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Plan du cours. 1. Présentation et objectif du cours. 2. Rappels sur les conditions de l’autonomie des N2 et des N3. 3. Les points importants pour une plongée en autonomie réussie. . 1. Présentation et objectif du cours.
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Plan du cours 1. Présentation et objectif du cours. 2. Rappels sur les conditions de l’autonomie des N2 et des N3. 3. Les points importants pour une plongée en autonomie réussie.
1. Présentation et objectif du cours Pour qu'une plongée en autonomie soit toujours un plaisir et qu'elle se déroule en toute sécurité, il est important de respecter quelques règles concernant : • l'organisation, • la planification et • la réalisation de la plongée. L'objectif du cours est de rappeler ces diffé-rentes règles et les compétences requises.
1. Présentation et objectif du cours (suite) Après un bref rappel des conditions de l'autonomie des N2 et des N3, les différentes étapes du déroulement d'une plongée en autonomie seront abordées en spécifiant, pour chaque étape, les points importants liés au matériel, à la technique et à l'environnement et nécessaires à une plongée réussie.
Plan du cours 1. Présentation et objectif du cours. 2. Rappels sur les conditions de l’autonomie des N2 et des N3. 3. Les points importants pour une plongée en autonomie réussie.
2. Rappel sur les conditions de l’autonomie Conditions de l’autonomie des N2 selon l’ arrêté de 98 modifié 2000 • Niveaux 2 majeurs. • Autonomie soumise à l'autorisation d'un DP qui définit les paramètres de plongée (prof. max, durée max, trajet…) et compose les palanquées. • Évolution par 2 (minimum) ou 3 (maximum) dans l'espace médian (20 m). • Matériels obligatoires : un gilet muni d'un "direct system" ou équivalent, une 2nde source d'air, ordinateur ou "montre/profondimètre/table"…
2. Rappel sur les conditions de l’autonomie (suite) Conditions de l’autonomie des N3 selon l’ arrêté de 98 modifié 2000 • Niveaux 3 forcément majeurs. • Autonomie soumise à l'autorisation d'un DP qui définit les paramètres de plongée et compose les palanquées MAIS en absence de DP, les N3 organisent seuls leur plongée (site, paramètres…). • Évolution par 2 (minimum) ou 3 (maximum) dans l'espace lointain (40 m) et au-delà (60 m). • Matériels obligatoires identiques à ceux des N2.
Plan du cours 1. Présentation et objectif du cours. 2. Rappels sur les conditions de l’autonomie des N2 et des N3. 3. Les points importants pour une plongée en autonomie réussie.
3. Les points importants pour une plongée en autonomie réussie.
3. Les points importants pour une plongée en autonomie réussie.
3. Les points importants pour une plongée en autonomie réussie.
3. Les points importants pour une plongée en autonomie réussie.
3. Les points importants pour une plongée en autonomie réussie.
3. Les points importants pour une plongée en autonomie réussie.
Le milieu naturel Stéphane Langlois
Plan du cours • Aspects du milieu naturel • Dangers du milieu naturel • Évolution dans le milieu naturel
Aspects du Milieu Naturel 1/6 • Plongée en milieu naturel : • mer, carrière, rivière, lac ou souterraine, • A chaque types de plongées, ses particularités et ses dangers. • Cours : milieu marin et similitudes avec les autres types de plongée.
Aspects du Milieu Naturel 2/6 Différence entre les environnements terrestres et aquatiques • La densité • L'eau est 800 fois plus dense que l'air une forte résistance aux mouvements • La gravité • L'eau est plus dense que l'air apesanteur (squelette, taille)
Aspects du Milieu Naturel 3/6 • La lumière • L'eau absorbe la lumière pas de lumière en dessous de 180m donc vie des plantes marines limitées aux zones peu profondes
Aspects du milieu naturel 4/6 • L’oxygène. • Présent de manière homogène dans l’air (21%), pas dans l’eau peu d’oxygène dans les lacs profonds branchies plus efficaces que les poumons. Pour certains animaux aquatiques, obligation de remonter en surface pour respirer.
Aspects du milieu naturel 5/6 • Les végétaux. Sur terre c’est l’organisme dominant (massifs, difficiles à déplacer) écosystème stable. Sous l’eau, la majorité des végétaux sont petits ou microscopiques, ils sont mangés par de petits animaux qui sont considérés comme le fournisseur d’énergie de l’écosystème.
Aspects du milieu naturel 6/6 • Chaînes alimentaires. • Sur terre à trois niveaux. • L’herbe convertit la lumière en énergie chimique, l’antilope mange l’herbe, le lion mange l’antilope. • Sous l’eau minimum à quatre niveaux. • Les algues convertissent la lumière en énergie chimique, les algues sont consommées par le plancton animal, qui est mangé par les petits poissons, qui servent de nourriture aux dauphins.
