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L’Approche OIM pour la Contribution de la Diaspora au Développement : les éléments principaux. Ugo Melchionda OIM Bureau Regional pour le Méditerranéen Rome.
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L’Approche OIM pour la Contribution de la Diaspora au Développement : les éléments principaux. Ugo Melchionda OIM Bureau Regional pour le Méditerranéen Rome
Nous comprenons maintenant mieux que jamais avant, que la migration n'est pas un jeu à somme zéro. Dans les meilleurs cas, elle bénéficie le pays de réception, le pays d'origine et les migrants eux-même. (les Nations Unies A/60/871 L'Assemblée générale 18 mai 2006 Rapport international de migration et de développement du secrétaire général)
Résumé • 4 conditions pour que la migration internationale peux gagner les trois victoires • L’expérience de l’OIM dans le domaine des programmes de migration pour le développement et le programme MIDA • Le Projet Migressources • Le facteurs d’obstacle et de facilitation, les recommandations
4 conditions pour que la migration internationale peux gagner les trois victoires • L’expérience de l’OIM dans le domaine des programmes de migration pour le développement et le programme MIDA • Le Projet Migressources • Le facteurs d’obstacle et de facilitation, les recommandations
a) Nouveau rôle de la diaspora • Pour gagner les “trois victoires”, il faut garantir l’émergence d’un cercle migratoire vertueux, où les migrants créent, à travers une double dynamique d’intégration et de retour, des relations sociales qui les lient en manière gagnant en même temps à leur société d’origine et à celle d’accueil. • Ce qui contribue à faciliter non seulement leur succès personnel, mais aussi (par l’envoi de ressources économiques, technologiques et sociales, et par leur retour matériel ou virtuel) le développement de leur pays d’origine et celui du pays d’accueil (qui dispose ainsi de ressources humaines qualifiées).
b) Un nouvel paradigme de la migration Pour gagner les trois victoires il faut penser à nouveau : • caractéristiques et buts de la migration : d’une migration pour l’ établissement permanent à la migration temporaire /circulaire qui permets aux migrants d’avoir un rôle et une identité transnational (expérience des Espagnol « Pagesos solidares ») • Le passage de l’attention de la pauvreté absolue à la privation relative, de l’« être pauvres » au « se sentir pauvres», en tant que principal force d'entraînement de la migration • Il faut redéfinir le retour : pas plus une sortie finale et définitive du à l'échec ou la conclusion du projet migratoire, mais les deuxième ressource des projets de Co-développement • Il faut élargir notre conception du capital impliqué dans la migration, le transfert des ressources impliqués dans la migrations et les processus de retour : de une conception des ressources simplement économiques aux ressources constitués par les capitaux humains et sociaux en jeu.
c) Nouvelles politiques migratoires Pour gagner les trois victoires on a besoin des politiques ciblés par exemple: • L’agrandissement de la force de main-d'œuvre migratoire dans les pays développés: l’OCSE avait estimé il y a quelque annés que l’extension de la main-d’ouvre immigrée dans UE USA et Canada jusqu’à rejoindre le 4% du total de la main d’ouvre national donnerait aux pays d’émigration un bénéfice de 160-200 milliards $ • La facilitation du retour comme ressource pour le développement: entre un tiers et un quart des toutes les migrants qui quittaient l’Europe pour les Etats Unies dans la période 1908-1957, ont retournés mais personne a évalue combien de tout le développement européenne a été rendu possible par ce phénomène • Par conséquences: des nouveaux arrangements de migration temporaires /circulaire, capables d’éviter les limites et risques des expériences antérieures (Gastarbeiter, Bracero programs…)
d) Un nouvelle politique des transferts Pour gagner les trois victoires on a besoin des politiques ciblés sur le transferts par exemple pour • Améliorer les transferts des fonds, • Augmenter les transferts formels par des réductions des honoraires pratiqués, • Pousser les investissements rentables par la réduction d'impôts, des « matching funds » et politiques d’encouragement • Réduire les risques de blanchissement d’argent • Réduire les risques d'inflation • Réduire les risques de provoquer ou renforcer l'inégalité sociale et en telle façon accélérer ultérieurement la désintégration des communautés locales • Réduire les risques que les remises sont seulement utilisé pour les consommations de luxe - particulièrement des produits étrangers – produisant un détournement des ressources des investissements rentables • Prendre en compte les transferts technologiques et sociales
4 conditions pour que la migration internationale peux gagner les trois victoires • L’expérience de l’OIM dans le domaine des programmes de migration pour le développement et le programme MIDA • Le Projet Migressources • Le facteurs d’obstacle et de facilitation, les recommandations
Les programmes de l'IOM de Migration pour le développement • Dans le contexte des conventions de Lomé II, III et IV, I’OIM avait lancé dans 1983, sur financement de la Commission européenne, le programme pour le retour et la réintégration des ressortissants Africain qualifiés (RQAN). • Par le programme de RQAN plus de 2000 des ressortissants africains hautement qualifiés et expérimentés ont été aidés à mettre en place leur retour professionnel et leur réintégration dans 41 pays • En outre 2.565 étudiants ont été aidés par des différents programmes financés par la CE.
