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Soutenance de thèse de Florent Doutre le 5 novembre 2010

Soutenance de thèse de Florent Doutre le 5 novembre 2010. Sources d'impulsions brèves basées sur des procédés de découpe non linéaires au sein d'une fibre optique ; nouvelles sources déclenchées à cavités couplées. Diagnostic cellulaire par cytométrie en flux. Objectif :

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Soutenance de thèse de Florent Doutre le 5 novembre 2010

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  1. Soutenance de thèse de Florent Doutre le 5 novembre 2010 Sources d'impulsions brèves basées sur des procédés de découpe non linéaires au sein d'une fibre optique ;nouvelles sources déclenchées à cavités couplées

  2. Diagnostic cellulaire par cytométrie en flux Objectif : Dépistage précoce de maladies infectieuses Principe : • Cellules en suspension liquide • Défilement devant un faisceau laser • Mesures des signaux lumineux Intérêt : • Rapidité (plusieurs kHz) • Analyse cellule par cellule • Rapport signal sur bruit élevé (potentiellement jusqu'à ≈104)

  3. Diagnostic cellulaire par cytométrie en flux Paramètres accessibles : • La taille (détecteur 1) • La complexité de la structure interne (détecteur 2) • La présence de molécules fluorescentes (détecteur 3) ◄ Détecteurs 1 & 2 → cartographie des types cellulaires Polynucléairesneutrophiles Fluorochrome ►Détecteurs 3 → présence d'un antigène spécifique Monocytes Anticorps Cellule marquée Lymphocytes

  4. La fluorescence en cytométrie Rappel sur la fluorescence : • Excitation à une longueur d'onde λ1 • Émission une longueur d'onde λ2 1,8-ANS Alexa Fluor 488 Niveaux excités λ1 λ2 5-ROX Niveau fondamental TOTO-3 Sauf cas particulier : Une source par λ d'excitation Alexa Fluor 750

  5. Détection multiple Détection de plusieurs marqueurs → excitation multilongueur d'onde λ (nm) 375 nm 488 nm 594 nm 752 nm Avantage : Analyse plus exhaustive Inconvénient : Complexité accrue du dispositif

  6. Multiplexage en longueur d'onde Amélioration envisagée : Illumination par un "laser blanc" Observation : Les lasers blancs peuvent être • continus Kudlinski & Mussot Opt. Lett. Vol. 33 No. 20 (2008) • femtosecondes (mode-locked) • nanosecondes (déclenchés) Coûteux Contrainte : Synchroniser le passage d'une cellule à l'émission laser Sachant : • Vitesse du flux ≈ 10 m.s-1 • Fenêtre d'exposition ≈ 50 µm • Fréquence de répétition ≈ 5 kHz Gigue temporelle < 1 µs

  7. Recouvrement des bandes d'émission Autre problème : Recouvrement des bandes d'émissions des fluorophores Nouveau paramètre : Le temps de vie de fluorescence Contrainte : Durée d'impulsion < Exemples : (rose bengal) ≈100 ps (DCS)≈66 ps Impulsions picosecondes

  8. Synchronisation du flux de cellules et de l'émission d'impulsion : → laser avec une gigue temporelle sub-microseconde Distinction entre les émissions de différents fluorophores : 1. via le temps de vie de fluorescence → lasers délivrant des impulsions picosecondes 2. via une stimulation polychromatique: → laser blanc Contraintes d'encombrement et de coût : → laser miniature et bon marché Problématique

  9. Plan de la présentation • Sources lasers impulsionnelles • Raccourcissement d'impulsions issues d'un microlaser • État de l'art sur le raccourcissement d'impulsions • Découpe temporelle par rotation non linéaire de polarisation • Exploitation conjointe de la diffusion Raman et de la RNLP • Réduction de la gigue temporelle • Cause de la gigue des lasers déclenchés • État de l'art sur la réduction de la gigue • Système à deux cavités imbriquées • Divers types de déclencheurs actifs • Laser déclenché polychromatique sans gigue • Conclusion