Évolution dans le milieu naturel Techniques de plongée et de préservation de l’environnement. • Fixer l’équipement sans rien laisser traîner. • Utilisez une bonne technique de plongée. • Soyez lestés correctement. (Nous allons développer ce point à la fin de ce chapitre). • Nagez en position horizontale. (Cela éloigne les palmes du fond). • Essayez de planer calmement dans l’eau sans vous agiter. • Évitez de toucher quoi que ce soit avec les mains. • Pour les plaisanciers, évitez de jeter l’ancre sur le récif.
Évolution dans le milieu naturel. Le Lestage La maîtrise de la flottabilité est l'une des techniques les plus bénéfiques pour les plongeurs. • Elle vous permet d'économiser de l'air. De l'énergie. • Elle vous aide à éviter d'endommager l'environnement et fait de vous un plongeur responsable.
Évolution dans le milieu naturel. Le Lestage La règle essentielle de la maîtrise de la flottabilité est de ne pas plonger avec plus de plombs que nécessaire. • Comment savez-vous de manière précise le nombre de plombs dont vous avez besoin ?
Évolution dans le milieu naturel. Le Lestage Vous faites un contrôle de flottabilité dans l'eau. • Chaque fois que vous changez la configuration de votre matériel de plongée. • Chaque fois que vous changez d'environnement de plongée (spécialement de l'eau douce à l'eau de mer et vice-versa). • Si vous n'avez pas plongé depuis longtemps.
Évolution dans le milieu naturel. Le Lestage Cinq étapes du contrôle de flottabilité. Voici ce qu'il faut faire. • Mettez-vous à l'eau complètement équipé pour la plongée. • Allez dans un endroit où vous n'avez pas pieds et dégonflez complètement votre gilet. • Restez en position verticale et sans bouger en maintenant une respiration normale. • Ajoutez / enlevez des plombs jusqu'au moment où vous flottez au niveau des yeux tout en maintenant une respiration normale. • Comme test final, vous devez couler lentement quand vous expirez. Si vous avez une bouteille pleine, ajoutez 2 kg.
La descente Claude Coulaud
Plan du cours • La mise à l’eau • Essoufflement de surface • Pourquoi ? • Que faire ? • Les accidents Barotraumatiques • Oreille • Masque • Dent • Sinus
L’oreille • la descente la pression de l’eau exerce une pression qui déforme le tympan (1 cm 2) fin comme du papier à cigarette
L’oreille • Causes en rapport à la trompe d'Eustache : • Mouchage insuffisant, • Inflammation ou obstruction due à une infection voies aériennes supérieures, • Mauvaise manœuvre d'équilibrage. • Causes en rapport avec le canal auditif : • bouchon de cérumen. • Symptômes : • Gêne, • Douleur, • Bourdonnement • Vertiges • Eclatement du tympan accompagné de nausée et surdité.
L’oreille • Autres méthodes • - • - • - • - • Avantages et inconvénients • - • - • - • -
Le masque • Accident bénin dit du « débutant » • Symptômes • Le plaquage de masque peut provoquer la rupture de petits vaisseaux des yeux et du nez. • Hémorragies sous-conjonctivales (blanc des yeux marqué par de petites taches rouges) • Troubles de la vision, • Saignement de nez, • Douleur. • Traitement - Prévention • Il suffit de souffler dans le masque régulièrement pendant la descente. En cas de forts saignements, consulter un médecin.
Les dents • Symptômes • Douleur dentaire, • Sensation de froid sur la dent, • Risque d'éclatement de la dent ou du plombage, • Risque de sur-accident dû à la douleur. • Traitement - Prévention • Ne pas plonger si mal aux dents, • Consulter un dentiste avant chaque saison, • Si douleur, remonter lentement. • Si la douleur persiste une fois en surface, consulter un dentiste.
Les sinus • Les sinus sont des cavités remplies d'air, creusées dans certains os de la face et du crâne. Ils encadrent les fosses nasales et l'orbite et communiquent avec le nez soit par des orifices, soit par des canaux osseux
Les sinus • Causes • Obstruction de l'orifice de communication avec les fosses nasales. Cette obstruction est soit d'origine sinusienne (sinusite aiguë ou chronique), soit d'origine nasale (polype, rhinite chronique, congestion de la muqueuse nasale). Le plus souvent il s’agit d'une rhinite qui bloque le sinus pendant 3 ou 4 jours. • Symptômes • Le signe principal est la douleur. Elle survient en générales à la descente, devenant de plus en plus intense avec l'augmentation de la pression. Il peut arriver qu'elle survienne à la remontée. Son intensité variable, habituellement forte peut être accompagnée de saignements et de larmoiements. • [Traitement - Prévention • Ne pas forcer, • Remonter de quelques mètres, • Essayer de se moucher, • Eventuellement inhaler de l'eau de mer, • Ne pas plonger en cas de rhume. • Si la douleur persiste une fois en surface, consulter un ORL.