Migrations pour le développement en Afrique (MIDA) • À partir des enseignements tirés du RQAN et des recommandations qui ont été adoptées lors des différentes réunions , l'OIM a lancé en 2001 à Libreville, au Gabon, un nouveau programme intitulé «Migrations pour le développement en Afrique (MIDA)». • MIDA est un programme de renforcement des capacités institutionnelles axé sur la demande. Il a pour objectif général de favoriser le renforcement de la capacité des gouvernements à réaliser leurs objectifs de développement par le transfert des compétences pertinentes et des ressources financières et autres des Africains de la diaspora.
MIDA: buts principaux • Identifier les besoins en compétences dans les secteurs économiques prioritaires des pays ciblés. • Identifier les compétences et les ressources disponibles au sein de la diaspora. • Mettre en corrélation les besoins identifiés des pays ciblés et les compétences appropriées et autres ressources des Africains de la diaspora afin de les encourager à contribuer plus efficacement au développement de leurs pays d’origine. • Explorer les voies les plus avantageuses pour canaliser et investir les fonds transférés par les migrants pour le développement des pays d’origine, et de recommander la création d’un environnement favorable pour de tels investissements. • Créer des synergies entre les gouvernements au niveau national et local (régions et municipalités), la société civile, les institutions académiques et de recherche (par exemple les fondations Ford et Rockefeller), les associations africaines, le secteur privé, et les partenaires au développement en vue d'un soutien conjoint durable à la mise en oeuvre du programme MIDA.
L’état actuel du programme MIDA • Fin 2001, un projet pilote couvrant la région des Grands Lacs a été lancé en République démocratique du Congo, au Burundi et au Rwanda grâce au financement du gouvernement belge. • D'autres ont suivi, notamment pour la Guinée, le Ghana, la Sierra Leone et l'Ethiopie avec la participation d'autres partenaires européens, tels que l'Italie, les Pays Bas, le Royaume-Uni ainsi que des Etats-Unis. • Jusqu’à présent, six projets sont en cours d’exécution et 27 propositions de projet MIDA ciblant des pays dans les quatre sous-régions de l'Afrique subsaharienne ont été élaborées en collaboration étroite avec les gouvernements des pays d'origine et les diasporas dans les pays d'accueil. • Plusieurs propositions sont actuellement à l’étude auprès de partenaires bilatéraux et multilatéraux.