  10. Plan de la présentation • Sources lasers impulsionnelles • Raccourcissement d'impulsions issues d'un microlaser • État de l'art sur le raccourcissement d'impulsions • Découpe temporelle par rotation non linéaire de polarisation • Exploitation conjointe de la diffusion Raman et de la RNLP • Réduction de la gigue temporelle • Cause de la gigue des lasers déclenchés • État de l'art sur la réduction de la gigue • Système à deux cavités imbriquées • Divers types de déclencheurs actifs • Laser déclenché polychromatique sans gigue • Conclusion

  11. Sources lasers impulsionnelles A déclenchement ou Q-switch Verrouillage de modes ou ML (Mode-lock)

  12. Choix d'un type de source Laser déclenché miniature : → microlaser ou laser "microchip" Performances en labo : → durée d'impulsion 37 ps (Häring et al. JOSA B Vol.18 No.12 2001) → gigue temporelle 65 ps (Hansson et al. Electron. Lett. Vol.36 No.13 2000) Microcavité (millimétrique) Diode de pompe Milieu à gain (Nd:YAG) Absorbant saturable (Cr:YAG) Miroirs (dépôts diélectriques) Performances des lasers commerciaux : → durée d'impulsion >500 ps → gigue temporelle >5 µs Diminution de la gigue temporelle Raccourcissement des impulsions

  13. Plan de la présentation • Sources lasers impulsionnelles • Raccourcissement d'impulsions issues d'un microlaser • État de l'art sur le raccourcissement d'impulsions • Découpe temporelle par rotation non linéaire de polarisation • Exploitation conjointe de la diffusion Raman et de la RNLP • Réduction de la gigue temporelle • Cause de la gigue des lasers déclenchés • État de l'art sur la réduction de la gigue • Système à deux cavités imbriquées • Divers types de déclencheurs actifs • Laser déclenché polychromatique sans gigue • Conclusion

  14. Etat de l'art sur le raccourcissement d'impulsions Compression par compensation de la phase spectrale : Profils temporels Milieu non linéaire Source laser Dispersion négative Profils spectraux Efficacité démontrée pour des impulsions picosecondes Difficulté de mise en œuvre pour des impulsions "longues" (500 ps) Lnon linéaire << Ldispersion (au moins 6 ordres de grandeurs) Paire de réseaux de longueur ≈50 cm

  15. Rotation non-linéaire de polarisation(ou RNLP) Milieu biréfringent : → déformation de l'ellipse de polarisation lors de la propagation Biréfringence non linéaire : → no et ne dépendent de l'intensité du champ θ no ne temps

  16. Laser Description mathématique Équations de Schrödinger non linéaires (ESNL) : Auto modulation de phase Modulation de phase croisée Ptransmis

  17. Transmission non linéaire due à la RNLP Nettoyage des pieds d'impulsions : Stolen, Botineau & Ashkin, Opt. Lett. Vol.7 No.10 (1982) Nishizawa & Murayama, Opt. Lett. Vol.32 No.24 (2007) Verrouillage de modes dans une cavité laser fibrée : Kuzin, Ibarra Escamilla & Garcia-Gomez, Opt. Lett. Vol.26 No.20 (2001) Yang, Tangdiongga, Lenstra, Khoe & Dorren, ► Opt. Exp. Vol.12 No.11 (2004)

  18. RNLP pour le profilage d'impulsion Nikolaus, Grischkowsky & Balant, Opt. Lett. Vol.8 No.3 (1983) Réduction de la durée par un facteur 2,5

  19. Description mathématique plus complète ESNL d'une impulsion de forte puissance crête dans un milieu faiblement biréfringent : Couplage cohérent : mélange à 4 ondes dégénéré entre les composantes de polarisation du champ ; → le terme d'accord de phase dépend de la biréfringence et de la distance de propagation. Diffusion Raman stimulée : diffusion inélastique du milieu qui convertit une fraction de l'onde en fréquence ; → l'efficacité de ce phénomène augmente avec la puissance instantanée et la distance de propagation.

