`observe par un émail apparement “intact”. Ces caries dentinaires visibles clinicquement doivent être distiguées des caries dentinaires “ dissimulées-hidden qui sont initialement évaluées comme étant en fait des surfaces saines à l`inspection, m ais sur Rx elles sont diagnostiquées comme des caries.
Le seuil D1 qui suppose le diagnostic des lesion white-spot et brown-spot a été accepté il y a longtemps dans diffèrents paus dans la pratique cliniques, des études scientifiques et parfois dans des etudes épidémiologiques. Il n`y a pas dans les études épidémiologiques des informations sur les lésions ci-dessous aucadre de l`isberg, à savoir celles qui ne sont détectables qu`à l`aide des moyens traditionnels de diagnostic utilisées seulement dans la pratique clinique, mais qui “éhappent” souvent à un examen de routine; il en est de même des lésions plus petites(moindres) des stades sous- cliniques. L`attitude moderne dans la pratique clinique est l`utilisation du seul D1 qui indut plus fidèlement que D3 la situation de l`affectation par carie en enrégistrant aussi les lésions en émail ainsi que celles en dentine, non-cavitaires. La conclusion en est que dans la plupart des études qui utilisent le stade D3 la composante D est sous-estimée.
Les limites DMF- la composante F • Il n`y a pas longtemps pendant quelques décennies la philosophie restaurative a fait appel au principe de l`extention préventive par laquelle dans le design cavitaire étaient aussi incluses d`autres surfaces que celles affectées par la carie- les cavités de îème classe (les sillons de décharge vestibulaires et oraux et la II ème (les surfaces oclusales). • La composante F était sur-estimée
Les limites DMF- la composante M Dans les pays moyennement développés et sous-développés l`extraction représente une solution thérapeutique à laquelle on faisait appel plus souvent qu`il n`était pas indiqué. Dans de cas, l`indice DMFS (la composante M) était sur-estimé puisque la carie n`était pas énrégistrée sur la surface où elle est apparue, mais on prenait en considération toutes les surfaces de la dent extraite. Les études populationnelles de l`Afrique, de la Chine, et de l`Asie de Sud-Est ont démontré qu`il y avait un nombre limité d`édentés. Malgre une hyggiène précaire, aux grands scores de plaque, la maladie parodontale représente une proportion réduite dans l`étiologie de ceux-ci, de sorte qu`on puisse affirmer que dans beaucoup de pays, la maladie carieuse représente la causse majeure de perte des dents depuis l`enfance jusqu`à la vieillesse.
L` Incidence • Elle représent le nombre de nouveaux cas où l`on tombe malade dans un certain période de temps : pour le calcul de celle-cideux ou plusieurs examinations par des études longitudinales sont nécessaires. Si une maladie est aigüe et de courte durée, alors l`incidence est égale à la prévalence. Les lésions carieuses ont une longue évolution aux épisodes d`inactivités suivis par des phases aigües de déminéraslisation ; jusqu`à present il n`y a pas à notre portée des moyens habituels de détecter le moment où ces phases commencent et finissent. On peut diagnostiquer une lésion incipiente sur Rx, mais on ne peut pas savoir quand elle a débuté et si celle-ci est dans une phase latente ou active. Quand la lésion est quantitative, comme une variante dichotomique (oui/non), on ignore le fait que la perte minérale d`une surface, qui mène à la cavitation représente la conséquence des événements qui ne peuvent pas être mesurés comme une variable continuelle ( tel G et H).
DMF n`est pas utile dans les études longitudinales puisque le nombre de sujets aux nouvelles caries y est nécessaire. Si l`on prend en considération cet indice dans les études longitudinales, dans la population adulte contemporaine dans les pays « saturés » avec des médecins dentistes c`est l`état des soins dentaires qui est plutôt évaluée que le niveau d`affection. Ainsi, une moindre valeur de la compsante D ne signifie pas nécessairement que la maladie a été moins active du moment où celle –ci peut aussi résulter d`une augmentation du terme de traitement soit par plusieurs exttractions soit par plusieurs restaurations. Il est sûr que dans beaucoup de pays le seuil auquel le traitement restauratif est indiqué a augmenté, en résultat ainsi moins de restaurations et éventuellement des valeurs plus grandes de la composante D selon le seuil pris en calcul pour établir le diagnostique. Dans les pays nordiques, les services publics dentaires ne recommandent plus la restauration des lésions non-cavitaires en émail, ce qui peut expliquer le déclin des caries dans les rapports épidémiologiques. Puisque les lésions en émail-D1 ne sont plus rapportées ni restaurées non plus, la proportionnellement à une diminution du nombre de surfaces restaurées. La composante D est moindre puisque toutes les lésions dentinaires sont habituellement restaurées.