MIDA: modalités d’action /1 • Il tient compte du besoin du personnel fortement qualifié dans les secteurs spécifiques dans les pays développés d'une part, et du souci de contribuer au développement des pays d’origine de l'autre. • Il n'exige pas nécessairement le retour systématique des migrants. • Identifie des qualifications et des ressources disponibles dans la Diaspora afin d'engager la Diaspora elle-même dans le processus de développement des pays d'origine. • Favorise les synergies d’action entre les gouvernements au niveau national aussi bien que le niveau local (régions et municipalités), la société civile, les associations de la diaspora, les agences de secteur privé et des donateurs en mettant en application le programme avec une approche soutenable et coopérative • Il respecte l'identité duelle des migrants dans la Diaspora en leur donnant l'occasion de contribuer au procédé de développement de leur pays d'origine sans donner vers le haut des positions et des droites ils ont acquis dans leurs pays d'accueil
MIDA: modalités d’action/2 • Le programme MIDA prévoit divers mécanismes souples et novateurs pour le transfert des compétences. Il peut s'agir de transferts temporaires, séquentiels (répétés) ou virtuels qui dépendent de plus en plus des nouvelles technologies de l’information pour faciliter le transfert des compétences. • MIDA est un programme basé sur la demande. Il vise à assurer que le transfert des individus hautement qualifiés ou autres ressources est canalisé de façon à satisfaire les conditions de développement et les besoins prioritaires des pays d'origine. • MIDA encourage l'utilisation efficace et volontaire des rapatriements de fonds effectués par les migrants pour le développement des pays d'origine.. • MIDA vise à renforcer la capacité du secteur privé dans les pays d’origine avec la contribution des Africains de la diaspora à travers la création de petites et moyennes entreprises (PME) et d’emplois • MIDA soutient la participation active des femmes à un environnement économique et social favorisant l'équilibre entre les sexes, renforçant ainsi leur rôle dans les secteurs socio- économiques de leurs pays.
4 conditions pour que la migration internationale peux gagner les trois victoires • L’expérience de l’OIM dans le domaine des programmes de migration pour le développement et le programme MIDA • Le Projet Migressources • Le facteurs d’obstacle et de facilitation, les recommandations
Le projet MIG-ressources • A partir de la stratégie OIM visée à favoriser et soutenir la centralité des initiatives des immigrés en ce qui concerne leurs pays d'origine l’OIM gère à présent au Maroc le projet Migressources, • Le projet spécifique, lancé grâce au financement du Ministère des affaires étrangères de l'Italie Direction General de la coopération et mis en application par IOM Italie en association avec le CERFE et le CERED (Centre d’Etudes et Recherche Economique et Démographique, rélevant du Haut Commissariat au Plan) a débutée en avril 2006 et est envisagée comme terminant (de sa première partie) en juin 2007.
Justificatif du projet • L’intégration sociale des migrants marocains en Italie, par exemple, est gênée par la sous-utilisation de ses qualifications même universitaires qui toutefois représentent un véritable capital humain et social dans son pays d'origine. • Ce projet vise à renverser ce processus, en créant les conditions pour un meilleur utilisation du capital humain et social représenté par les migrants - et par conséquent une meilleure intégration dans la société d’accueil – tout à fait tenant en compte du développement socio-économique du pays d'origine par des moyens comment le retour (virtuel ou réel) ou l’ investissement ciblé des transferts de fonds des migrants.
Objectives du projet • Créer un environnement plus favorable pour la migration qualifiée vers l'Italie et la réinsertion réussie au Maroc des migrants de retour . Ceci sera fait à travers la création d'un réseau transnational des sociétés, associations migratoires et administrations publiques au Maroc et en Italie intéressés à recruter ces migrants • Créez les conditions pour une intégration réussie et une insertion professionnelle soit des migrants marocains potentiels, (intervenant avec des forme de orientation et formation ciblée avant leur départ) , soit des immigrés marocains déjà résidants en l'Italie et sous-employé en respect à leurs qualifications, en offrant des soutenables alternatives . • Identifiez parcours de retour qualifiés (virtuel/ temporaires ou permanents ) pour des immigrés marocains résidant en Italie au fin de contribuer au développement local et intensifier la coopération entre les deux pays. • Identifiez des moyens et des méthodes pour utiliser mieux les transferts des migrants dans le but du développement économique et social du Maroc