  20. Description mathématique ESNL dans un milieu faiblement biréfringent : Couplage cohérent Ptransmis Laser

  21. A(t,z=0) Effets Dispersifs TF A(t,z+dz) Non Linéarités TF-1 Résolution numérique ESNL simplifiée : • Lfibre =5 m • β1x≈β1y • α≈0 • Diffusion Raman négligée Résolution numérique : méthode split-step Fourier Erreur de l'ordre dz² Paramètres de simulation : λ=1064 nm Pcrête entre 1 et 10 kW Durée d'impulsion=650 ps LB=1 mβ2=16,5 ps2km-1γ=2 W-1km-1

  22. Validation de la méthode : effets linéaires ▲ Influence de la biréfringence linéaire sur l'ellipse de polarisation ◄ Étalement temporel des impulsions qui subissent majoritairement les effets de dispersion 1 ps 10 ps

  23. Validation de la méthode : effets non linéaires 100 ps ◄ Compétition entre les effets non linéaires et dispersif (durée 100 ps, Pcrête=100 W) ◄ Élargissement spectral d'une impulsion principalement soumise aux non-linéarités (durée 500 ps, Pcrête=2 kW) 500 ps

  24. Méthode de recherche systématique Puissance crête Pcrête Pcrête+δPcrête Orientation de polarisation d'injection θin θin+δθ Orientation de polarisation à l'émergence θout θout+δθ Analyse des profils temporels

  25. Critères de sélection d'impulsions raccourcies ◄ La seule prise en compte des durées d'impulsions est insuffisante. Il faut également tenir compte de la puissance crête. ◄ La largeur mesurée à 1/5ème de la hauteur afin d'éviter la sélection d'impulsion avec une fraction importante d'énergie dans les pieds.

  26. Résultats numériques Découpe d'impulsions Raccourcissement jusqu'à un facteur 37 Puissance crête faiblement atténuée (≈<10%) Fraction d'énergie de l'impulsion localisée dans les pieds de l'impulsion : → possibilité de nettoyage de l'impulsion

  27. Montage expérimental Laser Nd:YAG JDSU : Pcrête=12 kW frép.=7,9 kHz Fibre Corning HI1060 : L≈6 m LB≈1 m Oscilloscope Tektronix : Résolution ≈20 ps Analyseur de spectre : Résolution 10 pm

  28. Découpe d'impulsions expérimentale Durée accordable entre 650 et 60 ps Soit un facteur de raccourcissement jusqu'à 11 A partir d'un facteur de découpe >3, une structuration des pieds des impulsions apparaît. Importante sélectivité spectrale Impulsion de 60 ps : ΔtΔν≈0,62

  29. Comparaison entre simulation et expérience A partir d'une impulsion raccourcie expérimentalement : Pcrête=2,3 kWθinexpé≈16±4° θoutexpé= ? On recherche une impulsion numérique raccourcie avec un profil similaire (en calculant l'intégrale de recouvrement) avec : • une puissance crête initiale de Pcrête=2,3 kW • un angle θinnum dans la gamme [12° ; 20°] • et θoutnum dans la gamme [0 ; 180°] • La meilleure correspondance est • obtenue pour : θinnum=19,3° θoutnum=178°

  30. Inconvénients de la méthode de découpe • Perte d'énergie par impulsion proportionnelle au facteur de raccourcissement • Pas de relation simple établie entre puissances crête, angles et raccourcissement • Instabilité du profil temporel pour un facteur de découpe >8 causée par la sensibilité du dispositif aux variations de biréfringence • Montée en puissance limitée par l'apparition de la diffusion Raman stimulée

  31. Plan de la présentation • Sources lasers impulsionnelles • Raccourcissement d'impulsions issues d'un microlaser • État de l'art sur le raccourcissement d'impulsions • Découpe temporelle par rotation non linéaire de polarisation • Exploitation conjointe de la diffusion Raman et de la RNLP • Réduction de la gigue temporelle • Cause de la gigue des lasers déclenchés • État de l'art sur la réduction de la gigue • Système à deux cavités imbriquées • Divers types de déclencheurs actifs • Laser déclenché polychromatique sans gigue • Conclusion

  32. Diffusion Raman stimulée Principe : Niveaux virtuels λ1 λ1 λS λAS Niveau fondamental Dans une fibre en silice : • Décalage en fréquence sur une bande large (8 THz) autour de 13,2 THz • Seuil de puissance autour de 2 kW pour une fibre de diamètre 6,2 µm et de longueur 5 m

