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REPUBLIQUE DU NIGER CABINET DU PREMIER MINISTRE. COMMISSION EUROPEENNE. DISPOSITIF NATIONAL DE PREVENTION ET DE GESTION DES CATASTROPHES ET CRISES ALIMENTAIRES SYSTEME D’ALERTE PRECOCE ET DE PREVENTION DES CATASTROPHES.
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REPUBLIQUE DU NIGER CABINET DU PREMIER MINISTRE COMMISSION EUROPEENNE DISPOSITIF NATIONAL DE PREVENTION ET DE GESTION DES CATASTROPHES ET CRISES ALIMENTAIRES SYSTEME D’ALERTE PRECOCE ET DE PREVENTION DES CATASTROPHES PREMIERES RENCONTRES TECHNIQUES D’EVALUATION DE LA SITUATION ALIMENTAIRE NUTRITIONNELLE ET PASTORALE Maradi du 25 au 29 novembre 2013 Analyse des résultats provisoires d’exploitation des fiches d’identification des zones vulnérables, campagne agropastorale 2013/2014
Plan de la présentation • Introduction • - Organisation de la collecte • - Validation et récupération des fiches • Résultats de l’exploitation des fiches au niveau national • Résultats de l’exploitation des fiches au niveau régional • Conclusion /Suggestions
Introduction L’identification des zones et populations vulnérables se fait à travers un dispositif mis en place par la Cellule de Coordination du Système d’Alerte Précoce et de Prévention des Catastrophes (CC/SAP/PC) élargi aux structures nationales et aux partenaires. La situation d’ensemble des départements et communes urbaines chefs-lieux des régions est appréciée à partir de l’examen des situations de chacun des facteurs suivants - La situation pluviométrique; -La situation de l’agriculture vivrière; -La situation de l’agriculture de rente; -La situation pastorale; -Les sources de revenus secondaires; -L’état des marchés; -La situation sanitaire et nutritionnelle; -Les éléments d'alerte; -La capacité d'ajustement; -Le diagnostic (indice) de l’année précédente.
Organisation de la collecte Elle comprend entre autres : • La formation et la mise en place de la fiche d’identification des zones vulnérables au niveau des départements et communes (septembre) ; • le remplissage de la fiche (situation au 30 septembre de l’année en cours) • Les réunions de validation (CSRPGCA) • Les ateliers régionaux de partage et de validation des fiches (SAP et GTI/SAP) • Le calcul des notes provisoires de vulnérabilité
Résultats de l’analyse au niveau national • Aucun département ou commune de la région d’Agadez n’est en état de famine c'est-à-dire avec une note de vulnérabilité comprise entre 76 et 100 ; • Deux (2) départements sont extrêmement vulnérables c'est-à-dire avec une note de vulnérabilité comprise entre 51 et 75 ; il s’agit des départements d’Arlit et de Iférouane • Trente deux (32) départements sont moyennement vulnérables (une note de vulnérabilité comprise entre 25 et 51) ; • Quarante (40) départements sont faiblement vulnérables (une note de vulnérabilité comprise entre 0 et 26).
Agadez : Note de vulnérabilité 2013 et année similaire et/ou proche sur les 10 années passées (2003 – 2012)
Commentaires • Aucun département ou commune de la région d’Agadez n’est en état de famine c'est-à-dire avec une note de vulnérabilité comprise entre 76 et 100 ; • Deux (2) départements sont extrêmement vulnérables c'est-à-dire avec une note de vulnérabilité comprise entre 51 et 75 ; il s’agit des départements d’Arlit et de Iférouane • Trois (3) départements sont moyennement vulnérables (une note de vulnérabilité comprise entre 25 et 51) ; il s’agit de Tchiro, Aderbissanat et Agadez Commune • Deux (2) départements sont faiblement vulnérables (une note de vulnérabilité comprise entre 0 et 26) : Ingall et Bilma
Diffa : Note de vulnérabilité 2013 et année similaire et/ou proche sur les 10 années passées (2003 – 2012)
Commentaires • Tous les départements de la région de Diffa et la Commune urbaine de Diffa sont moyennement vulnérable
Dosso : Note de vulnérabilité 2013 et année similaire et/ou proche sur les 10 années passées (2003 – 2012)
Commentaires • Aucun département ou commune de Dosso n’est en état de famine c'est-à-dire avec une note de vulnérabilité comprise entre 76 et 100 ; • Aucun département ou commune de Dosso n’est extrêmement vulnérables c'est-à-dire avec une note de vulnérabilité comprise entre 51 et 75 ; • Aucun département ou commune de Dosso n’est moyennement vulnérables (une note de vulnérabilité comprise entre 26 et 51); • Tous les départements et communes de Dosso sont faiblement vulnérables (une note de vulnérabilité comprise entre 0 et 25).