Les activités de recherche • La première phase de ces activités de recherche a en particulier consisté à passer en revue la littérature scientifique et la documentation la plus récente en matière de migration internationale. • Les résultats de la première phase de la recherche (450 textes diverses répertoriés) sont abouti à définir l’existence, dans son ensemble, d’un processus à travers lequel les migrations internationales produisent une pratique sociale capable de garantir les trois victoires et défini dans le cadre de la recherche « milieu social transnational »
Les facteurs décisifs du Milieu social transnational • la réalisation d’une “migration intelligente”, préparée et mise en œuvre selon un parcours stratégique et non fortuit; • l’application d’une “intégration savante” dans la société d’accueil qui évite à la fois de tomber dans l’assimilation et de s’isoler par rapport à cette même société; • la mise en œuvre d’un “retour constructif”, autrement dit en mesure d’engendrer, sous ses différentes formes, des processus d’amélioration dans la société d’origine; • l’exécution de transferts économiques, • l’exécution de transferts technologiques • l’exécution de transferts sociaux en mesure de favoriser non seulement l’entretien et la survie de la famille, mais aussi de développer et d’améliorer les conditions de vie dans le pays d’origine; • la conscience de faire partie d’une société transnationale,
MIGRATION INTELLIGENTE • les conditions qui tendent à faire en sorte que les migrations ne soient pas un événement fortuit, mais un processus stratégiquement orienté. • l’existence d’un projet migratoire de qualité; • la présence d’un plan de qualification en vue de la migration, construit à travers de précédentes expériences de formation et professionnelles; • la disponibilité de capital social, d’un ensemble de réseaux de connaissances et de relations dans son propre pays et dans celui d’accueil qui pourront être mobilisées pour identifier et saisir les meilleures opportunités d’insertion; • l’acquisition d’informations et de connaissances visant à pouvoir mieux gérer les risques et les opportunités rencontrées dans le pays d’accueil ; • une propension às’intégrer; • une propension à améliorer la réalité et à développer son pays et celui d’accueil, laquelle se concrétise par la recherche de modalités d’insertion professionnelles adéquates et le maintien de l’intérêt pour son pays.
INTÉGRATION SAVANTE • certaines conditions qui permettent aux immigrés d’effectuer dans la société d’accueil une insertion qui soit cohérente avec leur statut professionnel et leurs expectatives, sans que cela comporte une assimilation complète ni une insertion purement superficielle, : • la possibilité effective pour les immigrés qualifiés d’exercer des activités professionnelles cohérentes avec leur préparation et qualification; • la présence d’un tissu d’entreprises d’immigrés de haut profil; • l’accès des immigrés qualifiés à des consommations culturelles analogues à celles de la population locale • la possibilité pour les migrants de pratiquer une double identité, • la reconnaissance et l’estime des capacités et des potentialités des immigrés qualifiés dans le pays d’accueil; • la diffusion, parmi les migrants, d’opinions positives sur le pays de destination, notamment en ce qui concerne les opportunités d’avancement économique; • l’existence de rapports de familiarité avec la population locale,
RETOUR CONSTRUCTIF • l’existence d’un intérêt pour l’amélioration du pays d’origine, qui se manifeste avec la volonté de partager les connaissances acquises durant leur période d’émigration et celle d’encourager la “good governance” et la démocratie, etc.; • la présence d’une propension à définir un projet de retour et à mettre en pratique des activités pour préparer le retour lui-même, en identifiant, par exemple, les opportunités sur lesquelles fonder des activités sociales ou d’entreprise, en mobilisant des ressources financières et leur capital social, etc.; • la pratique de formes de retour de brève durée, qui apparaissent particulièrement fonctionnelles pour produire des effets positifs sur le développement local, comme – entre autres – les visites pour effectuer des consultations, gérer des activités d’entreprises dans le pays d’origine, exercer des activités d’enseignement, etc.; • la pratique de modalités de retour virtuel, à travers l’exercice d’activités orientées sur le pays d’origine et ses habitants durant leur séjour à l’étranger.
TRANSFERTS DE TECHNOLOGIES • Les transferts de technologies, autrement dit le fait que les migrants puissent assumer un rôle d’agents de transfert technologique et d’innovation dans leur pays d’origine grâce à des actions telles que: • l’acquisition di nouvelles connaissances durant leur séjour à l’étranger, grâce à des activités de formation et de qualification, ainsi que la pratique de formes de mobilité ascendante sur le marché international du travail; • la transmission de connaissances à leurs compatriotes restés au pays, en valorisant leur patrimoine de connaissances communes pour faciliter les innovations; • la réalisation d’initiatives dans leur pays d’origine telles que la création d’entreprise, l’enseignement dans des centres de formation et universités, l’application directe des technologies et des procédures apprises à l’étranger sur les lieux de travail.