La carie dentaire au XX ème siècle C`est une distribution trimodale: 1. la Chine rurale, L`Afrique et des zones isolées de l`Amérique du Sud: • un haut terme de la mortalité; • une faible infrastructure; • des sources d`eau non-protégées. • Des soins médicaux seulement en urbain. Tendance: la prévalence et la gravité des caries sont plus grandes dans les zones urbaines par rapport à la population pauvre des zones rurales, mais de toute manière elles se maintiennent à des valeurs réduites.
La carie dentaire au XX ème siècle 2. Les pays en cours d`industrialisation: • - en même temps quel`urbanisation a en lieu aussi une modifiaction du style de vie et du moule alimentaire vers des produits rafinés et perfetionnés: en Thailande la concommation de sucre a augmenté de 4,7 kg/pers. en 1961 à 12,5kg/pers. en 1982. • - dans la zone rurale, les soins dentaires consistaient en des services patiatifs et des extractions la prothésation étant une exception et dans la zone urbaine, la population bénéficie de services plus sophistiqués mais de faible qualité. • Tendance: le terme de la carie augmente chez les enfants et les adultes ainsi que le terme de l`édentation chez les personnes agées.
La carie dentaire au XX ème siècle 3. Dans les pays développés économiquement: • - au début du XX ème siècle la population faisait appel aux services de la proession seulement à laa douleur. Ce traitement étant l`extraction. En outre Hunter en 1911 a introduit le concept de la maladie de foyer, ce qui a innoculé aux médecins une attitude radicale; aussi la médecine dentaire entra-t-elle dans l`époque extractioniste “du sang et de la vulcanite” lorsqu`il n`était pas inhabituel qu`à l`âge de 30-40 ans on rencontre des patients édentés totalement. • - après la II ème guerre mondiale, la période de prospérité qui a suivi a mené à l`augmentation de la consommation de sucre et à une augmentation consécutive des inidces de caries chez les enfants et les jeunnes adultes. C`est maintenant que s`est développée l`orientation restaurative au concept- “drilling, filling, killing the pulp and billing” des années 1970. • - après les années 1970 ont paru les premiers essai d`entrer dans l`époque préventive, en diminuant ainsi DMF chez les adultes et les jeunes gens sous 30 ans comme résultat de l`introduction du fluore et du changement des habitudes alimentaires. • Tendance: le terme d ela carie chez les enfants diminue et le nombre de dents restaurées chez les personnes âgées augmente.
La carie dentaire au XX ème siècle • Facteurs qui ont mené au déclin des caries: La disponibilité d`un personnel qualifié et des possibilités thérapeutiques technico-matérielles supérieures; La disponibilité du fluore dans des produits de plus en plus nombreux, aussi bien d`hygiène qu`alimentaires La promotion de l`hygiène orale; Des conseils concernant la diète; L`augmentation du niveau éducationnel et de prospérité. • Il y a encore des niveau relativement grands de caries mais c`est chez des groupes populationnels à risque très élevé: dishabiletés physiques; retardés mentalement; emigrés; personnes séropositives à HIV groupes à un niveau socio-économique très bas; personnes âgées institutionalisées.
La carie chez les enfants • OMS a établi pour l`âge de 12 ans des valeurs standard qui représent des seuils qualitatifs pour l`indice de prévalence de la cries(DMFT). • très grand 4-4,9 • grand 3-3,9 • moyen 2-2,9 • faible 1-1,9 • très faible <1 • L`objectif OMS pour l`âge de 12 ans est: • pour 2000 DMFT=3 • pour 2010 DMFT= 2 • pour 2025 DMFT= 1
La carie chez les enfants • Dans la période 1993-1999 les suivantes modifications ont eu lieu: • FM→S: canada, France, Espagne, Italie, Grèce, Islande • FM→M: Brésil, Péru, Paraguai • M→m: les pays balcanique, Finlande • S→FS: Austalie, Finlande • FS→S: Chine • S→m: Afrique du Sud • Dans la région de Varmalnd (Suède) DFS a viré de 40(FM) en 1964 à moins de 1 (FS) en 1994.