Maradi : Note de vulnérabilité 2013 et année similaire et/ou proche sur les 10 années passées (2003 – 2012)
Commentaire • Aucun département ou commune de Maradi n’est en état de famine c'est-à-dire avec une note de vulnérabilité comprise entre 76 et 100 ; • Aucun département ou commune de Maradi n’est extrêmement vulnérables c'est-à-dire avec une note de vulnérabilité comprise entre 51 et 75 ; • Aucun département ou commune de Maradi n’est moyennement vulnérables (une note de vulnérabilité comprise entre 26 et 51) ; • Tous les départements et communes de Maradi sont faiblement vulnérables (une note de vulnérabilité comprise entre 0 et 26).
Tahoua : Note de vulnérabilité 2013 et année similaire et/ou proche sur les 10 années passées (2003 – 2012)
Commentaires • Aucun département ou commune de Tahoua n’est en état de famine c'est-à-dire avec une note de vulnérabilité comprise entre 76 et 100 ; • Aucun département ou commune de Tahoua n’est extrêmement vulnérables c'est-à-dire avec une note de vulnérabilité comprise entre 51 et 75 ; • quatre (4) départements de Tahoua sont moyennement vulnérables (une note de vulnérabilité comprise entre 26 et 51) : il s’agit des départements de Abalack, Tahoua Commune, Konni, et Tahoua Dpt ; • Les neuf (9) autres départements sont faiblement vulnérables (une note de vulnérabilité comprise entre 0 et 25).
Tillabéri: Note de vulnérabilité 2013 et année similaire et/ou proche sur les 10 années passées (2003 – 2012)
Commentaires • Aucun département ou commune de Tillabéri n’est en état de famine c'est-à-dire avec une note de vulnérabilité comprise entre 76 et 100 ; • Aucun département ou commune de Tillabéri n’est extrêmement vulnérables c'est-à-dire avec une note de vulnérabilité comprise entre 51 et 75 ; • Sept (7) départements de Tillabéri sont moyennement vulnérables (une note de vulnérabilité comprise entre 25 et 51) : il s’agit des départements de Ouallam, Say, Torodi, Tillabéri Commune, Banibangou, Tillabéri Dpt, et Bankilaré ; • Les sept (7) autres départements sont faiblement vulnérables (une note de vulnérabilité comprise entre 0 et 26).
Zinder : Note de vulnérabilité 2013 et année similaire et/ou proche sur les 10 années passées (2003 – 2012)
Commentaires • Aucun département ou commune de Zinder n’est en état de famine c'est-à-dire avec une note de vulnérabilité comprise entre 76 et 100 ; • Aucun département ou commune de Zinder n’est extrêmement vulnérables c'est-à-dire avec une note de vulnérabilité comprise entre 51 et 75 ; • Huit (8) départements de Zinder sont moyennement vulnérables (une note de vulnérabilité comprise entre 26 et 50) : il s’agit des départements de : Magaria, Zinder Commune, Gouré, Dungass, Takiéta, Mirriah, Belbédji et Takaya ; • Trois (3) départements sont faiblement vulnérables (une note de vulnérabilité comprise entre 0 et 26). Il s’agit de : Kantché, Tanout et Tasker
Niamey : Note de vulnérabilité 2013 et année similaire et/ou proche sur les 10 années passées (2003 – 2012)
Commentaires • Aucun arrondissement ou commune de Niamey n’est en état de famine c'est-à-dire avec une note de vulnérabilité comprise entre 76 et 100 ; • Aucun arrondissement ou commune de Niamey n’est extrêmement vulnérables c'est-à-dire avec une note de vulnérabilité comprise entre 51 et 75 ; • Trois (3) arrondissements de Niamey sont moyennement vulnérables (une note de vulnérabilité comprise entre 26 et 51) : il s’agit des arrondissements III, II et I ; • Les deux (2) autres arrondissementssont faiblement vulnérables (une note de vulnérabilité comprise entre 0 et 26).
CONCLUSION/RECOMMANDATIONS Rappeler aux décideurs que quelque soit la qualité de nos analyses sur la vulnérabilité des populations, elles ne peuvent aider à une prise de décisions idoines que si elles sont bâties sur des données fiables. Pour y arriver, il faudrait entre autres : • Appuyer les services de base des statistiques (agricole, pastoral, santé, nutrition, marchés, sources de revenus des ménages, environnemental, etc) en ressources humaines, logistique ; • Contribuer au renforcement des capacités des services techniques régionaux et sous-régionaux