  33. Effet de la diffusion Raman stimulée Apparition lorsque Pcrête>2,3 kW (proche du seuil théorique de 2 kW) LNL << L << LDisp → forte distorsion du spectre → faible distorsion temporelle

  34. Combinaison avec la RNLP Microlaser + alimentation 500 ps Contrôleur polarisation Fibre 1m Système de filtrage Facteur de découpe >16

  35. Discussion des résultats Combinaison de l'effet Raman et de la RNLP : → sensibilité moindre aux variations de biréfringence → meilleure stabilité du profil temporel Les impulsions ne sont pas à la limite de Fourier → possibilité de compression temporelle ? TF-1 numérique

  36. Conclusion partielle sur la découpe temporelle • Découpe d'impulsion par un facteur continûment accordable jusqu'à 11 • D'un point de vue énergétique : • faible atténuation de la puissance crête (≈10%) • le ratio d'énergie dans les pieds des impulsions augmente avec le facteur de raccourcissement (jusqu'à 46% pour des impulsion de 60 ps) • ajout d'un second étage de filtrage → intérêt validé numériquement → réalisation expérimentale d'un système tout fibré à finaliser • Importante sélectivité spectrale de la technique • Combinaison avec le filtrage des longueurs d'onde Raman-Stokes • facteur de découpe augmenté jusqu'à 16 • possibilité d'obtenir une paire d'impulsions brèves (<50 ps) • importante stabilité (>96%) sur un temps long (>1 h)

  37. Plan de la présentation • Sources lasers impulsionnelles • Raccourcissement d'impulsions issues d'un microlaser • État de l'art sur le raccourcissement d'impulsions • Découpe temporelle par rotation non linéaire de polarisation • Exploitation conjointe de la diffusion Raman et de la RNLP • Réduction de la gigue temporelle • Cause de la gigue des lasers déclenchés • État de l'art sur la réduction de la gigue • Système à deux cavités imbriquées • Divers types de déclencheurs actifs • Laser déclenché polychromatique sans gigue • Conclusion

  38. Cause de la gigue d'un microlaser • Impulsions construites à partir du bruit d'émission spontanée • Le seuil d'émission se situe dans une zone dont l'épaisseur dépend : • du temps de vie de l'état excité du milieu à gain • de la puissance de la diode de pompe • de la fluctuation de cette puissance • d'effets thermiques • de la stabilité de la cavité

  39. État de l'art sur la réduction de gigue ►Modulation de la puissance de pompe Mandeville et col. Proc. SPIE Vol. 2748 (1996) Khurgin et col. Appl. Opt. Vol. 41 No. 6 (2002) Lai et col. Appl. Phys. Lett. Vol. 79 No.8 (2007) → gigue de 0,5 µs → nécessité d'un rétro-contrôle sur la diode de pompe ► Insertion d'un modulateur actif dans la cavité du microlaser Zayhowski et col., Opt. Lett. Vol. 17 No. 17 (1992) Hansonn et Arvidsson, Electron. Lett. Vol. 36 No. 13 (2000) → gigue sub-nanoseconde → contrôle strict en température (±0,1°) → impulsions "longues" (>1 ns)

  40. État de l'art sur la réduction de gigue ▼ Déclenchement passif par réinjection dans la cavité d'une fraction de l'impulsion précédente Nodop et al. Opt. Lett. Vol.35 No.17 (2010) → gigue réduite de 10 ns à 20 ps → fréquence de répétition fonction de la longueur de la ligne à retard (3 kHz nécessite 100 km de fibre)

  41. Microlaser à deux cavités imbriquées Microcavité (millimétrique) Laser photons Pompe en dessous du seuil MAO Absorbant saturable Milieu à gain Cavité longue (métrique) Déclenchement actif : piloté par le modulateur acousto-optique → faible gigue Durée d'impulsion : déterminée par la microcavité → impulsion sub-nanoseconde