Au fond Stéphane Langlois, Claude Coulaud
Plan du cours • Les accidents • La narcose • L’essoufflement • Accident alternobarique • Danger du milieu naturel
La narcose • Est un accident toxique provoqué par la ppN2 • La narcose à l’azote, communément appelée « ivresse des profondeurs », se manifeste à partir de 30 mètres de profondeur pour les sujets les plus sensibles et dans la zone des 40 mètre pour la plus part des plongeurs.. • Les mécanisme de la narcose sont encore peu connue, on sait toutefois que la fixation de l’azote sur les gaines entourant les fibre nerveuses altère la transmission des influx nerveux, sur le plan sensoriel et moteur. • les délais d’acheminement des informations sont accrus, et les centres de traitement de l’information au niveau du cerveau est perturbés
La narcose • Symptômes • Gestes répétitifs • Retard de réponse à un signe • Attitudes surprenantes • fixation • Trouble de la vision : « effet tunnel », caractérisé par un rétrécissement du champ visuel. • Sensation de solitude s’accompagnant d’une augmentation du dialogue intérieur. • Vertige , perte le la notion haut/bas. • Que faire pour l’éviter et conduite à tenir ? • . • .
L’essoufflement • Mécanisme de l'essoufflement • Les échanges gazeux ont lieu au niveau des alvéoles : l'oxygène de l'air pénètre dans le sang, alors que celui-ci déverse du gaz carbonique (CO2) dans les alvéoles. L'expiration chasse un air chargé en CO2 alors que l'inspiration apporte aux alvéoles un air riche en oxygène (O2). Si la consommation d'O2 augmente, la production de CO2 augmentera aussi car le CO2 est le résidu de combustion de l’O2 • L'expiration naturelle est passive sur terre elle est active dans l’eau • Pourquoi ? Et que faire • . • . • . • .
L’essoufflement • Causes et facteurs aggravants • Les "traditionnelles" : • La principale cause, toujours présente, est une expiration insuffisante, inefficace. • Le froid • Des efforts musculaires (palmage contre le courant, agitation..) • Un lestage trop important place le corps à l'oblique, ce qui entraîne un effort supplémentaire dans les déplacements. • Une mauvaise forme physique ou mentale • La peur a tendance à nous contracter • Un matériel défectueux, un détendeur trop dur par exemple, impliquera un effort inspiratoire supplémentaire). Une bouteille mal ouverte. • La profondeur est un élément très important. A 30 ou 40 mètres, un essoufflement survient en quelques secondes. ) • La mauvaise qualité de l'air. Facteur important, )
L’essoufflement • Causes et facteurs aggravants • Les « moins connues » • La descente rapide, on expire moins d'air qu'on en inspire (Mariotte). En effet, la pression change très vite et n'est plus la même à chaque étape du cycle respiratoire principale • L’air avec la profondeur sa viscosité est augmentée, il est donc plus difficile à respirer. donc d’expirer. • Conduite à tenir • . • . • . • .
Les accidents alternobariques • Des variations de position de la tête chez le plongeur peuvent entraîner des différences de pression au niveau de l'oreille interne et perturber l'organe de l'équilibre. • Ce phénomène peu être ressenti à la descente et surtout pendant la remonté et peut être aggravé en eau froide.
Dangers du milieu naturelSous l’eau 1/2 • Naturels. • Le courant. • Partir à contre courant. Essoufflement, rester groupés. • La profondeur. • Narcose, décompression. • La visibilité. • Ne pas remuer un fond de vase. • Rester groupés, si besoin se tenir. • Le froid. • La conduction de l'eau est 20 fois plus importante que l’airprotection thermique. • La flore. • Laminaires, herbier -> mal de mer. • La faune. • Morsures, pincements, piqûres…
Dangers du milieu naturelSous l’eau 2/2 • Artificiels. • Les épaves. • Les filets. • Les contourner ou les survoler à au moiNs 2 mètres. • Les lignes. • Les explosifs. • Ne pas confondre un obus et un cul d’amphore. • Le signaler aux affaires maritimes.
Dangers du milieu naturel 1/6Dangers dus au type de plongée. • Plongées de nuit. • Panne de lampe. Elle provoque un accroissement du stress du à l’obscurité. Pour éviter cela, il est préférable d’avoir une seconde lampe de secours. • La séparation du binôme. De nuit il faut redoubler d’attention car la visibilité est réduite. Si séparation de la palanquée, utiliser les procédures de recherche. • La désorientation. En pleine eau observez vos bulles. Si c’est au fond, servez-vous de votre compas ou du relief.
Dangers du milieu naturel 2/6Dangers dus au type de plongée. • Plongées de nuit. • De manière générale, les poissons chasseurs sont attirés par la lumière et peuvent être dangereux par leur présence "encombrante ". • Il est fortement déconseillé de faire une plongée de nuit sur un site ou il y a des courants.