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Quelle prise en charge innovante en rhumatologie ?. Jean DEBEAUPUIS (DG CHU de Grenoble). 1. Quel avenir pour les CHU ?.
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Quelle prise en charge innovante en rhumatologie ? Jean DEBEAUPUIS (DG CHU de Grenoble) 1
Quel avenir pour les CHU ? • La T2A prime à l’activité et au dynamisme, demeure sous la menace de la complexité (V11) et des contrôles (cf. circulaire frontière) : lourds ajustements en cours pour faire partager la juste valorisation de l’activité • Le virage ambulatoire : enfin en CHU, quand on veut bien s’y mettre, après tous les autres établissements, en rétablissant enfin des principes de base d’organisation programmée • Equilibre référence/recours/proximité : le graal en CHU, tant en termes de formation/recherche, que d’urgences/programmé, et d’équilibre économique, fluctuant selon les années • En moyenne sur 32 CHU/CHR -1,8% de déficit annuel pendant 4 ans (07-10) et 90% des déficits 2009 tous EPS, pour 8 Md€ d’endettement soit 40% de la dette tous EPS : une situation intenable, et un modèle de financement inadapté (ou l’inverse)
La rhumatologie à Grenoble • Une médecine de recours intermédiaire (à 85%) • Faible part de référence CHU ou de proximité • Activité correctement tarifée et rémunérée • Activité en CHU : 5% de MERRI modulable • Dans un pôle d’activités dévolu à l’homme en mouvement et la rééducation
Innover dans la prise en charge rhumatologique • La rhumatologie participe à la prise en charge chronique et aux filières de soins, avec un fort potentiel d’innovation • Elle doit continuer à développer au sein de l’hôpital public et du CHU parmi les spécialités médicales : • les soins ambulatoires ou externes • Culture de l’organisation notamment en HDJ • la télémédecine • Culture de l’innovation • l’éducation thérapeutique • Malgré des règles de financement absconses
Quatrième Journée de Partage des expériences Des valeurs fortes pour la rhumatologie • Des pathologies chroniques lourdes • Une forte évolution thérapeutique (anti-tnf α…) • Des traitements coûteux • Une discipline relativement autonome • Une diffusion rapide des innovations hors du CHU (coût, ETP) • Nécessité de repositionner rapidement les unités de recours de type CHU • Nécessité de les maintenir à la pointe de l’innovation organisationnelle (atelier HDJ) et thérapeutique (après l’éducation, l’e-santé à domicile)