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Philippe Rémy. Philippe Rémy. Né à Salmchâteau le 14 mai 1956. 1982-1989 : Etudie la sculpture à Bruxelles auprès de Pierre Pieters à l’Académie des Beaux-Arts de Saint-Gilles (Bruxelles), puis auprès de Jean-François Diord à l’Ecole des Arts d’Anderlecht.
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Philippe Rémy Né à Salmchâteau le 14 mai 1956. 1982-1989 : Etudie la sculpture à Bruxelles auprès de Pierre Pieters à l’Académie des Beaux-Arts de Saint-Gilles (Bruxelles), puis auprès de Jean-François Diord à l’Ecole des Arts d’Anderlecht. Travaille la pierre et le marbre qu’il associe parfois au métal. Réalise à Han-sur-Lesse un environnement sculptural pour un plan d’eau et une fontaine (Ricochet), 1998. Participe à diverses expositions de sculpture, notamment à Sacramento en 1992. « Utilise les pierres et les métaux comme des réminiscences d’un rêve, d’un jeu d’enfant ; parfois, on retrouve le souvenir de corps entrechoqués. Il construit des assemblages où les détails amplifiés révèlent la tension globale vide-plein, enfoui-saillant, brut-poli. » (P.V.C.)
Expositions. • American Cultural Center, Bruxelles, 1988. • Le Miroir d’Encre, Galerie, Bruxelles, 1989. • Exposition Internationale Linéart, Gand, 1989. • Itinéraires, Galerie, Nice, France, 1992. • Michael Himovitz, Gallery, Sacramento, Ca., U.S.A., 1993. • Babel 2000, Language Centre, Bruxelles, 1995. • Echancrures, Galerie, Bruxelles, 1996. • Musée de la Médecine, U.L.B. Erasme, Bruxelles, 1998. • Prix de la Communauté française, 1998, Sculpture, Première Mention. • Espace Renault, Bruxelles, 2003. • Art’bre, Galerie, Profondeville, 2013.
Le temps d’un sourire. Philippe Rémy Plissures, chocs, contractions, forces des éléments pressés par le temps, contraints dans la matière puis subitement, sous les mains du sculpteur, libérés, transfigurés, réincarnés : tels sont les mobiles de la sculpture. Cette présentation de Philippe REMY explore quelques variations sur un thème interpellant, débattu mais toujours infini dans son paradoxe : retenir le temps. Il taille le marbre blanc ou noir. L’acier inox cadre, enrôle et renforce les pressions. Le regard retient les contrastes, les tensions et les harmonies. Le poli et le brut, les pleins et les vides captent la lumière dans un jeu de dualités subtiles. L’invitation est un prétexte à retenir un soupir. A prendre le temps d’un sourire.
Depuis l’an 2000, il réalise des projets pour des espaces publics ou privés dans lesquels il associe la sculpture, la peinture et l’environnement architectural.