La carie chez les enfants • Etats Unis a lieu une diminuation continuellle de l`affection par carie où l`on observe que: • le déclin a été plus grand sur les surfaces aproximales et lisses • le terme d`évolution de la lésion a changé, avec l`augmentation du temps parcours entre la première déminéralisation de l`émail et l`apparition de la cavitation, que l`évolution de la carie dans la dentine de même • 50% des dents cariées s etrouvent seulement chez 12% de la population et plus de 75% des dents cariées se trouvent chez 35% de la population étudiée. • Tendence: l`évolution globale va malheureusement en augmentant en étant semblable à celle des pays en cours de dévéloppement puisque c`est là qu`il y a la majorité de la population (40% en Chine, Inde et Indochine). • Quand à la distribution et au contenu du paquet de soins dentaires, comme résultat d ela prévention initiale et primaire, le procentage des enfants de 3 ans indemnes aux caries a augmentéde 35% en 1973 à 97% en 1993.
La carie chez les adultes • En général, dans les pays industrialisés, DMF est plus garnd chez les adultes des années 2000 puisque la prévalence de la carie en 1969, lorsque ceux-ci étaient des enfants, était très grande, tout comme les enfants qui ont aujourd`hui 12 ans, à un DMF très petit, auront une prévalence baissée en 2025 aussi. • La distribution des dents intactes, cariées, restaurées et absentes à 35,50,65 et 75 ans en Suède • Au EU on a entrepris 2 grandes études don’t on peut tirer certaines conclusions: • les adolescents ont un déclin de la prévalence; • sur une période d e20 ans entre 24 et 44 ans • dans les années 85-86 on a développé 0,75 nouvelles caries par an et dans les années 89-91 à peine 0,67 • la population au-dessus de 65 ans semble avoir plusieurs surfaces à risque • les femmes ont un moindre pourcentage de caries non-traitées: 6,69% par rapport à 10,4% • les Afro-américains ont le plus grande pourcentage de caries non-traitées:27,7%
Les dents et les surfaces à risque • Si le nombre des dents cariées et obtueées peut refléter d`une certaine manière la prévalence des caries, aujourd1hui il est très difficile de décider la cause du manque des dents absentes. • Très simplement, le risque de perte par carie peut être prévu par la combinaison de la valeur de la largeur V-O du diamètre coronnaire, avec la distance vers le postérieur au niveau des lèvres. • Les molaires sont situés le plus postérieurement et elles ont les surfaces aproximales les plus larges de sorte que dans une population à une hygiène satisfaisante, les dents postérieures nécessitent un nettoyage supplémentaire et l`application topique du fluore. Les surfaces à risque sont les surfaces fissurales aux molaires et les surface aproximales à commencer de la face distale du PM1 jusqu`à la face mésiale du M2. • Le nombre et la proportion des dents cariées restaurées et saines chez une population suédoise âgée de 88 et 92 ans: • généralement la proportion des caries est restée relativement petite, • moins de dents sont restées à la maxilaire • plusieurs dents mandibulaires sont saines.
La symétrie du moule cariogène se rapporte à la probabilité équivalente d`apparition des caries sur la partie gauche et sur la partie droite aux dents omologues, mais pas du tout sur des arcades différentes aux quelles la probabilité d`apparition des caries est très variable. Le pricipe de la bilatéralité se rapporte au fait que si une lésion est détectée sur une surface, le risque d`apparition de la lésion sur la surface contro-latérale omologue est plus grand qu`il ne l`est sur toute autre surface de la même partie de la bouche. Les molaires mandibulaires sont les plus affectées. Les prémolaires et lea incisives maxilaires sont plus affectées que leurs antagonistes mandibulairea. En Suède: - la plupart des dents perdues jusqu`à 35 ans sont des prémolaires extraites pout les raisons ortodontiques; - à 50 ans : 80% des dents absentes ongt une cause cariogène directe ou indirecte, 10% ortodontique, 10% parodontale; - à 65 ans 75% par carie, 5% ortodontique, 20% parodontale.