TRANSFERTS SOCIAUX • Dans de nombreux cas, les migrants apparaissent porteurs de nouveaux systèmes de normes sociales concernant – entre autre – la vie quotidienne, la responsabilité familiale, les relations de voisinage, les rapports avec les institutions, les aspirations à la mobilité sociale, la définition de l’identité personnelle et les rôles de genre; • à travers les migrants, de nouveaux comportements sont parfois introduits - dans la société d’origine ou dans celle d’arrivée –, en ce qui concerne les tâches domestiques, la participation politique et l’adhésion à la société civile, qui sont souvent le fruit de l’interaction avec les communautés rencontrées durant l’expérience migratoire; • dans certains cas les migrants exercent une influence sur les processus sociaux et politiques de leur pays d’origine, en promouvant de nouvelles initiatives d’organisation de la citoyenneté, en influençant l’opinion publique, en sollicitant la prise de décisions politiques et aussi, souvent, en promouvant le développement du patrimoine culturel local.
LA SOCIETE TRANSNATIONALE • L’orientation à y participer activement se concrétise selon différentes modalités comme, par exemple: • la pratique, par de nombreux migrants qualifiés, de formes de migration circulaire, qui incluent plusieurs retours – aussi bien réels que virtuels - et plusieurs migrations successives, souvent dans des pays différents; • la participation à la création de groupes de personnes de différentes nationalités et dispersées dans divers pays, mais qui partagent une même identité, laquelle est essentiellement constituée par un ensemble commun d’intérêts, de valeurs, de représentations et de comportements; • la création d’entreprises transnationales ou qui agissent dans la dimension internationale, • le développement d’organisations transnationales et de réseaux internationaux, diffusés mondialement à la fois entre migrants provenant du même pays et entre migrants de différentes provenance, qui organisent la coopération internationale, la circulation de connaissances et d’informations.
Conditions pour que la migration internationale peux gagner les trois victoires • L’expérience de l’OIM dans le domaine des programmes de migration pour le développement et le programme MIDA • Le Projet Migressources • Les facteurs d’obstacle et de facilitation: recommandations
Phénomènes d’obstacle O1. L’émigration improvisée O2. La transformation du pays de transit en destination finale O3. Les expectatives de migration temporaire qui dissuadent de définir un projet migratoire O4. Les expectatives et représentations déformées de la réalité liées à la socialisation anticipée O5. Manque de diffusion dans les pays d’origine de services d’information destinés aux immigrés O6. Carence d’informations sur le pays de destination de la part des potentiels migrants Phénomènes de facilitation F2. Les précédentes expériences d’émigration qui sont une forme de préparation à l’émigration F4. Formation dans le pays d’origine de professionnels pour se préparer à émigrer F7. Les expériences professionnelles pour préparer l’émigration F10. L’identification et la sélection des opportunités professionnelles F12. L’accumulation du capital social F13. Les associations d’immigrés représentent une source d’accès aux informations nécessaires F14. L’offre d’informations à travers Internet représente une opportunité pour se préparer MIGRATION INTELLIGENTE
Phénomènes d’obstacle O11. La condition d’irrégularité O13. Les difficultés à se voir reconnaître les parcours de formation O14. Les carences des services publics qui s’occupent de gérer les migrations O17. Le manque de connaissance de la langue locale O19. Manque d’accès aux services de base et au logement O21. La déqualification professionnelle due à l’accès à des travaux non qualifiés O28. Discriminations sur le marché du travail Phénomènes de facilitation F16. La disponibilité à la mobilité F21. Soutien des employeurs pour l’insertion F22. La possibilité d’obtenir la citoyenneté F23. Les conditions d’accueil des familles F24. La construction d’un capital social dans le pays d’accueil F28. Participation à l’associationnisme F30. La présence d’un milieu multiculturel INTÉGRATION SAVANTE
