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Bibliographie : Concernant le regroupement : Théories de la motivation. Salvatore Maugerie. Dunod col les topos Sociologie des réseaux sociaux. Pierre Mecké. La découverte. Oct2004 Revue française de gestion n°163, 2006, management et réseaux sociaux Concernant l’entreprise étendue :
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Bibliographie : • Concernant le regroupement : • Théories de la motivation. Salvatore Maugerie. Dunod col les topos • Sociologie des réseaux sociaux. Pierre Mecké. La découverte. Oct2004 • Revue française de gestion n°163, 2006, management et réseaux sociaux • Concernant l’entreprise étendue : • Les stratégies d’alliance. P. Dussauge et B. Garette. Editions organisation. Paris 1995. • Revue française de gestion n°164, 2006, relations interorganisationnelles. • Le tableau de bord prospectif. R.S Kaplan et D.P Norton. Editions organisation. 1998. • J.Pfeffer etG. Salancik, la dépendance des ressources est startégique. Sandra Charriere dans Les grands auteurs en management. Editions ems.2002.
Définition des termes du sujet Problématique et plan Quelques éléments d’argumentation
Définition des termes du sujet Chapitre 2 Chapitre 3
Entreprise étendue 1 Définition des termes du sujet Chapitre 2 Chapitre 3 Entreprise : organisation humaine qui poursuit un objectif commun. Elle combine des facteurs de production pour créer de la richesse qui sera ensuite redistribuée aux apporteurs de ressources. Les frontières de l’entreprise sont aujourd’hui de plus en plus floues. A l’entreprise monolithique fordiste, s’est substituée un ensemble d’entités liées par des relations plus ou moins hiérarchiques qualifiées de relations inter organisationnelles. Entreprise étendue : La définition de ce concept est proche de celle d’entreprise réseau mais les deux concepts reflètent des réalités différentes. Pour Eric. LTrist le terme d’organisation étendue s’applique à la création d’entités organisationnelles spécifiques pour réguler certains domaines organisationnels. Le but est de coordonner les besoins, les stratégies et les comportements de manière à tirer les bénéfices des relations de coopération.
Entreprise étendue et mode de gouvernance d’O. Williamson 1 Définition des termes du sujet Chapitre 2 Chapitre 3
Entreprise étendue 1 Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 • Pour qualifier les différentes formes d’entreprise, différents concepts sont utilisés en fonction de l’importance que l’on veut donner à l’objet analysé : • L’entreprise étendue met l’accent sur les liens interorganisationnels • L’entreprise éclatée met en évidence le principe de différenciation qui existe dans les entreprises en réseau. • L’entreprise virtuelle met au centre de l’analyse le rôle des NTIC • L’entreprise fractale insiste sur la fragmentation et l’irrégularité des règles, des flux qui existent au sein de l’organisation. • L’ entreprise réseau est un concept plus large qui englobe tous les types de liens entre et au sein des entreprises • Tous ces concepts renvoient à une même réalité qui est l’émergence d’une nouvelle forme d’organisation, décentralisée, aplatie, flexible dans laquelle les modes de contrôle et de coordination sont fluctuants.
Création de valeur 2 Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 La création de valeur est le critère actuel pour mesurer la performance de l’entreprise. La valeur est alors la valeur actionnariale mesurée par des indicateurs comme l’EVA, la MVA La création de valeur peut aussi être mesurée par d’autres indicateurs : satisfaction du client, chaîne de valeur développée par M. Porter, balance score card (Kaplan et Norton) Ces différents aspects de la création de valeur sont en lien puisque le retour sur investissement des actionnaires dépend de la performance de l’entreprise vis-à-vis de ses autres parties prenantes.
Lien entre l’entreprise étendue et la création De valeur. 3 Définition des termes du sujet Chapitre 2 Chapitre 3 Plusieurs facteurs expliquent aujourd’hui le développement de relations interorganisationnelles : Stratégies de recentrage des grandes entreprises pour permettre de concentrer leurs ressources sur leur métier. Ex Alcatel qui vend sa production de téléphone à flextronics. Concept d’entreprise sans usines. Intensification de la concurrence et besoin d’innovations, coût de la recherche/développement qui nécessite de partager les risques. Recherche d’une flexibilité accrue dans un monde incertain. Les entreprises aujourd’hui sont contraintes par leur environnement incertain. Limiter l’incertitude c’est aussi s’assurer l’accès à différentes ressources (théorie de la dépendance envers les ressources de Pfeffer). La recherche d’avantages compétitifs et la création de valeur sont au centre des RIO.
Chapitre 1 Problématique et plan Chapitre 3
La problématique 1 Chapitre 1 Problématique et plan Chapitre 3 Le « et » du sujet implique de se poser la question de l’interaction entre les deux concepts. Comment la recherche de création de valeur explique le développement des RIO et l’apparition d’une nouvelle forme d’entreprise : l’entreprise étendue. Cette nouvelle forme d’organisation satisfait-elle à l’objectif de création de valeur ? Les problématiques proposées : Sous quelles conditions l’entreprise étendue crée t-elle de la valeur Existe-t-il une spécificité de la valeur créée par l’entreprise étendue
Existe-t-il une spécificité de la valeur créée par L’entreprise étendue. 1 Plan 2 Chapitre 1 Problématique et plan Chapitre 3 • L’entreprise étendue met en place des nouvelles formes de collaboration qui sont à l’origine d’une création de valeur durable • Un certain nombre de conditions sont nécessaires pour que les bénéfices tirés des relations inter organisationnelles créent de la valeur.