  42. Équations d'état d'un système à deux cavités Flux de photon (φ) Wp Absorbant saturable Milieu à gain Population état : - fondamental Ng - excité Ne Inversion de population (N) Déclenchement actif simulé par une brusque augmentation de la réflectivité du miroir d'extraction Résolution de ces équations à l'aide d'un solveur ODE23

  43. Simulation de la gigue d'un microlaser passif • Comportement d'un microlaser à déclenchement passif : • effet laser pour R=90%, fréquence de répétition ≈30 µs • cavité sous tendue pour R=70%

  44. Simulation de la gigue d'un microlaser passif ◄ Gigue d'un laser passif pour différentes ampleurs des fluctuations de la puissance de pompe ◄ Laser hybride : Diminution de la gigue de plusieurs ordres de grandeur

  45. Données expérimentales ▼ Réduction de la gigue en dessous de la microseconde (soit un facteur 625 à 3 kHz) ▲ Conservation d'une durée d'impulsion sub- nanoseconde

  46. Conclusion partielle sur la réduction de la gigue Système à deux cavités imbriquées contenant • un déclencheur actif (cavité longue) • un déclencheur passif (cavité courte) permet : • de réduire la gigue temporelle à quelques dizaines de ns • de conserver la durée d'impulsion sub-nanoseconde • découplage entre la durée d'impulsion et le temps de déclenchement • découplage entre la durée d'impulsion et la longueur de la cavité laser L'augmentation du facteur de surtension de la cavité longue (M3→ Rmax) diminue l'extraction des impulsions. Possibilité d'extraire via une conversion de fréquence ?

  47. Plan de la présentation • Sources lasers impulsionnelles • Raccourcissement d'impulsions issues d'un microlaser • État de l'art sur le raccourcissement d'impulsions • Découpe temporelle par rotation non linéaire de polarisation • Exploitation conjointe de la diffusion Raman et de la RNLP • Réduction de la gigue temporelle • Cause de la gigue des lasers déclenchés • État de l'art sur la réduction de la gigue • Système à deux cavités imbriquées • Divers types de déclencheurs actifs • Laser déclenché polychromatique sans gigue • Conclusion

  48. Élargissement spectral intracavité Génération d'un supercontinuum afin d'assurer l'extraction d'un signal large bande d'une cavité surtendue à 1064 nm M3 RMAX @ 1064 nm MAO Milieu NL Pompe en dessous du seuil Absorbant saturable Milieu à gain

  49. État de l'art sur les sources larges bandes Source laser Milieu NL • Solide • Alfano et al., Phys. Rev. Lett. 24, 548 (1970) • Yu et al., Opt. Comm. 14, 344 (1975) … • Liquide • Alfano et al., Phys. Rev. A 6, 433 (1972) • Wernke et al., Opt. Comm. 4, 413 (1972) ... • Gaz • Corkum et al., Phys. Rev. Lett. 57, 2268 (1986) • François et al., Opt. Comm. 99, 241 (1992) ... • Guide d’ondes • Lin et al., Appl. Phys. Lett. 28, 216 (1976) • Spalter et al., Opt. Lett. 27, 363 (2002) … • Fibre optique microstructurée • Ranka et al., Opt. Lett. 25, 25 (2000) … • Femtoseconde • Ranka et al., Opt. Lett. 25, 25 (2000) • Genty et al., Opt. Expr. 10, 1083 (2002) … • Picoseconde • Baldeck et al., J. of Ligth. Techn. LT-5, 1712 (1987) • Coen et al., Opt. Lett. 26, 1356 (2001) … • Nanoseconde • Provino et al., Elect. Lett. 37, 558 (2001) • Mussot et al., Opt. Lett. 28, 18 (2003) … • Continu • Avdokhin et al., Opt. Lett. 28, 1353 (2003) • Mussot et al., Opt. Expr. 12, 28 (2004) …

  50. Fibre non linéaire à deux cœurs concentriques ▼ Fibre PERFOS pitch ≈2,77 µm Øtrou ≈1,43 µm Emploi de fibres à cœurs concentriques en régime linéaire pour compenser la dispersion : Mangan et al. CLEO CPPP3 (2004) Gerome et al. Opt. Lett. Vol.29 No. 23 (2004)

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