Phénomènesd’obstacle O36. Les difficultés de réadaptation O37. La perte des droits dans le pays d'émigration O38. Incertitude sur les conditions familiales dans le pays d’origine O40. Manque de services de recrutement de personnel qualifié dans les pays d’origine O41. Hostilité de la population locale à l’égard des migrants qui s’apprêtent à revenir O42. Conditions de travail inférieures dans le pays d’origine Phénomènesde facilitation F35. Présence d’expectatives dans le pays d’origine F36. Présence pour les migrants de retour de nouvelles opportunités liées aux changements politiques et économiques F37. La participation à des réseaux et associations professionnelles F40. Existence de programmes de soutien à la circulation des cerveaux. F41. Mesures d’incitation financières pour le retour F47. La disponibilité d’informations sur le pays d’origine RETOUR CONSTRUCTIF
Phénomènesd’obstacle O51. Les coûts élevés des transferts par banques et circuits internationaux O52. Le manque de transparence sur les tarifs appliqués O53. La faible diffusion des services bancaires dans les pays qui reçoivent les transferts O55. Le manque d’instruments financiers bancaires ad hoc pour le transfert de fonds O56. Les longs délais et les retards des transferts O58. Manque d’informations des migrants sur les options de transfert disponibles Phénomènes de facilitation F48. L’économicité des systèmes postaux et des voies informelles F49. La circulation d’informations sur les services F50. La simplicité des transferts F51. La diffusion territoriale des agences des circuits commerciaux internationaux pour le transfert et le retrait des fonds F52. La collaboration entre les systèmes bancaires des pays d’envoi et ceux de réception des transferts de fonds F54. Initiatives de matching funds pour renforcer l'impact des transferts de fonds sur le développement TRANSFERTS ECONOMIQUES
Phénomènes d’obstacle O64. “Ségrégation” des migrants dans des bassins d’emplois non qualifiés O65. Manque de connaissances à jour sur le pays d’origine O66. Les expectatives familiales qui font obstacle à la création d’entreprise O67. Carence de compétences en matière d’entreprise O68. Les coûts d’investissement O69. Les difficultés d’accès au crédit dans le pays d’origine, mais aussi dans celui d’accueil Phénomènes de facilitation F56. La transmission de connaissances facilitée entre émigrés et leurs compatriotes F57. Le retour F58. La création d’entreprise dans le pays d’origine F59. La reconnaissance et la formalisation des connaissances acquises F65. Les opportunités de transfert de technologies liées aux transformations dans les marchés locaux F70. Intérêt des entrepreneurs locaux à l’égard de l’innovation TRANSFERTS DE TECHNOLOGIES
Phénomènes d’obstacle O70. Le manque de capital social dans la société d’origine O71. Le statut et la crédibilité du "vecteur" O72. Les différences entre les migrants et leur milieu social d’origine O73. Les différences entre les pays récepteurs et d’envoi des transferts sociaux Phénomènes de facilitation F72. Les activités des associations d’émigrés pour les transferts sociaux F74. Les transferts économiques F75 Les transferts technologique F76. Le retour F78. La présence d’activités pour soutenir les transferts sociaux F79. L’émigration féminine qualifiée pour faciliter les processus de transformation des rôles sociaux TRANSFERTS SOCIAUX
Phénomènesd’obstacle O74. Le risque d’assimilation à la société d’accueil O75. La méfiance à l’égard des migrants transnationaux O76. La focalisation de l’expérience migratoire sur l’amélioration des conditions familiales O77. La renonciation à rentrer O78. La création d’entreprises locales O79. L’absence de pratiques de migration circulaire Phénomènesde facilitation F82. Les possibilités de communication et de transport internationaux F84. La présence d’une diaspora organisée F86. La création de partenariat transnationaux F88. La coopération décentralisée en tant que lieu privilégié pour construire un milieu social transnational F89. La dimension internationale de la formation F92. L’orientation sur les ICT LA SOCIETE TRANSNATIONALE
Merci de votre attention Ugo Melchionda OIM Bureau Regional pour le Méditerranéen Rome umelchionda@iom.int