Chapitre 1 Chapitre 2 Argumentation
Chapitre 1 Chapitre 2 Argumentation Les alliance stratégiques Entre firmes non concurrentes Entre firmes concurrentes Alliances complémentaires Alliance de co intégration Alliances de pseudo concentration Joint venture de multinatio nalisation Partenariats verticaux Accords intersectoriels
Entreprise étendue : une organisation qui crée de la valeur Existe-t-il une spécificité de la valeur créée par L’entreprise étendue. 2 1 Chapitre 1 Chapitre 2 Argumentation • Dans le cadre des stratégies de recentrage des grandes entreprises se développent des collaborations entre celles-ci et les sous traitants et les cotraitants fondées essentiellement sur l’échange de compétences, la légitimation. Ex de l’automobile ou de Benetton. • Confier à l’extérieur une partie de la production d’un bien ou un service a deux conséquences : l’entreprise partenaire maîtrise des compétences que l’entreprise n’a pas les moyens de développer, le fait d’externaliser l’activité lui permet de concentrer ses ressources sur son métier et donc de développer des avantages compétitifs.Globalement, le processus de production sera amélioré. Chaque entreprise gagne dans ce type de partenariat, l’une parce qu’elle rationalise ses activités et l’autre parce qu’elle s’assure des débouchés. La dépendance est réciproque.
Chapitre 1 Chapitre 2 Argumentation • L’entreprise devient plus flexible et peut mieux gérer les fluctuations de son environnement car elle est décentralisée et dispose d’un échange d’information important. Cf firme J de Aoki. • Ces mécanismes de coordination sont aujourd’hui principalement fondés sur l’échange de connaissances et d’information et c’est pour cela que les RIO sont réputées être facteur d’innovation.L’apprentissage est, en effet un des avantages majeurs des réseaux. Ex de l’innovation dans les biotechnologies qui, aujourd’hui est le résultat des rapports entre les grandes entreprises et les petites entreprises. • Permet d’imposer des standards sur le marché et donc de rentabiliser une innovation. EX du DVD.
Les NTIC expliquent le développement des RIO 2 Chapitre 1 Chapitre 2 Argumentation Thèse développée par T. MAlone, J.Yates et B. Benjamin Les coûts de la coordination marchande sont inférieurs aux coûts hiérarchiques grâce aux NTIC. Les entreprises s’engagent donc davantage vers des formes de coordination marchande. De même, F. Fréry considère que l’avènement des réseaux informatiques, de l’EDI et de l’internet renforcent le déterminisme technologique dans le choix d’un mode d’organisation particulier et ce dans le sens d’une désintégration technique. La réduction de l’incertitude qui en résulte, les nouveaux modes de contrôle et de coordination qui en résultent ont plusieurs conséquences : Baisse des coûts de transaction du fait de la rapidité des transactions et de la standardisation des échanges. Augmentation de la valeur des échanges car amélioration de la cohérence entre les différents systèmes d’information.
Rôle des NTIC 2 Chapitre 1 Chapitre 2 Argumentation Ex : coopération entre trois mutuelles : la MACIF, la MAIF et la MAAF. Création d’une coopérative de type SA au début des années 90 dont l’activité est de concevoir et de gérer (en partenariat avec les directions concernées) le SI. Cette coopération entraîne une plus grande représentativité sur le marché de l’assurance automobile (la coopération consiste à concevoir un système représentant les 2/3 du marché de l’assurance automobile.) Elle permet un partage des coûts et des risques liés à la conception du SI. Elle a pour conséquence une amélioration de l’attention portée aux sinistres et facilite l’innovation dans la gestion des sinistres par le partage des connaissances.
Les conditions pour que l’entreprise étendue crée de la valeur 1 Chapitre 1 Chapitre 2 Argumentation 15% des coentreprises disparaissent dans leurs deux premières années d’existence et plus de la moitié dans les six années qui suivent leur création. Les différentes approches s’intéressants aux RIO montrent effectivement les difficultés auxquelles sont confrontées les entreprises. Chaque entreprise qui participe à cette organisation étendue conserve ses propres objectifs. Il existe donc des tensions importantes dans les RIO qui sont dues à l’existence simultanée de forces incitant à la coopération et d’autres à la compétition. Ces tensions concernent : La coopération et l’individualisme Le partage et l’épreuve de force La confiance et l’opportunisme Le formel et l’informel.
La nécessité de maîtriser les coûts des RIO 1 Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 La théorie des coûts de transaction est l’approche qui explique le mieux les arbitrages de la firme qui s’engage dans un processus coopératif en terme de coûts et de bénéfices. Les coûts sont aussi fonction des rapports de force qui existent dans la coopération, ce que nous explique la théorie de la dépendance des ressources mais ces rapports de force peuvent évoluer avec l’environnement. Les coûts sont fonction des investissements nécessaires pour mener à bien la coopération Les RIO peuvent être destructrices de valeur : perte de compétences, conflit entre les partenaires, problème de la sécurité des échanges d’information. La vulnérabilité de l’entreprise peut alors être accrue.
Piloter la création de valeur 2 Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 Le problème dans les RIO est la mesure de la création de valeur par les différents partenaires et son partage. Les frontières de l’entreprise étendue ne correspondent pas aux frontières juridiques de l’entreprise. Se pose alors un problème de contrôle de l’action des différents partenaires. La gouvernance des RIO est au centre des relations entre les partenaires et détermine leur efficacité. La théorie des réseaux sociaux peut apporter des réponses au problème du comportement opportunistes et du contrôle des partenaires.
Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3